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Question 1 of 90
1. Question
Le fuyard reste introuvable. Depuis quelques jours, les policiers mettent tout en œuvre pour retrouver les personnes impliquées dans le drame survenu ce samedi 16 juillet à Triel-sur-Seine (Yvelines). Ce soir-là, entre 20h10 et 20h22, dans la rue de la Chapelle, une voiture bleu marine percute violemment une moto, causant la mort de la passagère du deux-roues, une jeune femme de 18 ans.
Un premier véhicule, une Toyota grise, roulait très lentement ce qui a déclenché le dépassement entrepris par la moto, indique une source proche du dossier. L’autre véhicule de couleur bleu marine qui se trouvait derrière a fait la même chose avant de se rabattre violemment, sûrement par agacement. Il n’a pas vu la moto et l’a percutée de plein fouet, sur le côté. La victime est décédée sur le coup, malgré un massage cardiaque de 45 minutes.
L’accident à eu lieu en Août.
ExactInexact -
Question 2 of 90
2. Question
Le fuyard reste introuvable. Depuis quelques jours, les policiers mettent tout en œuvre pour retrouver les personnes impliquées dans le drame survenu ce samedi 16 juillet à Triel-sur-Seine (Yvelines). Ce soir-là, entre 20h10 et 20h22, dans la rue de la Chapelle, une voiture bleu marine percute violemment une moto, causant la mort de la passagère du deux-roues, une jeune femme de 18 ans.
Un premier véhicule, une Toyota grise, roulait très lentement ce qui a déclenché le dépassement entrepris par la moto, indique une source proche du dossier. L’autre véhicule de couleur bleu marine qui se trouvait derrière a fait la même chose avant de se rabattre violemment, sûrement par agacement. Il n’a pas vu la moto et l’a percutée de plein fouet, sur le côté. La victime est décédée sur le coup, malgré un massage cardiaque de 45 minutes.
La personne décédée était majeure.
ExactInexact -
Question 3 of 90
3. Question
Le fuyard reste introuvable. Depuis quelques jours, les policiers mettent tout en œuvre pour retrouver les personnes impliquées dans le drame survenu ce samedi 16 juillet à Triel-sur-Seine (Yvelines). Ce soir-là, entre 20h10 et 20h22, dans la rue de la Chapelle, une voiture bleu marine percute violemment une moto, causant la mort de la passagère du deux-roues, une jeune femme de 18 ans.
Un premier véhicule, une Toyota grise, roulait très lentement ce qui a déclenché le dépassement entrepris par la moto, indique une source proche du dossier. L’autre véhicule de couleur bleu marine qui se trouvait derrière a fait la même chose avant de se rabattre violemment, sûrement par agacement. Il n’a pas vu la moto et l’a percutée de plein fouet, sur le côté. La victime est décédée sur le coup, malgré un massage cardiaque de 45 minutes.
La voiture impliquée dans l’accident était immatriculée en Normandie.
ExactInexact -
Question 4 of 90
4. Question
Le fuyard reste introuvable. Depuis quelques jours, les policiers mettent tout en œuvre pour retrouver les personnes impliquées dans le drame survenu ce samedi 16 juillet à Triel-sur-Seine (Yvelines). Ce soir-là, entre 20h10 et 20h22, dans la rue de la Chapelle, une voiture bleu marine percute violemment une moto, causant la mort de la passagère du deux-roues, une jeune femme de 18 ans.
Un premier véhicule, une Toyota grise, roulait très lentement ce qui a déclenché le dépassement entrepris par la moto, indique une source proche du dossier. L’autre véhicule de couleur bleu marine qui se trouvait derrière a fait la même chose avant de se rabattre violemment, sûrement par agacement. Il n’a pas vu la moto et l’a percutée de plein fouet, sur le côté. La victime est décédée sur le coup, malgré un massage cardiaque de 45 minutes.
La victime est décédée à l’hôpital.
ExactInexact -
Question 5 of 90
5. Question
Le fuyard reste introuvable. Depuis quelques jours, les policiers mettent tout en œuvre pour retrouver les personnes impliquées dans le drame survenu ce samedi 16 juillet à Triel-sur-Seine (Yvelines). Ce soir-là, entre 20h10 et 20h22, dans la rue de la Chapelle, une voiture bleu marine percute violemment une moto, causant la mort de la passagère du deux-roues, une jeune femme de 18 ans.
Un premier véhicule, une Toyota grise, roulait très lentement ce qui a déclenché le dépassement entrepris par la moto, indique une source proche du dossier. L’autre véhicule de couleur bleu marine qui se trouvait derrière a fait la même chose avant de se rabattre violemment, sûrement par agacement. Il n’a pas vu la moto et l’a percutée de plein fouet, sur le côté. La victime est décédée sur le coup, malgré un massage cardiaque de 45 minutes.
L’accident à eu lieu au petit matin.
ExactInexact -
Question 6 of 90
6. Question
Le fuyard reste introuvable. Depuis quelques jours, les policiers mettent tout en œuvre pour retrouver les personnes impliquées dans le drame survenu ce samedi 16 juillet à Triel-sur-Seine (Yvelines). Ce soir-là, entre 20h10 et 20h22, dans la rue de la Chapelle, une voiture bleu marine percute violemment une moto, causant la mort de la passagère du deux-roues, une jeune femme de 18 ans.
Un premier véhicule, une Toyota grise, roulait très lentement ce qui a déclenché le dépassement entrepris par la moto, indique une source proche du dossier. L’autre véhicule de couleur bleu marine qui se trouvait derrière a fait la même chose avant de se rabattre violemment, sûrement par agacement. Il n’a pas vu la moto et l’a percutée de plein fouet, sur le côté. La victime est décédée sur le coup, malgré un massage cardiaque de 45 minutes.
L’accident mortel s’est produit dans les Yvelines.
ExactInexact -
Question 7 of 90
7. Question
Deux jeunes femmes ont trouvé la mort samedi en fin d’après-midi dans une avalanche dans le massif du Mont-Blanc, a-t-on appris dimanche auprès du parquet de Bonneville (Haute-Savoie).
Âgées d’une trentaine d’années et originaires de l’Isère, elles effectuaient un stage de survie avec cinq autres jeunes femmes, encadrées par un guide de haute montagne expérimenté.
Le groupe avait décidé de construire un igloo pour passer la nuit, « à un endroit apparemment en sécurité », à proximité du refuge des Cosmiques, a indiqué la procureure de Bonneville, Karline Bouisset.
L’avalenche à eu lieux dans le massif du mont-Blanc.
ExactInexact -
Question 8 of 90
8. Question
Deux jeunes femmes ont trouvé la mort samedi en fin d’après-midi dans une avalanche dans le massif du Mont-Blanc, a-t-on appris dimanche auprès du parquet de Bonneville (Haute-Savoie).
Âgées d’une trentaine d’années et originaires de l’Isère, elles effectuaient un stage de survie avec cinq autres jeunes femmes, encadrées par un guide de haute montagne expérimenté.
Le groupe avait décidé de construire un igloo pour passer la nuit, « à un endroit apparemment en sécurité », à proximité du refuge des Cosmiques, a indiqué la procureure de Bonneville, Karline Bouisset.
Les victimes participaient à un stage de survie.
ExactInexact -
Question 9 of 90
9. Question
Deux jeunes femmes ont trouvé la mort samedi en fin d’après-midi dans une avalanche dans le massif du Mont-Blanc, a-t-on appris dimanche auprès du parquet de Bonneville (Haute-Savoie).
Âgées d’une trentaine d’années et originaires de l’Isère, elles effectuaient un stage de survie avec cinq autres jeunes femmes, encadrées par un guide de haute montagne expérimenté.
Le groupe avait décidé de construire un igloo pour passer la nuit, « à un endroit apparemment en sécurité », à proximité du refuge des Cosmiques, a indiqué la procureure de Bonneville, Karline Bouisset.
Le groupe était constitué de 8 personnes.
ExactInexact -
Question 10 of 90
10. Question
Deux jeunes femmes ont trouvé la mort samedi en fin d’après-midi dans une avalanche dans le massif du Mont-Blanc, a-t-on appris dimanche auprès du parquet de Bonneville (Haute-Savoie).
Âgées d’une trentaine d’années et originaires de l’Isère, elles effectuaient un stage de survie avec cinq autres jeunes femmes, encadrées par un guide de haute montagne expérimenté.
Le groupe avait décidé de construire un igloo pour passer la nuit, « à un endroit apparemment en sécurité », à proximité du refuge des Cosmiques, a indiqué la procureure de Bonneville, Karline Bouisset.
La construction d’Igloo est interdite dans le massif du Mont-Blanc.
ExactInexact -
Question 11 of 90
11. Question
Deux jeunes femmes ont trouvé la mort samedi en fin d’après-midi dans une avalanche dans le massif du Mont-Blanc, a-t-on appris dimanche auprès du parquet de Bonneville (Haute-Savoie).
Âgées d’une trentaine d’années et originaires de l’Isère, elles effectuaient un stage de survie avec cinq autres jeunes femmes, encadrées par un guide de haute montagne expérimenté.
Le groupe avait décidé de construire un igloo pour passer la nuit, « à un endroit apparemment en sécurité », à proximité du refuge des Cosmiques, a indiqué la procureure de Bonneville, Karline Bouisset.
Les victimes étaient originaires de la Loire.
ExactInexact -
Question 12 of 90
12. Question
Deux jeunes femmes ont trouvé la mort samedi en fin d’après-midi dans une avalanche dans le massif du Mont-Blanc, a-t-on appris dimanche auprès du parquet de Bonneville (Haute-Savoie).
Âgées d’une trentaine d’années et originaires de l’Isère, elles effectuaient un stage de survie avec cinq autres jeunes femmes, encadrées par un guide de haute montagne expérimenté.
Le groupe avait décidé de construire un igloo pour passer la nuit, « à un endroit apparemment en sécurité », à proximité du refuge des Cosmiques, a indiqué la procureure de Bonneville, Karline Bouisset.
Les deux victimes étaient âgées de plus de 40 ans.
ExactInexact -
Question 13 of 90
13. Question
Les chaises et les tables en métal se dressent encore bien alignées au milieu des décombres. Le restaurant « la Petite playa » à Cazaux (Gironde), sur le bassin d’Arcachon a été détruit. Plus loin dans la petite commune, les flammes gigantesques qui atteignaient les 25 m de haut ont sauté la première rangée de maison et détruit les deux rangées suivantes, en bordure du lac. « Ici, il y avait des tunnels de feu, il faut imaginer une boule de feu » : les pompiers menaient toujours ce vendredi une lutte au « corps à corps » contre deux incendies « toujours pas fixés ». Les 4 000 habitants ont été évacués. Avant cela, les résidents des campings qui mènent à la dune du Pilat avaient aussi été mis à l’abri.
La fumée anthracite couleur d’apocalypse est visible à des kilomètres de là, même depuis l’espace, où le petit satellite américain NOAA2020 a capturé le panache des incendies s’étendant largement sur l’océan. Depuis mardi, des brasiers monstres avalent pinèdes et désormais habitations en Gironde : plus de 7 800 ha sont partis en fumée dans deux gigantesques feux, l’un dans la forêt adossée à la dune du Pilat. L’autre au sud de Bordeaux.
Un restaurant à été détruit par un incendie.
ExactInexact -
Question 14 of 90
14. Question
Les chaises et les tables en métal se dressent encore bien alignées au milieu des décombres. Le restaurant « la Petite playa » à Cazaux (Gironde), sur le bassin d’Arcachon a été détruit. Plus loin dans la petite commune, les flammes gigantesques qui atteignaient les 25 m de haut ont sauté la première rangée de maison et détruit les deux rangées suivantes, en bordure du lac. « Ici, il y avait des tunnels de feu, il faut imaginer une boule de feu » : les pompiers menaient toujours ce vendredi une lutte au « corps à corps » contre deux incendies « toujours pas fixés ». Les 4 000 habitants ont été évacués. Avant cela, les résidents des campings qui mènent à la dune du Pilat avaient aussi été mis à l’abri.
La fumée anthracite couleur d’apocalypse est visible à des kilomètres de là, même depuis l’espace, où le petit satellite américain NOAA2020 a capturé le panache des incendies s’étendant largement sur l’océan. Depuis mardi, des brasiers monstres avalent pinèdes et désormais habitations en Gironde : plus de 7 800 ha sont partis en fumée dans deux gigantesques feux, l’un dans la forêt adossée à la dune du Pilat. L’autre au sud de Bordeaux.
Le feux à été facilement maîtrisé.
ExactInexact -
Question 15 of 90
15. Question
Les chaises et les tables en métal se dressent encore bien alignées au milieu des décombres. Le restaurant « la Petite playa » à Cazaux (Gironde), sur le bassin d’Arcachon a été détruit. Plus loin dans la petite commune, les flammes gigantesques qui atteignaient les 25 m de haut ont sauté la première rangée de maison et détruit les deux rangées suivantes, en bordure du lac. « Ici, il y avait des tunnels de feu, il faut imaginer une boule de feu » : les pompiers menaient toujours ce vendredi une lutte au « corps à corps » contre deux incendies « toujours pas fixés ». Les 4 000 habitants ont été évacués. Avant cela, les résidents des campings qui mènent à la dune du Pilat avaient aussi été mis à l’abri.
La fumée anthracite couleur d’apocalypse est visible à des kilomètres de là, même depuis l’espace, où le petit satellite américain NOAA2020 a capturé le panache des incendies s’étendant largement sur l’océan. Depuis mardi, des brasiers monstres avalent pinèdes et désormais habitations en Gironde : plus de 7 800 ha sont partis en fumée dans deux gigantesques feux, l’un dans la forêt adossée à la dune du Pilat. L’autre au sud de Bordeaux.
L’incendie a nécessité des évacuations.
ExactInexact -
Question 16 of 90
16. Question
Les chaises et les tables en métal se dressent encore bien alignées au milieu des décombres. Le restaurant « la Petite playa » à Cazaux (Gironde), sur le bassin d’Arcachon a été détruit. Plus loin dans la petite commune, les flammes gigantesques qui atteignaient les 25 m de haut ont sauté la première rangée de maison et détruit les deux rangées suivantes, en bordure du lac. « Ici, il y avait des tunnels de feu, il faut imaginer une boule de feu » : les pompiers menaient toujours ce vendredi une lutte au « corps à corps » contre deux incendies « toujours pas fixés ». Les 4 000 habitants ont été évacués. Avant cela, les résidents des campings qui mènent à la dune du Pilat avaient aussi été mis à l’abri.
La fumée anthracite couleur d’apocalypse est visible à des kilomètres de là, même depuis l’espace, où le petit satellite américain NOAA2020 a capturé le panache des incendies s’étendant largement sur l’océan. Depuis mardi, des brasiers monstres avalent pinèdes et désormais habitations en Gironde : plus de 7 800 ha sont partis en fumée dans deux gigantesques feux, l’un dans la forêt adossée à la dune du Pilat. L’autre au sud de Bordeaux.
Les fumées ont tué 12 personnes.
ExactInexact -
Question 17 of 90
17. Question
Les chaises et les tables en métal se dressent encore bien alignées au milieu des décombres. Le restaurant « la Petite playa » à Cazaux (Gironde), sur le bassin d’Arcachon a été détruit. Plus loin dans la petite commune, les flammes gigantesques qui atteignaient les 25 m de haut ont sauté la première rangée de maison et détruit les deux rangées suivantes, en bordure du lac. « Ici, il y avait des tunnels de feu, il faut imaginer une boule de feu » : les pompiers menaient toujours ce vendredi une lutte au « corps à corps » contre deux incendies « toujours pas fixés ». Les 4 000 habitants ont été évacués. Avant cela, les résidents des campings qui mènent à la dune du Pilat avaient aussi été mis à l’abri.
La fumée anthracite couleur d’apocalypse est visible à des kilomètres de là, même depuis l’espace, où le petit satellite américain NOAA2020 a capturé le panache des incendies s’étendant largement sur l’océan. Depuis mardi, des brasiers monstres avalent pinèdes et désormais habitations en Gironde : plus de 7 800 ha sont partis en fumée dans deux gigantesques feux, l’un dans la forêt adossée à la dune du Pilat. L’autre au sud de Bordeaux.
Les flammes n’ont pas dépassées 10 mètres de haut
ExactInexact -
Question 18 of 90
18. Question
Les chaises et les tables en métal se dressent encore bien alignées au milieu des décombres. Le restaurant « la Petite playa » à Cazaux (Gironde), sur le bassin d’Arcachon a été détruit. Plus loin dans la petite commune, les flammes gigantesques qui atteignaient les 25 m de haut ont sauté la première rangée de maison et détruit les deux rangées suivantes, en bordure du lac. « Ici, il y avait des tunnels de feu, il faut imaginer une boule de feu » : les pompiers menaient toujours ce vendredi une lutte au « corps à corps » contre deux incendies « toujours pas fixés ». Les 4 000 habitants ont été évacués. Avant cela, les résidents des campings qui mènent à la dune du Pilat avaient aussi été mis à l’abri.
La fumée anthracite couleur d’apocalypse est visible à des kilomètres de là, même depuis l’espace, où le petit satellite américain NOAA2020 a capturé le panache des incendies s’étendant largement sur l’océan. Depuis mardi, des brasiers monstres avalent pinèdes et désormais habitations en Gironde : plus de 7 800 ha sont partis en fumée dans deux gigantesques feux, l’un dans la forêt adossée à la dune du Pilat. L’autre au sud de Bordeaux.
Le satellite NOAA2020 a permis de localiser précisément l’origine de l’incendie.
ExactInexact -
Question 19 of 90
19. Question
Jean Alesi, ex-pilote français de Formule 1, sera jugé en 2023 en correctionnelle pour avoir fait exploser avec un gros pétard la fenêtre du bureau de son beau-frère, dans le cadre d’un « conflit familial », selon le parquet de Nîmes (Gard).
L’ancien pilote de Ferrari sera jugé « pour dégradation du bien d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes, fait commis dans le cadre d’un conflit familial », a indiqué le procureur de la république de Nîmes, Éric Maurel, précisant que le fils de Jean Alesi sera poursuivi pour complicité dans cette même affaire. Jean Alesi et son fils seront jugés « en 2023 à Nîmes ». En garde à vue à Avignon (Vaucluse) depuis lundi après-midi, l’ex-pilote et son fils ont quitté mardi le commissariat d’Avignon libres, a ajouté le procureur.
Jean Alesi sera jugé aux prudhommes.
ExactInexact -
Question 20 of 90
20. Question
Jean Alesi, ex-pilote français de Formule 1, sera jugé en 2023 en correctionnelle pour avoir fait exploser avec un gros pétard la fenêtre du bureau de son beau-frère, dans le cadre d’un « conflit familial », selon le parquet de Nîmes (Gard).
L’ancien pilote de Ferrari sera jugé « pour dégradation du bien d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes, fait commis dans le cadre d’un conflit familial », a indiqué le procureur de la république de Nîmes, Éric Maurel, précisant que le fils de Jean Alesi sera poursuivi pour complicité dans cette même affaire. Jean Alesi et son fils seront jugés « en 2023 à Nîmes ». En garde à vue à Avignon (Vaucluse) depuis lundi après-midi, l’ex-pilote et son fils ont quitté mardi le commissariat d’Avignon libres, a ajouté le procureur.
ExactInexact -
Question 21 of 90
21. Question
Jean Alesi, ex-pilote français de Formule 1, sera jugé en 2023 en correctionnelle pour avoir fait exploser avec un gros pétard la fenêtre du bureau de son beau-frère, dans le cadre d’un « conflit familial », selon le parquet de Nîmes (Gard).
L’ancien pilote de Ferrari sera jugé « pour dégradation du bien d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes, fait commis dans le cadre d’un conflit familial », a indiqué le procureur de la république de Nîmes, Éric Maurel, précisant que le fils de Jean Alesi sera poursuivi pour complicité dans cette même affaire. Jean Alesi et son fils seront jugés « en 2023 à Nîmes ». En garde à vue à Avignon (Vaucluse) depuis lundi après-midi, l’ex-pilote et son fils ont quitté mardi le commissariat d’Avignon libres, a ajouté le procureur.
Le nom du procureur de la république de Nîmes est “Coquerel”.
ExactInexact -
Question 22 of 90
22. Question
Jean Alesi, ex-pilote français de Formule 1, sera jugé en 2023 en correctionnelle pour avoir fait exploser avec un gros pétard la fenêtre du bureau de son beau-frère, dans le cadre d’un « conflit familial », selon le parquet de Nîmes (Gard).
L’ancien pilote de Ferrari sera jugé « pour dégradation du bien d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes, fait commis dans le cadre d’un conflit familial », a indiqué le procureur de la république de Nîmes, Éric Maurel, précisant que le fils de Jean Alesi sera poursuivi pour complicité dans cette même affaire. Jean Alesi et son fils seront jugés « en 2023 à Nîmes ». En garde à vue à Avignon (Vaucluse) depuis lundi après-midi, l’ex-pilote et son fils ont quitté mardi le commissariat d’Avignon libres, a ajouté le procureur.
Le jugement aura lieu en 2023.
ExactInexact -
Question 23 of 90
23. Question
Jean Alesi, ex-pilote français de Formule 1, sera jugé en 2023 en correctionnelle pour avoir fait exploser avec un gros pétard la fenêtre du bureau de son beau-frère, dans le cadre d’un « conflit familial », selon le parquet de Nîmes (Gard).
L’ancien pilote de Ferrari sera jugé « pour dégradation du bien d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes, fait commis dans le cadre d’un conflit familial », a indiqué le procureur de la république de Nîmes, Éric Maurel, précisant que le fils de Jean Alesi sera poursuivi pour complicité dans cette même affaire. Jean Alesi et son fils seront jugés « en 2023 à Nîmes ». En garde à vue à Avignon (Vaucluse) depuis lundi après-midi, l’ex-pilote et son fils ont quitté mardi le commissariat d’Avignon libres, a ajouté le procureur.
Le fils de Jean Alesi est également poursuivi dans cette affaire.
ExactInexact -
Question 24 of 90
24. Question
Jean Alesi, ex-pilote français de Formule 1, sera jugé en 2023 en correctionnelle pour avoir fait exploser avec un gros pétard la fenêtre du bureau de son beau-frère, dans le cadre d’un « conflit familial », selon le parquet de Nîmes (Gard).
L’ancien pilote de Ferrari sera jugé « pour dégradation du bien d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes, fait commis dans le cadre d’un conflit familial », a indiqué le procureur de la république de Nîmes, Éric Maurel, précisant que le fils de Jean Alesi sera poursuivi pour complicité dans cette même affaire. Jean Alesi et son fils seront jugés « en 2023 à Nîmes ». En garde à vue à Avignon (Vaucluse) depuis lundi après-midi, l’ex-pilote et son fils ont quitté mardi le commissariat d’Avignon libres, a ajouté le procureur.
Le procès de Jean Alesi aura lieu en 2023 à Nîmes.
ExactInexact -
Question 25 of 90
25. Question
Je me suis libéré. C’est par cette phrase que Donato Bilancia, le tueur en série italien, a terminé sa confession à minuit, jeudi soir, après six heures d’aveux spontanés. Donato Bilancia a soulagé sa conscience, alors qu’au cours des deux précédents interrogatoires, il avait gardé le silence. Porteur d’une longue barbe, vêtu d’un survêtement, il est apparu très calme devant le juge. Après sa confession, il a demandé à bénéficier de soins psychiatriques. « Aidez-moi car je ne me suis pas rendu compte de ce que je faisais. »
L’homme arrêté le 6 mai finira, c’est sûr, ses jours en prison. Il est suspecté d’au moins seize meurtres, dont les deux derniers, perpétrés dans des trains, avaient semé la panique dans tout le nord-ouest de l’Italie. On ne sait pas encore si Bilancia a admis être l’auteur de chacun de ces meurtres. Il dit avoir agi seul, sans complice et de sa propre initiative. Il a, notamment, admis l´assassinat de la prostituée nigériane Tessy Adodo, le 29 mars dernier.
Donato Bilancia est Italien.
ExactInexact -
Question 26 of 90
26. Question
Je me suis libéré. C’est par cette phrase que Donato Bilancia, le tueur en série italien, a terminé sa confession à minuit, jeudi soir, après six heures d’aveux spontanés. Donato Bilancia a soulagé sa conscience, alors qu’au cours des deux précédents interrogatoires, il avait gardé le silence. Porteur d’une longue barbe, vêtu d’un survêtement, il est apparu très calme devant le juge. Après sa confession, il a demandé à bénéficier de soins psychiatriques. « Aidez-moi car je ne me suis pas rendu compte de ce que je faisais. »
L’homme arrêté le 6 mai finira, c’est sûr, ses jours en prison. Il est suspecté d’au moins seize meurtres, dont les deux derniers, perpétrés dans des trains, avaient semé la panique dans tout le nord-ouest de l’Italie. On ne sait pas encore si Bilancia a admis être l’auteur de chacun de ces meurtres. Il dit avoir agi seul, sans complice et de sa propre initiative. Il a, notamment, admis l´assassinat de la prostituée nigériane Tessy Adodo, le 29 mars dernier.
La juge a accordé des soins psychiatriques au tueur en série.
ExactInexact -
Question 27 of 90
27. Question
Je me suis libéré. C’est par cette phrase que Donato Bilancia, le tueur en série italien, a terminé sa confession à minuit, jeudi soir, après six heures d’aveux spontanés. Donato Bilancia a soulagé sa conscience, alors qu’au cours des deux précédents interrogatoires, il avait gardé le silence. Porteur d’une longue barbe, vêtu d’un survêtement, il est apparu très calme devant le juge. Après sa confession, il a demandé à bénéficier de soins psychiatriques. « Aidez-moi car je ne me suis pas rendu compte de ce que je faisais. »
L’homme arrêté le 6 mai finira, c’est sûr, ses jours en prison. Il est suspecté d’au moins seize meurtres, dont les deux derniers, perpétrés dans des trains, avaient semé la panique dans tout le nord-ouest de l’Italie. On ne sait pas encore si Bilancia a admis être l’auteur de chacun de ces meurtres. Il dit avoir agi seul, sans complice et de sa propre initiative. Il a, notamment, admis l´assassinat de la prostituée nigériane Tessy Adodo, le 29 mars dernier.
Le tueur à été interpellé à bord d’un train.
ExactInexact -
Question 28 of 90
28. Question
Je me suis libéré. C’est par cette phrase que Donato Bilancia, le tueur en série italien, a terminé sa confession à minuit, jeudi soir, après six heures d’aveux spontanés. Donato Bilancia a soulagé sa conscience, alors qu’au cours des deux précédents interrogatoires, il avait gardé le silence. Porteur d’une longue barbe, vêtu d’un survêtement, il est apparu très calme devant le juge. Après sa confession, il a demandé à bénéficier de soins psychiatriques. « Aidez-moi car je ne me suis pas rendu compte de ce que je faisais. »
L’homme arrêté le 6 mai finira, c’est sûr, ses jours en prison. Il est suspecté d’au moins seize meurtres, dont les deux derniers, perpétrés dans des trains, avaient semé la panique dans tout le nord-ouest de l’Italie. On ne sait pas encore si Bilancia a admis être l’auteur de chacun de ces meurtres. Il dit avoir agi seul, sans complice et de sa propre initiative. Il a, notamment, admis l´assassinat de la prostituée nigériane Tessy Adodo, le 29 mars dernier.
Mr. Bilancia à reconnu être l’auteur de 16 meurtres.
ExactInexact -
Question 29 of 90
29. Question
Je me suis libéré. C’est par cette phrase que Donato Bilancia, le tueur en série italien, a terminé sa confession à minuit, jeudi soir, après six heures d’aveux spontanés. Donato Bilancia a soulagé sa conscience, alors qu’au cours des deux précédents interrogatoires, il avait gardé le silence. Porteur d’une longue barbe, vêtu d’un survêtement, il est apparu très calme devant le juge. Après sa confession, il a demandé à bénéficier de soins psychiatriques. « Aidez-moi car je ne me suis pas rendu compte de ce que je faisais. »
L’homme arrêté le 6 mai finira, c’est sûr, ses jours en prison. Il est suspecté d’au moins seize meurtres, dont les deux derniers, perpétrés dans des trains, avaient semé la panique dans tout le nord-ouest de l’Italie. On ne sait pas encore si Bilancia a admis être l’auteur de chacun de ces meurtres. Il dit avoir agi seul, sans complice et de sa propre initiative. Il a, notamment, admis l´assassinat de la prostituée nigériane Tessy Adodo, le 29 mars dernier.
Donato était très stressé devant le juge.
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Question 30 of 90
30. Question
Je me suis libéré. C’est par cette phrase que Donato Bilancia, le tueur en série italien, a terminé sa confession à minuit, jeudi soir, après six heures d’aveux spontanés. Donato Bilancia a soulagé sa conscience, alors qu’au cours des deux précédents interrogatoires, il avait gardé le silence. Porteur d’une longue barbe, vêtu d’un survêtement, il est apparu très calme devant le juge. Après sa confession, il a demandé à bénéficier de soins psychiatriques. « Aidez-moi car je ne me suis pas rendu compte de ce que je faisais. »
L’homme arrêté le 6 mai finira, c’est sûr, ses jours en prison. Il est suspecté d’au moins seize meurtres, dont les deux derniers, perpétrés dans des trains, avaient semé la panique dans tout le nord-ouest de l’Italie. On ne sait pas encore si Bilancia a admis être l’auteur de chacun de ces meurtres. Il dit avoir agi seul, sans complice et de sa propre initiative. Il a, notamment, admis l´assassinat de la prostituée nigériane Tessy Adodo, le 29 mars dernier.
Les deux derniers meurtres qui lui sont attribués ont eu lieu dans des trains.
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Question 31 of 90
31. Question
Didier Roy avait disparu après avoir quitté son domicile, à Saint-Macaire-en-Mauges, dans la nuit du 15 au 16 mars. Un appel à témoins avait été lancé aussitôt par la compagnie de gendarmerie de Cholet. Didier Roy, âgé de 78 ans, a finalement été retrouvé sans vie, jeudi matin, vers 10 h 30. Son corps a été repêché dans un petit étang de la commune.
Didier Roy était un personnage très connu localement. Il a notamment présidé le groupe Pindière, dont le siège est toujours à Saint-Macaire-en-Mauges. Déjà administrateur et président du conseil de surveillance de l’entreprise spécialisée dans la création, la fabrication et la commercialisation de chaussures pour femme, il avait été nommé président en avril 2004, alors que le groupe était en difficulté. En effet, la SA Pindière, qui employait encore 420 personnes à Saint-Macaire-en-Mauges et Villedieu-la-Blouère, venait d’être placé en redressement judiciaire.
Didier Roy était surtout connu localement pour avoir dirigé une usine du groupe, Carline, basée à Saint-Macaire-en-Mauges.
La dépouille de Didier Roy n’a pas été retrouvée.
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Question 32 of 90
32. Question
Didier Roy avait disparu après avoir quitté son domicile, à Saint-Macaire-en-Mauges, dans la nuit du 15 au 16 mars. Un appel à témoins avait été lancé aussitôt par la compagnie de gendarmerie de Cholet. Didier Roy, âgé de 78 ans, a finalement été retrouvé sans vie, jeudi matin, vers 10 h 30. Son corps a été repêché dans un petit étang de la commune.
Didier Roy était un personnage très connu localement. Il a notamment présidé le groupe Pindière, dont le siège est toujours à Saint-Macaire-en-Mauges. Déjà administrateur et président du conseil de surveillance de l’entreprise spécialisée dans la création, la fabrication et la commercialisation de chaussures pour femme, il avait été nommé président en avril 2004, alors que le groupe était en difficulté. En effet, la SA Pindière, qui employait encore 420 personnes à Saint-Macaire-en-Mauges et Villedieu-la-Blouère, venait d’être placé en redressement judiciaire.
Didier Roy était surtout connu localement pour avoir dirigé une usine du groupe, Carline, basée à Saint-Macaire-en-Mauges.
Didier Roy a présidé le groupe Pindière.
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Question 33 of 90
33. Question
Didier Roy avait disparu après avoir quitté son domicile, à Saint-Macaire-en-Mauges, dans la nuit du 15 au 16 mars. Un appel à témoins avait été lancé aussitôt par la compagnie de gendarmerie de Cholet. Didier Roy, âgé de 78 ans, a finalement été retrouvé sans vie, jeudi matin, vers 10 h 30. Son corps a été repêché dans un petit étang de la commune.
Didier Roy était un personnage très connu localement. Il a notamment présidé le groupe Pindière, dont le siège est toujours à Saint-Macaire-en-Mauges. Déjà administrateur et président du conseil de surveillance de l’entreprise spécialisée dans la création, la fabrication et la commercialisation de chaussures pour femme, il avait été nommé président en avril 2004, alors que le groupe était en difficulté. En effet, la SA Pindière, qui employait encore 420 personnes à Saint-Macaire-en-Mauges et Villedieu-la-Blouère, venait d’être placé en redressement judiciaire.
Didier Roy était surtout connu localement pour avoir dirigé une usine du groupe, Carline, basée à Saint-Macaire-en-Mauges.
Didier Roy est décédé à l’âge de 69 ans.
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Question 34 of 90
34. Question
Didier Roy avait disparu après avoir quitté son domicile, à Saint-Macaire-en-Mauges, dans la nuit du 15 au 16 mars. Un appel à témoins avait été lancé aussitôt par la compagnie de gendarmerie de Cholet. Didier Roy, âgé de 78 ans, a finalement été retrouvé sans vie, jeudi matin, vers 10 h 30. Son corps a été repêché dans un petit étang de la commune.
Didier Roy était un personnage très connu localement. Il a notamment présidé le groupe Pindière, dont le siège est toujours à Saint-Macaire-en-Mauges. Déjà administrateur et président du conseil de surveillance de l’entreprise spécialisée dans la création, la fabrication et la commercialisation de chaussures pour femme, il avait été nommé président en avril 2004, alors que le groupe était en difficulté. En effet, la SA Pindière, qui employait encore 420 personnes à Saint-Macaire-en-Mauges et Villedieu-la-Blouère, venait d’être placé en redressement judiciaire.
Didier Roy était surtout connu localement pour avoir dirigé une usine du groupe, Carline, basée à Saint-Macaire-en-Mauges.
L’assassin de Didier Roy était est une femme.
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Question 35 of 90
35. Question
Didier Roy avait disparu après avoir quitté son domicile, à Saint-Macaire-en-Mauges, dans la nuit du 15 au 16 mars. Un appel à témoins avait été lancé aussitôt par la compagnie de gendarmerie de Cholet. Didier Roy, âgé de 78 ans, a finalement été retrouvé sans vie, jeudi matin, vers 10 h 30. Son corps a été repêché dans un petit étang de la commune.
Didier Roy était un personnage très connu localement. Il a notamment présidé le groupe Pindière, dont le siège est toujours à Saint-Macaire-en-Mauges. Déjà administrateur et président du conseil de surveillance de l’entreprise spécialisée dans la création, la fabrication et la commercialisation de chaussures pour femme, il avait été nommé président en avril 2004, alors que le groupe était en difficulté. En effet, la SA Pindière, qui employait encore 420 personnes à Saint-Macaire-en-Mauges et Villedieu-la-Blouère, venait d’être placé en redressement judiciaire.
Didier Roy était surtout connu localement pour avoir dirigé une usine du groupe, Carline, basée à Saint-Macaire-en-Mauges.
Le corps de Didier Roy à été retrouvé dans un étang.
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Question 36 of 90
36. Question
Didier Roy avait disparu après avoir quitté son domicile, à Saint-Macaire-en-Mauges, dans la nuit du 15 au 16 mars. Un appel à témoins avait été lancé aussitôt par la compagnie de gendarmerie de Cholet. Didier Roy, âgé de 78 ans, a finalement été retrouvé sans vie, jeudi matin, vers 10 h 30. Son corps a été repêché dans un petit étang de la commune.
Didier Roy était un personnage très connu localement. Il a notamment présidé le groupe Pindière, dont le siège est toujours à Saint-Macaire-en-Mauges. Déjà administrateur et président du conseil de surveillance de l’entreprise spécialisée dans la création, la fabrication et la commercialisation de chaussures pour femme, il avait été nommé président en avril 2004, alors que le groupe était en difficulté. En effet, la SA Pindière, qui employait encore 420 personnes à Saint-Macaire-en-Mauges et Villedieu-la-Blouère, venait d’être placé en redressement judiciaire.
Didier Roy était surtout connu localement pour avoir dirigé une usine du groupe, Carline, basée à Saint-Macaire-en-Mauges.
Au moment du redressement judiciaire, la société Pindière employait plus de 400 personnes.
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Question 37 of 90
37. Question
Les deux voyous et les quatre filles qui vont comparaître mardi devant la cour de Seine-et-Oise, présidée par le conseiller Bonhoure, n’ont pas la » classe » des héros de mauvais films qui leur ont sans doute servi d’exemples ; ce sont tous des enfants sans intelligence, moins intéressés qu’égarés par une émulation perverse.
Leur » chef » en titre, c’est René Delville. Mais cet illettré malingre est plus prompt à battre sa femme Geneviève, pâle comparse, qu’à monter des » coups « . Charles Bregand non plus, le deuxième homme de l’ » association » et le plus jeune, n’a pas l’étoffe d’un meneur, si désireux qu’il soit d’étonner sa maîtresse, Denise Brouard, autre complice effacée. La véritable inspiratrice de l’affaire, il semble bien que ce soit Gilberte Denis. Portant des costumes masculins, elle vit avec la dernière accusée, Carmen Willers, qu’elle a détournée de ses quatre enfants. Elle a été qualifiée de » femme apache » par les psychiatres. On dirait qu’elle met un point d’honneur à montrer plus de sang-froid que les deux meneurs, et à leur faire honte.
René Delville est décrit comme un chef fort et intelligent.
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Question 38 of 90
38. Question
Les deux voyous et les quatre filles qui vont comparaître mardi devant la cour de Seine-et-Oise, présidée par le conseiller Bonhoure, n’ont pas la » classe » des héros de mauvais films qui leur ont sans doute servi d’exemples ; ce sont tous des enfants sans intelligence, moins intéressés qu’égarés par une émulation perverse.
Leur » chef » en titre, c’est René Delville. Mais cet illettré malingre est plus prompt à battre sa femme Geneviève, pâle comparse, qu’à monter des » coups « . Charles Bregand non plus, le deuxième homme de l’ » association » et le plus jeune, n’a pas l’étoffe d’un meneur, si désireux qu’il soit d’étonner sa maîtresse, Denise Brouard, autre complice effacée. La véritable inspiratrice de l’affaire, il semble bien que ce soit Gilberte Denis. Portant des costumes masculins, elle vit avec la dernière accusée, Carmen Willers, qu’elle a détournée de ses quatre enfants. Elle a été qualifiée de » femme apache » par les psychiatres. On dirait qu’elle met un point d’honneur à montrer plus de sang-froid que les deux meneurs, et à leur faire honte.
Gilberte Denis est considérée comme l’inspiratrice de l’affaire.
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Question 39 of 90
39. Question
Les deux voyous et les quatre filles qui vont comparaître mardi devant la cour de Seine-et-Oise, présidée par le conseiller Bonhoure, n’ont pas la » classe » des héros de mauvais films qui leur ont sans doute servi d’exemples ; ce sont tous des enfants sans intelligence, moins intéressés qu’égarés par une émulation perverse.
Leur » chef » en titre, c’est René Delville. Mais cet illettré malingre est plus prompt à battre sa femme Geneviève, pâle comparse, qu’à monter des » coups « . Charles Bregand non plus, le deuxième homme de l’ » association » et le plus jeune, n’a pas l’étoffe d’un meneur, si désireux qu’il soit d’étonner sa maîtresse, Denise Brouard, autre complice effacée. La véritable inspiratrice de l’affaire, il semble bien que ce soit Gilberte Denis. Portant des costumes masculins, elle vit avec la dernière accusée, Carmen Willers, qu’elle a détournée de ses quatre enfants. Elle a été qualifiée de » femme apache » par les psychiatres. On dirait qu’elle met un point d’honneur à montrer plus de sang-froid que les deux meneurs, et à leur faire honte.
Charles Bregand est le plus âgé des accusés.
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Question 40 of 90
40. Question
Les deux voyous et les quatre filles qui vont comparaître mardi devant la cour de Seine-et-Oise, présidée par le conseiller Bonhoure, n’ont pas la » classe » des héros de mauvais films qui leur ont sans doute servi d’exemples ; ce sont tous des enfants sans intelligence, moins intéressés qu’égarés par une émulation perverse.
Leur » chef » en titre, c’est René Delville. Mais cet illettré malingre est plus prompt à battre sa femme Geneviève, pâle comparse, qu’à monter des » coups « . Charles Bregand non plus, le deuxième homme de l’ » association » et le plus jeune, n’a pas l’étoffe d’un meneur, si désireux qu’il soit d’étonner sa maîtresse, Denise Brouard, autre complice effacée. La véritable inspiratrice de l’affaire, il semble bien que ce soit Gilberte Denis. Portant des costumes masculins, elle vit avec la dernière accusée, Carmen Willers, qu’elle a détournée de ses quatre enfants. Elle a été qualifiée de » femme apache » par les psychiatres. On dirait qu’elle met un point d’honneur à montrer plus de sang-froid que les deux meneurs, et à leur faire honte.
Geneviève Delville a déjà été accusée de faits similaires.
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Question 41 of 90
41. Question
Les deux voyous et les quatre filles qui vont comparaître mardi devant la cour de Seine-et-Oise, présidée par le conseiller Bonhoure, n’ont pas la » classe » des héros de mauvais films qui leur ont sans doute servi d’exemples ; ce sont tous des enfants sans intelligence, moins intéressés qu’égarés par une émulation perverse.
Leur » chef » en titre, c’est René Delville. Mais cet illettré malingre est plus prompt à battre sa femme Geneviève, pâle comparse, qu’à monter des » coups « . Charles Bregand non plus, le deuxième homme de l’ » association » et le plus jeune, n’a pas l’étoffe d’un meneur, si désireux qu’il soit d’étonner sa maîtresse, Denise Brouard, autre complice effacée. La véritable inspiratrice de l’affaire, il semble bien que ce soit Gilberte Denis. Portant des costumes masculins, elle vit avec la dernière accusée, Carmen Willers, qu’elle a détournée de ses quatre enfants. Elle a été qualifiée de » femme apache » par les psychiatres. On dirait qu’elle met un point d’honneur à montrer plus de sang-froid que les deux meneurs, et à leur faire honte.
Les psychiatres ont qualifié Gilberte Denis de « femme apache ».
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Question 42 of 90
42. Question
Les deux voyous et les quatre filles qui vont comparaître mardi devant la cour de Seine-et-Oise, présidée par le conseiller Bonhoure, n’ont pas la » classe » des héros de mauvais films qui leur ont sans doute servi d’exemples ; ce sont tous des enfants sans intelligence, moins intéressés qu’égarés par une émulation perverse.
Leur » chef » en titre, c’est René Delville. Mais cet illettré malingre est plus prompt à battre sa femme Geneviève, pâle comparse, qu’à monter des » coups « . Charles Bregand non plus, le deuxième homme de l’ » association » et le plus jeune, n’a pas l’étoffe d’un meneur, si désireux qu’il soit d’étonner sa maîtresse, Denise Brouard, autre complice effacée. La véritable inspiratrice de l’affaire, il semble bien que ce soit Gilberte Denis. Portant des costumes masculins, elle vit avec la dernière accusée, Carmen Willers, qu’elle a détournée de ses quatre enfants. Elle a été qualifiée de » femme apache » par les psychiatres. On dirait qu’elle met un point d’honneur à montrer plus de sang-froid que les deux meneurs, et à leur faire honte.
Carmen Willers a abandonné ses enfants pour suivre Gilberte Denis.
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Question 43 of 90
43. Question
Un adolescent de 17 ans a été tué par arme blanche, mardi 18 mai, à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) dans des « circonstances qui restent à établir ». Le suspect est né en 2005, selon le parquet de Créteil. Il a été interpellé peu après les faits en Seine-et-Marne, a fait savoir une source policière à l’Agence France-Presse (AFP).
Le suspect vivait dans la même résidence que la victime, au Clos des Perroquets, d’après une autre source policière. Le drame a eu lieu au pied d’un des immeubles de cette résidence. Plus tard dans la soirée, deux autres interpellations en lien avec cette affaire ont eu lieu « pour des faits dont l’enchaînement doit encore être précisé », a déclaré le parquet, sans préciser l’âge de ces deux interpellés.
Vers 18 h 40, « un témoin a aperçu un groupe de jeunes qui prenaient la fuite et une personne restant au sol », a détaillé l’une des sources policières. La victime a été « mortellement blessée par arme blanche », a-t-elle ajouté, précisant que les « circonstances » des faits « restent à établir ».
Le suspect de l’attaque a été interpellé en Seine-et-Marne.
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Question 44 of 90
44. Question
Un adolescent de 17 ans a été tué par arme blanche, mardi 18 mai, à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) dans des « circonstances qui restent à établir ». Le suspect est né en 2005, selon le parquet de Créteil. Il a été interpellé peu après les faits en Seine-et-Marne, a fait savoir une source policière à l’Agence France-Presse (AFP).
Le suspect vivait dans la même résidence que la victime, au Clos des Perroquets, d’après une autre source policière. Le drame a eu lieu au pied d’un des immeubles de cette résidence. Plus tard dans la soirée, deux autres interpellations en lien avec cette affaire ont eu lieu « pour des faits dont l’enchaînement doit encore être précisé », a déclaré le parquet, sans préciser l’âge de ces deux interpellés.
Vers 18 h 40, « un témoin a aperçu un groupe de jeunes qui prenaient la fuite et une personne restant au sol », a détaillé l’une des sources policières. La victime a été « mortellement blessée par arme blanche », a-t-elle ajouté, précisant que les « circonstances » des faits « restent à établir ».
La victime et le suspect se connaissaient bien.
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Question 45 of 90
45. Question
Un adolescent de 17 ans a été tué par arme blanche, mardi 18 mai, à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) dans des « circonstances qui restent à établir ». Le suspect est né en 2005, selon le parquet de Créteil. Il a été interpellé peu après les faits en Seine-et-Marne, a fait savoir une source policière à l’Agence France-Presse (AFP).
Le suspect vivait dans la même résidence que la victime, au Clos des Perroquets, d’après une autre source policière. Le drame a eu lieu au pied d’un des immeubles de cette résidence. Plus tard dans la soirée, deux autres interpellations en lien avec cette affaire ont eu lieu « pour des faits dont l’enchaînement doit encore être précisé », a déclaré le parquet, sans préciser l’âge de ces deux interpellés.
Vers 18 h 40, « un témoin a aperçu un groupe de jeunes qui prenaient la fuite et une personne restant au sol », a détaillé l’une des sources policières. La victime a été « mortellement blessée par arme blanche », a-t-elle ajouté, précisant que les « circonstances » des faits « restent à établir ».
Le drame a eu lieu au pied d’un immeuble de la résidence du Clos des Perroquets.
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Question 46 of 90
46. Question
Un adolescent de 17 ans a été tué par arme blanche, mardi 18 mai, à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) dans des « circonstances qui restent à établir ». Le suspect est né en 2005, selon le parquet de Créteil. Il a été interpellé peu après les faits en Seine-et-Marne, a fait savoir une source policière à l’Agence France-Presse (AFP).
Le suspect vivait dans la même résidence que la victime, au Clos des Perroquets, d’après une autre source policière. Le drame a eu lieu au pied d’un des immeubles de cette résidence. Plus tard dans la soirée, deux autres interpellations en lien avec cette affaire ont eu lieu « pour des faits dont l’enchaînement doit encore être précisé », a déclaré le parquet, sans préciser l’âge de ces deux interpellés.
Vers 18 h 40, « un témoin a aperçu un groupe de jeunes qui prenaient la fuite et une personne restant au sol », a détaillé l’une des sources policières. La victime a été « mortellement blessée par arme blanche », a-t-elle ajouté, précisant que les « circonstances » des faits « restent à établir ».
Deux autres personnes ont été interpellées en lien avec cette affaire.
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Question 47 of 90
47. Question
Un adolescent de 17 ans a été tué par arme blanche, mardi 18 mai, à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) dans des « circonstances qui restent à établir ». Le suspect est né en 2005, selon le parquet de Créteil. Il a été interpellé peu après les faits en Seine-et-Marne, a fait savoir une source policière à l’Agence France-Presse (AFP).
Le suspect vivait dans la même résidence que la victime, au Clos des Perroquets, d’après une autre source policière. Le drame a eu lieu au pied d’un des immeubles de cette résidence. Plus tard dans la soirée, deux autres interpellations en lien avec cette affaire ont eu lieu « pour des faits dont l’enchaînement doit encore être précisé », a déclaré le parquet, sans préciser l’âge de ces deux interpellés.
Vers 18 h 40, « un témoin a aperçu un groupe de jeunes qui prenaient la fuite et une personne restant au sol », a détaillé l’une des sources policières. La victime a été « mortellement blessée par arme blanche », a-t-elle ajouté, précisant que les « circonstances » des faits « restent à établir ».
Les jeunes étaient ivres lors des faits.
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Question 48 of 90
48. Question
Un adolescent de 17 ans a été tué par arme blanche, mardi 18 mai, à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) dans des « circonstances qui restent à établir ». Le suspect est né en 2005, selon le parquet de Créteil. Il a été interpellé peu après les faits en Seine-et-Marne, a fait savoir une source policière à l’Agence France-Presse (AFP).
Le suspect vivait dans la même résidence que la victime, au Clos des Perroquets, d’après une autre source policière. Le drame a eu lieu au pied d’un des immeubles de cette résidence. Plus tard dans la soirée, deux autres interpellations en lien avec cette affaire ont eu lieu « pour des faits dont l’enchaînement doit encore être précisé », a déclaré le parquet, sans préciser l’âge de ces deux interpellés.
Vers 18 h 40, « un témoin a aperçu un groupe de jeunes qui prenaient la fuite et une personne restant au sol », a détaillé l’une des sources policières. La victime a été « mortellement blessée par arme blanche », a-t-elle ajouté, précisant que les « circonstances » des faits « restent à établir ».
Deux autres personnes ont été interpellées plus tard dans la soirée.
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Question 49 of 90
49. Question
Une jeune gendarme est morte samedi 4 juillet, dans la soirée, à Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne), après avoir été violemment percutée par un véhicule que les forces de l’ordre cherchaient à intercepter en raison de plusieurs refus d’obtempérer. Le conducteur, déjà connu des services de police et de gendarmerie pour des délits liés aux stupéfiants, selon une source proche du dossier, a été rapidement interpellé et placé en garde à vue à Agen, d’après le parquet et la gendarmerie.
Selon le parquet d’Agen, le drame s’est déroulé après 21 heures à Port-Sainte-Marie, petite commune en bord de Garonne située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de la préfecture du Lot-et-Garonne. Le conducteur a d’abord refusé de s’arrêter à un premier contrôle de la gendarmerie à Colayrac-Saint-Cirq, tout près d’Agen, vers 20 h 50, a précisé le ministère de l’intérieur dans un communiqué dimanche matin. Signalé aux forces de l’ordre, l’homme a ensuite fait « demi-tour devant un barrage tenu par la police ».
Le conducteur recherché a été arrêté après avoir percuté la jeune gendarme.
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Question 50 of 90
50. Question
Une jeune gendarme est morte samedi 4 juillet, dans la soirée, à Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne), après avoir été violemment percutée par un véhicule que les forces de l’ordre cherchaient à intercepter en raison de plusieurs refus d’obtempérer. Le conducteur, déjà connu des services de police et de gendarmerie pour des délits liés aux stupéfiants, selon une source proche du dossier, a été rapidement interpellé et placé en garde à vue à Agen, d’après le parquet et la gendarmerie.
Selon le parquet d’Agen, le drame s’est déroulé après 21 heures à Port-Sainte-Marie, petite commune en bord de Garonne située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de la préfecture du Lot-et-Garonne. Le conducteur a d’abord refusé de s’arrêter à un premier contrôle de la gendarmerie à Colayrac-Saint-Cirq, tout près d’Agen, vers 20 h 50, a précisé le ministère de l’intérieur dans un communiqué dimanche matin. Signalé aux forces de l’ordre, l’homme a ensuite fait « demi-tour devant un barrage tenu par la police ».
L’incident s’est produit à Colayrac-Saint-Cirq, près d’Agen.
ExactInexact -
Question 51 of 90
51. Question
Une jeune gendarme est morte samedi 4 juillet, dans la soirée, à Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne), après avoir été violemment percutée par un véhicule que les forces de l’ordre cherchaient à intercepter en raison de plusieurs refus d’obtempérer. Le conducteur, déjà connu des services de police et de gendarmerie pour des délits liés aux stupéfiants, selon une source proche du dossier, a été rapidement interpellé et placé en garde à vue à Agen, d’après le parquet et la gendarmerie.
Selon le parquet d’Agen, le drame s’est déroulé après 21 heures à Port-Sainte-Marie, petite commune en bord de Garonne située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de la préfecture du Lot-et-Garonne. Le conducteur a d’abord refusé de s’arrêter à un premier contrôle de la gendarmerie à Colayrac-Saint-Cirq, tout près d’Agen, vers 20 h 50, a précisé le ministère de l’intérieur dans un communiqué dimanche matin. Signalé aux forces de l’ordre, l’homme a ensuite fait « demi-tour devant un barrage tenu par la police ».
Le conducteur n’était pas connu des services de police.
ExactInexact -
Question 52 of 90
52. Question
Une jeune gendarme est morte samedi 4 juillet, dans la soirée, à Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne), après avoir été violemment percutée par un véhicule que les forces de l’ordre cherchaient à intercepter en raison de plusieurs refus d’obtempérer. Le conducteur, déjà connu des services de police et de gendarmerie pour des délits liés aux stupéfiants, selon une source proche du dossier, a été rapidement interpellé et placé en garde à vue à Agen, d’après le parquet et la gendarmerie.
Selon le parquet d’Agen, le drame s’est déroulé après 21 heures à Port-Sainte-Marie, petite commune en bord de Garonne située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de la préfecture du Lot-et-Garonne. Le conducteur a d’abord refusé de s’arrêter à un premier contrôle de la gendarmerie à Colayrac-Saint-Cirq, tout près d’Agen, vers 20 h 50, a précisé le ministère de l’intérieur dans un communiqué dimanche matin. Signalé aux forces de l’ordre, l’homme a ensuite fait « demi-tour devant un barrage tenu par la police ».
Le drame a eu lieu le matin du samedi 4 juillet.
ExactInexact -
Question 53 of 90
53. Question
Une jeune gendarme est morte samedi 4 juillet, dans la soirée, à Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne), après avoir été violemment percutée par un véhicule que les forces de l’ordre cherchaient à intercepter en raison de plusieurs refus d’obtempérer. Le conducteur, déjà connu des services de police et de gendarmerie pour des délits liés aux stupéfiants, selon une source proche du dossier, a été rapidement interpellé et placé en garde à vue à Agen, d’après le parquet et la gendarmerie.
Selon le parquet d’Agen, le drame s’est déroulé après 21 heures à Port-Sainte-Marie, petite commune en bord de Garonne située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de la préfecture du Lot-et-Garonne. Le conducteur a d’abord refusé de s’arrêter à un premier contrôle de la gendarmerie à Colayrac-Saint-Cirq, tout près d’Agen, vers 20 h 50, a précisé le ministère de l’intérieur dans un communiqué dimanche matin. Signalé aux forces de l’ordre, l’homme a ensuite fait « demi-tour devant un barrage tenu par la police ».
Une journée de deuil nationale à été annoncée pour rendre hommage à la gendarme.
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Question 54 of 90
54. Question
Une jeune gendarme est morte samedi 4 juillet, dans la soirée, à Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne), après avoir été violemment percutée par un véhicule que les forces de l’ordre cherchaient à intercepter en raison de plusieurs refus d’obtempérer. Le conducteur, déjà connu des services de police et de gendarmerie pour des délits liés aux stupéfiants, selon une source proche du dossier, a été rapidement interpellé et placé en garde à vue à Agen, d’après le parquet et la gendarmerie.
Selon le parquet d’Agen, le drame s’est déroulé après 21 heures à Port-Sainte-Marie, petite commune en bord de Garonne située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de la préfecture du Lot-et-Garonne. Le conducteur a d’abord refusé de s’arrêter à un premier contrôle de la gendarmerie à Colayrac-Saint-Cirq, tout près d’Agen, vers 20 h 50, a précisé le ministère de l’intérieur dans un communiqué dimanche matin. Signalé aux forces de l’ordre, l’homme a ensuite fait « demi-tour devant un barrage tenu par la police ».
Le conducteur a tenté de fuir un barrage tenu par la police.
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Question 55 of 90
55. Question
Deux hommes sont montés dans le box des prévenus ce vendredi, devant les juges du tribunal correctionnel de Besançon. Tous deux sont suspectés d’avoir mis en place un trafic de stupéfiants, à proximité du centre-ville de Besançon. Le premier, le regard sombre, tente de minimiser sa participation aux faits. Le second, pupilles bleues écarquillées, nie toute implication. Les policiers ont pourtant découvert d’importantes quantités de produits stupéfiants lors des perquisitions réalisées à leurs domiciles et dans l’appartement d’une nourrice. Mais face à un vice de procédure soulevé par les avocats, les deux hommes ont été relaxés.
Tout a débuté par « un renseignement anonyme ». Une source a balancé un tuyau aux hommes de la BAC. Bien informé, il croit savoir que deux hommes vendent du cannabis et de la cocaïne, sur les contreforts du centre-ville. La came serait planquée chez un homme qui n’a plus de jambes. Les semaines passent et les forces de l’ordre poursuivent leurs investigations. Le portable de l’un des suspects et mis sur écoute. Ces fadettes permettent rapidement de cerner ce trafic.
Les deux hommes jugés au tribunal correctionnel de Besançon ont admis leur participation au trafic de stupéfiants.
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Question 56 of 90
56. Question
Deux hommes sont montés dans le box des prévenus ce vendredi, devant les juges du tribunal correctionnel de Besançon. Tous deux sont suspectés d’avoir mis en place un trafic de stupéfiants, à proximité du centre-ville de Besançon. Le premier, le regard sombre, tente de minimiser sa participation aux faits. Le second, pupilles bleues écarquillées, nie toute implication. Les policiers ont pourtant découvert d’importantes quantités de produits stupéfiants lors des perquisitions réalisées à leurs domiciles et dans l’appartement d’une nourrice. Mais face à un vice de procédure soulevé par les avocats, les deux hommes ont été relaxés.
Tout a débuté par « un renseignement anonyme ». Une source a balancé un tuyau aux hommes de la BAC. Bien informé, il croit savoir que deux hommes vendent du cannabis et de la cocaïne, sur les contreforts du centre-ville. La came serait planquée chez un homme qui n’a plus de jambes. Les semaines passent et les forces de l’ordre poursuivent leurs investigations. Le portable de l’un des suspects et mis sur écoute. Ces fadettes permettent rapidement de cerner ce trafic.
Les policiers ont trouvé des produits stupéfiants dans les domiciles des suspects et dans l’appartement d’une nourrice.
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Question 57 of 90
57. Question
Deux hommes sont montés dans le box des prévenus ce vendredi, devant les juges du tribunal correctionnel de Besançon. Tous deux sont suspectés d’avoir mis en place un trafic de stupéfiants, à proximité du centre-ville de Besançon. Le premier, le regard sombre, tente de minimiser sa participation aux faits. Le second, pupilles bleues écarquillées, nie toute implication. Les policiers ont pourtant découvert d’importantes quantités de produits stupéfiants lors des perquisitions réalisées à leurs domiciles et dans l’appartement d’une nourrice. Mais face à un vice de procédure soulevé par les avocats, les deux hommes ont été relaxés.
Tout a débuté par « un renseignement anonyme ». Une source a balancé un tuyau aux hommes de la BAC. Bien informé, il croit savoir que deux hommes vendent du cannabis et de la cocaïne, sur les contreforts du centre-ville. La came serait planquée chez un homme qui n’a plus de jambes. Les semaines passent et les forces de l’ordre poursuivent leurs investigations. Le portable de l’un des suspects et mis sur écoute. Ces fadettes permettent rapidement de cerner ce trafic.
Les suspects ont été condamnés malgré un vice de procédure.
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Question 58 of 90
58. Question
Deux hommes sont montés dans le box des prévenus ce vendredi, devant les juges du tribunal correctionnel de Besançon. Tous deux sont suspectés d’avoir mis en place un trafic de stupéfiants, à proximité du centre-ville de Besançon. Le premier, le regard sombre, tente de minimiser sa participation aux faits. Le second, pupilles bleues écarquillées, nie toute implication. Les policiers ont pourtant découvert d’importantes quantités de produits stupéfiants lors des perquisitions réalisées à leurs domiciles et dans l’appartement d’une nourrice. Mais face à un vice de procédure soulevé par les avocats, les deux hommes ont été relaxés.
Tout a débuté par « un renseignement anonyme ». Une source a balancé un tuyau aux hommes de la BAC. Bien informé, il croit savoir que deux hommes vendent du cannabis et de la cocaïne, sur les contreforts du centre-ville. La came serait planquée chez un homme qui n’a plus de jambes. Les semaines passent et les forces de l’ordre poursuivent leurs investigations. Le portable de l’un des suspects et mis sur écoute. Ces fadettes permettent rapidement de cerner ce trafic.
L’enquête sur le trafic de stupéfiants a commencé grâce à un renseignement anonyme.
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Question 59 of 90
59. Question
Deux hommes sont montés dans le box des prévenus ce vendredi, devant les juges du tribunal correctionnel de Besançon. Tous deux sont suspectés d’avoir mis en place un trafic de stupéfiants, à proximité du centre-ville de Besançon. Le premier, le regard sombre, tente de minimiser sa participation aux faits. Le second, pupilles bleues écarquillées, nie toute implication. Les policiers ont pourtant découvert d’importantes quantités de produits stupéfiants lors des perquisitions réalisées à leurs domiciles et dans l’appartement d’une nourrice. Mais face à un vice de procédure soulevé par les avocats, les deux hommes ont été relaxés.
Tout a débuté par « un renseignement anonyme ». Une source a balancé un tuyau aux hommes de la BAC. Bien informé, il croit savoir que deux hommes vendent du cannabis et de la cocaïne, sur les contreforts du centre-ville. La came serait planquée chez un homme qui n’a plus de jambes. Les semaines passent et les forces de l’ordre poursuivent leurs investigations. Le portable de l’un des suspects et mis sur écoute. Ces fadettes permettent rapidement de cerner ce trafic.
C’étaient les plus gros trafiquants du département.
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Question 60 of 90
60. Question
Deux hommes sont montés dans le box des prévenus ce vendredi, devant les juges du tribunal correctionnel de Besançon. Tous deux sont suspectés d’avoir mis en place un trafic de stupéfiants, à proximité du centre-ville de Besançon. Le premier, le regard sombre, tente de minimiser sa participation aux faits. Le second, pupilles bleues écarquillées, nie toute implication. Les policiers ont pourtant découvert d’importantes quantités de produits stupéfiants lors des perquisitions réalisées à leurs domiciles et dans l’appartement d’une nourrice. Mais face à un vice de procédure soulevé par les avocats, les deux hommes ont été relaxés.
Tout a débuté par « un renseignement anonyme ». Une source a balancé un tuyau aux hommes de la BAC. Bien informé, il croit savoir que deux hommes vendent du cannabis et de la cocaïne, sur les contreforts du centre-ville. La came serait planquée chez un homme qui n’a plus de jambes. Les semaines passent et les forces de l’ordre poursuivent leurs investigations. Le portable de l’un des suspects et mis sur écoute. Ces fadettes permettent rapidement de cerner ce trafic.
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Question 61 of 90
61. Question
« On se demande ce qu’on fait là », s’étonne Me Jean-Philippe Morel. Il est 23 h 30 au palais de justice de Besançon. Depuis cinq heures, ses clients, deux policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de Vesoul sont jugés en appel, poursuivis pour violences volontaires et faux en écriture. Ces derniers sont accusés d’avoir utilisé leur force de manière disproportionnée lors de l’interpellation de deux marginaux, devant la gare de Vesoul, le 16 février 2020. Et d’avoir « menti » dans leur PV de saisine. Le parquet de Vesoul avait ouvert une enquête, après avoir visionné les images de vidéoprotection, « équivoques » selon lui. En première instance, les policiers avaient été relaxés. Le parquet avait immédiatement fait appel. En janvier dernier, un supplément d’information avait été demandé par la Cour afin d’entendre les victimes et obtenir les conclusions de l’IGPN, qui, saisie en urgence, n’avait pas rendu de rapport de synthèse.
Très attendu, ce dernier -mené sur la base d’auditions de témoins et d’un conseiller spécialiste en technique d’intervention- a conclu à un usage proportionné et nécessaire de la force. « Un rapport qui disculpe totalement les policiers », relève l’avocat de la défense. Pendant près d’une heure ce jeudi.
Les policiers de la BAC de Vesoul ont été jugés pour violences volontaires et faux en écriture.
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Question 62 of 90
62. Question
« On se demande ce qu’on fait là », s’étonne Me Jean-Philippe Morel. Il est 23 h 30 au palais de justice de Besançon. Depuis cinq heures, ses clients, deux policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de Vesoul sont jugés en appel, poursuivis pour violences volontaires et faux en écriture. Ces derniers sont accusés d’avoir utilisé leur force de manière disproportionnée lors de l’interpellation de deux marginaux, devant la gare de Vesoul, le 16 février 2020. Et d’avoir « menti » dans leur PV de saisine. Le parquet de Vesoul avait ouvert une enquête, après avoir visionné les images de vidéoprotection, « équivoques » selon lui. En première instance, les policiers avaient été relaxés. Le parquet avait immédiatement fait appel. En janvier dernier, un supplément d’information avait été demandé par la Cour afin d’entendre les victimes et obtenir les conclusions de l’IGPN, qui, saisie en urgence, n’avait pas rendu de rapport de synthèse.
Très attendu, ce dernier -mené sur la base d’auditions de témoins et d’un conseiller spécialiste en technique d’intervention- a conclu à un usage proportionné et nécessaire de la force. « Un rapport qui disculpe totalement les policiers », relève l’avocat de la défense. Pendant près d’une heure ce jeudi.
Les deux policiers étaient habillés en civil au moment des faits.
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Question 63 of 90
63. Question
« On se demande ce qu’on fait là », s’étonne Me Jean-Philippe Morel. Il est 23 h 30 au palais de justice de Besançon. Depuis cinq heures, ses clients, deux policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de Vesoul sont jugés en appel, poursuivis pour violences volontaires et faux en écriture. Ces derniers sont accusés d’avoir utilisé leur force de manière disproportionnée lors de l’interpellation de deux marginaux, devant la gare de Vesoul, le 16 février 2020. Et d’avoir « menti » dans leur PV de saisine. Le parquet de Vesoul avait ouvert une enquête, après avoir visionné les images de vidéoprotection, « équivoques » selon lui. En première instance, les policiers avaient été relaxés. Le parquet avait immédiatement fait appel. En janvier dernier, un supplément d’information avait été demandé par la Cour afin d’entendre les victimes et obtenir les conclusions de l’IGPN, qui, saisie en urgence, n’avait pas rendu de rapport de synthèse.
Très attendu, ce dernier -mené sur la base d’auditions de témoins et d’un conseiller spécialiste en technique d’intervention- a conclu à un usage proportionné et nécessaire de la force. « Un rapport qui disculpe totalement les policiers », relève l’avocat de la défense. Pendant près d’une heure ce jeudi.
Les policiers avaient été condamnés en première instance.
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Question 64 of 90
64. Question
« On se demande ce qu’on fait là », s’étonne Me Jean-Philippe Morel. Il est 23 h 30 au palais de justice de Besançon. Depuis cinq heures, ses clients, deux policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de Vesoul sont jugés en appel, poursuivis pour violences volontaires et faux en écriture. Ces derniers sont accusés d’avoir utilisé leur force de manière disproportionnée lors de l’interpellation de deux marginaux, devant la gare de Vesoul, le 16 février 2020. Et d’avoir « menti » dans leur PV de saisine. Le parquet de Vesoul avait ouvert une enquête, après avoir visionné les images de vidéoprotection, « équivoques » selon lui. En première instance, les policiers avaient été relaxés. Le parquet avait immédiatement fait appel. En janvier dernier, un supplément d’information avait été demandé par la Cour afin d’entendre les victimes et obtenir les conclusions de l’IGPN, qui, saisie en urgence, n’avait pas rendu de rapport de synthèse.
Très attendu, ce dernier -mené sur la base d’auditions de témoins et d’un conseiller spécialiste en technique d’intervention- a conclu à un usage proportionné et nécessaire de la force. « Un rapport qui disculpe totalement les policiers », relève l’avocat de la défense. Pendant près d’une heure ce jeudi.
L’IGPN a rendu un rapport concluant à un usage disproportionné de la force par les policiers.
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Question 65 of 90
65. Question
« On se demande ce qu’on fait là », s’étonne Me Jean-Philippe Morel. Il est 23 h 30 au palais de justice de Besançon. Depuis cinq heures, ses clients, deux policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de Vesoul sont jugés en appel, poursuivis pour violences volontaires et faux en écriture. Ces derniers sont accusés d’avoir utilisé leur force de manière disproportionnée lors de l’interpellation de deux marginaux, devant la gare de Vesoul, le 16 février 2020. Et d’avoir « menti » dans leur PV de saisine. Le parquet de Vesoul avait ouvert une enquête, après avoir visionné les images de vidéoprotection, « équivoques » selon lui. En première instance, les policiers avaient été relaxés. Le parquet avait immédiatement fait appel. En janvier dernier, un supplément d’information avait été demandé par la Cour afin d’entendre les victimes et obtenir les conclusions de l’IGPN, qui, saisie en urgence, n’avait pas rendu de rapport de synthèse.
Très attendu, ce dernier -mené sur la base d’auditions de témoins et d’un conseiller spécialiste en technique d’intervention- a conclu à un usage proportionné et nécessaire de la force. « Un rapport qui disculpe totalement les policiers », relève l’avocat de la défense. Pendant près d’une heure ce jeudi.
L’audience en appel s’est tenue au palais de justice de Besançon.
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Question 66 of 90
66. Question
« On se demande ce qu’on fait là », s’étonne Me Jean-Philippe Morel. Il est 23 h 30 au palais de justice de Besançon. Depuis cinq heures, ses clients, deux policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de Vesoul sont jugés en appel, poursuivis pour violences volontaires et faux en écriture. Ces derniers sont accusés d’avoir utilisé leur force de manière disproportionnée lors de l’interpellation de deux marginaux, devant la gare de Vesoul, le 16 février 2020. Et d’avoir « menti » dans leur PV de saisine. Le parquet de Vesoul avait ouvert une enquête, après avoir visionné les images de vidéoprotection, « équivoques » selon lui. En première instance, les policiers avaient été relaxés. Le parquet avait immédiatement fait appel. En janvier dernier, un supplément d’information avait été demandé par la Cour afin d’entendre les victimes et obtenir les conclusions de l’IGPN, qui, saisie en urgence, n’avait pas rendu de rapport de synthèse.
Très attendu, ce dernier -mené sur la base d’auditions de témoins et d’un conseiller spécialiste en technique d’intervention- a conclu à un usage proportionné et nécessaire de la force. « Un rapport qui disculpe totalement les policiers », relève l’avocat de la défense. Pendant près d’une heure ce jeudi.
L’avocat des policiers affirme que le rapport de l’IGPN les disculpe complètement.
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Question 67 of 90
67. Question
Prétextant de ne pas pouvoir marcher, Bernard Demougeot, 72 ans, s’était auto-exempté de participer à son procès, lors de l’audience du 22 juin, au cours de laquelle sa victime, Adil Sefrioui, avait comparu désespérément seul.
Tourné et retourné sur le gril, pour lui faire reconnaître ses écarts de langage, ses supposés mauvais gestes et des dégradations commises sur la voiture venue le percuter sur le trottoir, le 21 avril dernier, l’électricien dolois, malgré 30 jours d’ITT et des bleus à l’âme pour s’être fait traiter de « bicot », avait parfois fait figure de principal accusé.
Et lors d’une plaidoirie magistrale ponctuant une audience marathon de plus de 8 heures, Me De Stefano, l’avocat de Bernard Demougeot emprunté à l’humoriste controversé Dieudonné, s’était engouffré dans la brèche pour dénoncer un « cirque médiatique » autour d’une affaire qui reposerait sur « des préjugés »… Ce, tandis que Me Schwerdorffer, défenseur d’Adil Sefrioui, réclamait la requalification des faits en tentative de meurtre et l’ouverture d’une information judiciaire.
Bernard Demougeot a assisté à son procès le 22 juin.
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Question 68 of 90
68. Question
Prétextant de ne pas pouvoir marcher, Bernard Demougeot, 72 ans, s’était auto-exempté de participer à son procès, lors de l’audience du 22 juin, au cours de laquelle sa victime, Adil Sefrioui, avait comparu désespérément seul.
Tourné et retourné sur le gril, pour lui faire reconnaître ses écarts de langage, ses supposés mauvais gestes et des dégradations commises sur la voiture venue le percuter sur le trottoir, le 21 avril dernier, l’électricien dolois, malgré 30 jours d’ITT et des bleus à l’âme pour s’être fait traiter de « bicot », avait parfois fait figure de principal accusé.
Et lors d’une plaidoirie magistrale ponctuant une audience marathon de plus de 8 heures, Me De Stefano, l’avocat de Bernard Demougeot emprunté à l’humoriste controversé Dieudonné, s’était engouffré dans la brèche pour dénoncer un « cirque médiatique » autour d’une affaire qui reposerait sur « des préjugés »… Ce, tandis que Me Schwerdorffer, défenseur d’Adil Sefrioui, réclamait la requalification des faits en tentative de meurtre et l’ouverture d’une information judiciaire.
Adil Sefrioui a été accusé d’avoir commis des dégradations sur la voiture de Bernard Demougeot.
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Question 69 of 90
69. Question
Prétextant de ne pas pouvoir marcher, Bernard Demougeot, 72 ans, s’était auto-exempté de participer à son procès, lors de l’audience du 22 juin, au cours de laquelle sa victime, Adil Sefrioui, avait comparu désespérément seul.
Tourné et retourné sur le gril, pour lui faire reconnaître ses écarts de langage, ses supposés mauvais gestes et des dégradations commises sur la voiture venue le percuter sur le trottoir, le 21 avril dernier, l’électricien dolois, malgré 30 jours d’ITT et des bleus à l’âme pour s’être fait traiter de « bicot », avait parfois fait figure de principal accusé.
Et lors d’une plaidoirie magistrale ponctuant une audience marathon de plus de 8 heures, Me De Stefano, l’avocat de Bernard Demougeot emprunté à l’humoriste controversé Dieudonné, s’était engouffré dans la brèche pour dénoncer un « cirque médiatique » autour d’une affaire qui reposerait sur « des préjugés »… Ce, tandis que Me Schwerdorffer, défenseur d’Adil Sefrioui, réclamait la requalification des faits en tentative de meurtre et l’ouverture d’une information judiciaire.
L’avocat de Bernard Demougeot est également l’avocat de l’humoriste Dieudonné.
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Question 70 of 90
70. Question
Prétextant de ne pas pouvoir marcher, Bernard Demougeot, 72 ans, s’était auto-exempté de participer à son procès, lors de l’audience du 22 juin, au cours de laquelle sa victime, Adil Sefrioui, avait comparu désespérément seul.
Tourné et retourné sur le gril, pour lui faire reconnaître ses écarts de langage, ses supposés mauvais gestes et des dégradations commises sur la voiture venue le percuter sur le trottoir, le 21 avril dernier, l’électricien dolois, malgré 30 jours d’ITT et des bleus à l’âme pour s’être fait traiter de « bicot », avait parfois fait figure de principal accusé.
Et lors d’une plaidoirie magistrale ponctuant une audience marathon de plus de 8 heures, Me De Stefano, l’avocat de Bernard Demougeot emprunté à l’humoriste controversé Dieudonné, s’était engouffré dans la brèche pour dénoncer un « cirque médiatique » autour d’une affaire qui reposerait sur « des préjugés »… Ce, tandis que Me Schwerdorffer, défenseur d’Adil Sefrioui, réclamait la requalification des faits en tentative de meurtre et l’ouverture d’une information judiciaire.
Cette plaidoirie à été la plus longue de l’année.
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Question 71 of 90
71. Question
Prétextant de ne pas pouvoir marcher, Bernard Demougeot, 72 ans, s’était auto-exempté de participer à son procès, lors de l’audience du 22 juin, au cours de laquelle sa victime, Adil Sefrioui, avait comparu désespérément seul.
Tourné et retourné sur le gril, pour lui faire reconnaître ses écarts de langage, ses supposés mauvais gestes et des dégradations commises sur la voiture venue le percuter sur le trottoir, le 21 avril dernier, l’électricien dolois, malgré 30 jours d’ITT et des bleus à l’âme pour s’être fait traiter de « bicot », avait parfois fait figure de principal accusé.
Et lors d’une plaidoirie magistrale ponctuant une audience marathon de plus de 8 heures, Me De Stefano, l’avocat de Bernard Demougeot emprunté à l’humoriste controversé Dieudonné, s’était engouffré dans la brèche pour dénoncer un « cirque médiatique » autour d’une affaire qui reposerait sur « des préjugés »… Ce, tandis que Me Schwerdorffer, défenseur d’Adil Sefrioui, réclamait la requalification des faits en tentative de meurtre et l’ouverture d’une information judiciaire.
L’avocat de Bernard Demougeot a qualifié l’affaire de « cirque médiatique ».
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Question 72 of 90
72. Question
Prétextant de ne pas pouvoir marcher, Bernard Demougeot, 72 ans, s’était auto-exempté de participer à son procès, lors de l’audience du 22 juin, au cours de laquelle sa victime, Adil Sefrioui, avait comparu désespérément seul.
Tourné et retourné sur le gril, pour lui faire reconnaître ses écarts de langage, ses supposés mauvais gestes et des dégradations commises sur la voiture venue le percuter sur le trottoir, le 21 avril dernier, l’électricien dolois, malgré 30 jours d’ITT et des bleus à l’âme pour s’être fait traiter de « bicot », avait parfois fait figure de principal accusé.
Et lors d’une plaidoirie magistrale ponctuant une audience marathon de plus de 8 heures, Me De Stefano, l’avocat de Bernard Demougeot emprunté à l’humoriste controversé Dieudonné, s’était engouffré dans la brèche pour dénoncer un « cirque médiatique » autour d’une affaire qui reposerait sur « des préjugés »… Ce, tandis que Me Schwerdorffer, défenseur d’Adil Sefrioui, réclamait la requalification des faits en tentative de meurtre et l’ouverture d’une information judiciaire.
L’avocat de Bernard Demougeot a dénoncé une médiatisation excessive du procès.
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Question 73 of 90
73. Question
Le tribunal d’Avignon a relaxé mardi un automobiliste qui avait causé un accident en état d’ébriété, estimant que la mesure de son taux d’alcool n’était pas fiable. En effet, le prévenu avait expliqué avoir fumé une cigarette quelques minutes avant d’être soumis à l’éthylomètre. Cet appareil permet de mesurer le taux d’alcoolémie contrairement à l’éthylotest qui, utilisé lors des contrôles au bord de la route n’indique lui qu’une présence ou non d’alcool dans le sang. La notice mentionne explicitement que le prévenu ne doit ni fumer, ni boire, ni manger dans la demi-heure précédant le test, pour assurer son exactitude.
L’automobiliste avignonnais, dont l’ébriété n’a donc pas pu être juridiquement démontrée, n’a écopé que d’une amende de 750 euros pour avoir grillé un feu rouge. «Ce sont les forces de l’ordre qui doivent prouver que l’éthylomètre a été correctement employé», explique Me Jean-François Casile, avocat. En réalité, depuis l’automne dernier, les avocats spécialisés multiplient les actions en s’appuyant sur cette faille. Le 26 octobre 2007, le tribunal correctionnel de Lure a relaxé un prévenu en s’appuyant sur le non-respect de la procédure d’utilisation de l’appareil. Trente minutes ne s’étaient pas écoulées entre le moment où le conducteur avait été arrêté et pris en charge par les policiers et celui ou il avait été soumis, au commissariat, à l’éthylomètre «J’ai déjà obtenu gain de cause dans une trentaine de dossiers», assure Me Jean-Baptiste Iosca.
Le tribunal d’Avignon a relaxé un automobiliste parce que le taux d’alcoolémie mesuré par l’éthylomètre n’était pas fiable.
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Question 74 of 90
74. Question
Le tribunal d’Avignon a relaxé mardi un automobiliste qui avait causé un accident en état d’ébriété, estimant que la mesure de son taux d’alcool n’était pas fiable. En effet, le prévenu avait expliqué avoir fumé une cigarette quelques minutes avant d’être soumis à l’éthylomètre. Cet appareil permet de mesurer le taux d’alcoolémie contrairement à l’éthylotest qui, utilisé lors des contrôles au bord de la route n’indique lui qu’une présence ou non d’alcool dans le sang. La notice mentionne explicitement que le prévenu ne doit ni fumer, ni boire, ni manger dans la demi-heure précédant le test, pour assurer son exactitude.
L’automobiliste avignonnais, dont l’ébriété n’a donc pas pu être juridiquement démontrée, n’a écopé que d’une amende de 750 euros pour avoir grillé un feu rouge. «Ce sont les forces de l’ordre qui doivent prouver que l’éthylomètre a été correctement employé», explique Me Jean-François Casile, avocat. En réalité, depuis l’automne dernier, les avocats spécialisés multiplient les actions en s’appuyant sur cette faille. Le 26 octobre 2007, le tribunal correctionnel de Lure a relaxé un prévenu en s’appuyant sur le non-respect de la procédure d’utilisation de l’appareil. Trente minutes ne s’étaient pas écoulées entre le moment où le conducteur avait été arrêté et pris en charge par les policiers et celui ou il avait été soumis, au commissariat, à l’éthylomètre «J’ai déjà obtenu gain de cause dans une trentaine de dossiers», assure Me Jean-Baptiste Iosca.
L’automobiliste a fait exprès de fumer avant d’être soumis à l’éthylomètre pour invalider le résultat.
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Question 75 of 90
75. Question
Le tribunal d’Avignon a relaxé mardi un automobiliste qui avait causé un accident en état d’ébriété, estimant que la mesure de son taux d’alcool n’était pas fiable. En effet, le prévenu avait expliqué avoir fumé une cigarette quelques minutes avant d’être soumis à l’éthylomètre. Cet appareil permet de mesurer le taux d’alcoolémie contrairement à l’éthylotest qui, utilisé lors des contrôles au bord de la route n’indique lui qu’une présence ou non d’alcool dans le sang. La notice mentionne explicitement que le prévenu ne doit ni fumer, ni boire, ni manger dans la demi-heure précédant le test, pour assurer son exactitude.
L’automobiliste avignonnais, dont l’ébriété n’a donc pas pu être juridiquement démontrée, n’a écopé que d’une amende de 750 euros pour avoir grillé un feu rouge. «Ce sont les forces de l’ordre qui doivent prouver que l’éthylomètre a été correctement employé», explique Me Jean-François Casile, avocat. En réalité, depuis l’automne dernier, les avocats spécialisés multiplient les actions en s’appuyant sur cette faille. Le 26 octobre 2007, le tribunal correctionnel de Lure a relaxé un prévenu en s’appuyant sur le non-respect de la procédure d’utilisation de l’appareil. Trente minutes ne s’étaient pas écoulées entre le moment où le conducteur avait été arrêté et pris en charge par les policiers et celui ou il avait été soumis, au commissariat, à l’éthylomètre «J’ai déjà obtenu gain de cause dans une trentaine de dossiers», assure Me Jean-Baptiste Iosca.
Selon la notice de l’éthylomètre, il est mentionné explicitement que le prévenu ne doit pas fumer, boire ou manger dans les 30 minutes précédant le test.
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Question 76 of 90
76. Question
Le tribunal d’Avignon a relaxé mardi un automobiliste qui avait causé un accident en état d’ébriété, estimant que la mesure de son taux d’alcool n’était pas fiable. En effet, le prévenu avait expliqué avoir fumé une cigarette quelques minutes avant d’être soumis à l’éthylomètre. Cet appareil permet de mesurer le taux d’alcoolémie contrairement à l’éthylotest qui, utilisé lors des contrôles au bord de la route n’indique lui qu’une présence ou non d’alcool dans le sang. La notice mentionne explicitement que le prévenu ne doit ni fumer, ni boire, ni manger dans la demi-heure précédant le test, pour assurer son exactitude.
L’automobiliste avignonnais, dont l’ébriété n’a donc pas pu être juridiquement démontrée, n’a écopé que d’une amende de 750 euros pour avoir grillé un feu rouge. «Ce sont les forces de l’ordre qui doivent prouver que l’éthylomètre a été correctement employé», explique Me Jean-François Casile, avocat. En réalité, depuis l’automne dernier, les avocats spécialisés multiplient les actions en s’appuyant sur cette faille. Le 26 octobre 2007, le tribunal correctionnel de Lure a relaxé un prévenu en s’appuyant sur le non-respect de la procédure d’utilisation de l’appareil. Trente minutes ne s’étaient pas écoulées entre le moment où le conducteur avait été arrêté et pris en charge par les policiers et celui ou il avait été soumis, au commissariat, à l’éthylomètre «J’ai déjà obtenu gain de cause dans une trentaine de dossiers», assure Me Jean-Baptiste Iosca.
L’automobiliste a été condamné à une peine de prison pour conduite en état d’ébriété.
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Question 77 of 90
77. Question
Le tribunal d’Avignon a relaxé mardi un automobiliste qui avait causé un accident en état d’ébriété, estimant que la mesure de son taux d’alcool n’était pas fiable. En effet, le prévenu avait expliqué avoir fumé une cigarette quelques minutes avant d’être soumis à l’éthylomètre. Cet appareil permet de mesurer le taux d’alcoolémie contrairement à l’éthylotest qui, utilisé lors des contrôles au bord de la route n’indique lui qu’une présence ou non d’alcool dans le sang. La notice mentionne explicitement que le prévenu ne doit ni fumer, ni boire, ni manger dans la demi-heure précédant le test, pour assurer son exactitude.
L’automobiliste avignonnais, dont l’ébriété n’a donc pas pu être juridiquement démontrée, n’a écopé que d’une amende de 750 euros pour avoir grillé un feu rouge. «Ce sont les forces de l’ordre qui doivent prouver que l’éthylomètre a été correctement employé», explique Me Jean-François Casile, avocat. En réalité, depuis l’automne dernier, les avocats spécialisés multiplient les actions en s’appuyant sur cette faille. Le 26 octobre 2007, le tribunal correctionnel de Lure a relaxé un prévenu en s’appuyant sur le non-respect de la procédure d’utilisation de l’appareil. Trente minutes ne s’étaient pas écoulées entre le moment où le conducteur avait été arrêté et pris en charge par les policiers et celui ou il avait été soumis, au commissariat, à l’éthylomètre «J’ai déjà obtenu gain de cause dans une trentaine de dossiers», assure Me Jean-Baptiste Iosca.
Les avocats spécialisés utilisent de plus en plus la faille liée à la procédure d’utilisation de l’éthylomètre pour obtenir la relaxe de leurs clients.
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Question 78 of 90
78. Question
Le tribunal d’Avignon a relaxé mardi un automobiliste qui avait causé un accident en état d’ébriété, estimant que la mesure de son taux d’alcool n’était pas fiable. En effet, le prévenu avait expliqué avoir fumé une cigarette quelques minutes avant d’être soumis à l’éthylomètre. Cet appareil permet de mesurer le taux d’alcoolémie contrairement à l’éthylotest qui, utilisé lors des contrôles au bord de la route n’indique lui qu’une présence ou non d’alcool dans le sang. La notice mentionne explicitement que le prévenu ne doit ni fumer, ni boire, ni manger dans la demi-heure précédant le test, pour assurer son exactitude.
L’automobiliste avignonnais, dont l’ébriété n’a donc pas pu être juridiquement démontrée, n’a écopé que d’une amende de 750 euros pour avoir grillé un feu rouge. «Ce sont les forces de l’ordre qui doivent prouver que l’éthylomètre a été correctement employé», explique Me Jean-François Casile, avocat. En réalité, depuis l’automne dernier, les avocats spécialisés multiplient les actions en s’appuyant sur cette faille. Le 26 octobre 2007, le tribunal correctionnel de Lure a relaxé un prévenu en s’appuyant sur le non-respect de la procédure d’utilisation de l’appareil. Trente minutes ne s’étaient pas écoulées entre le moment où le conducteur avait été arrêté et pris en charge par les policiers et celui ou il avait été soumis, au commissariat, à l’éthylomètre «J’ai déjà obtenu gain de cause dans une trentaine de dossiers», assure Me Jean-Baptiste Iosca.
Des avocats utilisent régulièrement le non-respect des procédures de l’éthylomètre pour faire relaxer leurs clients.
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Question 79 of 90
79. Question
Près de six ans après la mort de deux adolescents, tués dans une collision entre leur minimoto et une voiture de police en 2007 à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), le parquet a requis vendredi la relaxe du policier qui conduisait. Franck Viallet, 36 ans, est soupçonné d’avoir commis des fautes ayant joué «un rôle direct, déterminant et essentiel dans la production du dommage». Il doit répondre «d’homicides involontaires». Le décès de Mushim et Lakamy avait entraîné deux nuits d’échauffourées à Villiers-le-Bel, ainsi que dans plusieurs villes du Val-d’Oise.
Dans son réquisitoire, le procureur Henri Génin a insisté sur le «comportement routier aberrant» des deux adolescents, âgés de 15 et 16 ans, qui «jouaient avec leur vie et celle des autres comme à une roulette russe». «Dire la vérité à des familles éplorées, ce n’est pas facile», a-t-il souligné, tout en qualifiant la conduite du pilote de la moto «d’essentielle et déterminante» dans l’accident. «L’émotion et la colère se sont exprimées, le temps de la raison, qui est aussi celui de la justice, est maintenant venu», a-t-il poursuivi. Exprimant sa «perplexité» face à certaines conclusions de l’expertise, il a estimé que le doute devait profiter au prévenu. «La faute pénale d’imprudence se définit en droit mais s’apprécie en conscience», a-t-il conclu. Avant d’ajouter: «Je ne peux pas requérir en conscience la condamnation de M. Viallet».
Le policier Franck Viallet est accusé d’homicides volontaires dans l’accident.
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Question 80 of 90
80. Question
Près de six ans après la mort de deux adolescents, tués dans une collision entre leur minimoto et une voiture de police en 2007 à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), le parquet a requis vendredi la relaxe du policier qui conduisait. Franck Viallet, 36 ans, est soupçonné d’avoir commis des fautes ayant joué «un rôle direct, déterminant et essentiel dans la production du dommage». Il doit répondre «d’homicides involontaires». Le décès de Mushim et Lakamy avait entraîné deux nuits d’échauffourées à Villiers-le-Bel, ainsi que dans plusieurs villes du Val-d’Oise.
Dans son réquisitoire, le procureur Henri Génin a insisté sur le «comportement routier aberrant» des deux adolescents, âgés de 15 et 16 ans, qui «jouaient avec leur vie et celle des autres comme à une roulette russe». «Dire la vérité à des familles éplorées, ce n’est pas facile», a-t-il souligné, tout en qualifiant la conduite du pilote de la moto «d’essentielle et déterminante» dans l’accident. «L’émotion et la colère se sont exprimées, le temps de la raison, qui est aussi celui de la justice, est maintenant venu», a-t-il poursuivi. Exprimant sa «perplexité» face à certaines conclusions de l’expertise, il a estimé que le doute devait profiter au prévenu. «La faute pénale d’imprudence se définit en droit mais s’apprécie en conscience», a-t-il conclu. Avant d’ajouter: «Je ne peux pas requérir en conscience la condamnation de M. Viallet».
Le procureur a requis la condamnation de Franck Viallet.
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Question 81 of 90
81. Question
Près de six ans après la mort de deux adolescents, tués dans une collision entre leur minimoto et une voiture de police en 2007 à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), le parquet a requis vendredi la relaxe du policier qui conduisait. Franck Viallet, 36 ans, est soupçonné d’avoir commis des fautes ayant joué «un rôle direct, déterminant et essentiel dans la production du dommage». Il doit répondre «d’homicides involontaires». Le décès de Mushim et Lakamy avait entraîné deux nuits d’échauffourées à Villiers-le-Bel, ainsi que dans plusieurs villes du Val-d’Oise.
Dans son réquisitoire, le procureur Henri Génin a insisté sur le «comportement routier aberrant» des deux adolescents, âgés de 15 et 16 ans, qui «jouaient avec leur vie et celle des autres comme à une roulette russe». «Dire la vérité à des familles éplorées, ce n’est pas facile», a-t-il souligné, tout en qualifiant la conduite du pilote de la moto «d’essentielle et déterminante» dans l’accident. «L’émotion et la colère se sont exprimées, le temps de la raison, qui est aussi celui de la justice, est maintenant venu», a-t-il poursuivi. Exprimant sa «perplexité» face à certaines conclusions de l’expertise, il a estimé que le doute devait profiter au prévenu. «La faute pénale d’imprudence se définit en droit mais s’apprécie en conscience», a-t-il conclu. Avant d’ajouter: «Je ne peux pas requérir en conscience la condamnation de M. Viallet».
Les deux adolescents impliqués dans l’accident avaient respectivement 15 et 16 ans.
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Question 82 of 90
82. Question
Près de six ans après la mort de deux adolescents, tués dans une collision entre leur minimoto et une voiture de police en 2007 à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), le parquet a requis vendredi la relaxe du policier qui conduisait. Franck Viallet, 36 ans, est soupçonné d’avoir commis des fautes ayant joué «un rôle direct, déterminant et essentiel dans la production du dommage». Il doit répondre «d’homicides involontaires». Le décès de Mushim et Lakamy avait entraîné deux nuits d’échauffourées à Villiers-le-Bel, ainsi que dans plusieurs villes du Val-d’Oise.
Dans son réquisitoire, le procureur Henri Génin a insisté sur le «comportement routier aberrant» des deux adolescents, âgés de 15 et 16 ans, qui «jouaient avec leur vie et celle des autres comme à une roulette russe». «Dire la vérité à des familles éplorées, ce n’est pas facile», a-t-il souligné, tout en qualifiant la conduite du pilote de la moto «d’essentielle et déterminante» dans l’accident. «L’émotion et la colère se sont exprimées, le temps de la raison, qui est aussi celui de la justice, est maintenant venu», a-t-il poursuivi. Exprimant sa «perplexité» face à certaines conclusions de l’expertise, il a estimé que le doute devait profiter au prévenu. «La faute pénale d’imprudence se définit en droit mais s’apprécie en conscience», a-t-il conclu. Avant d’ajouter: «Je ne peux pas requérir en conscience la condamnation de M. Viallet».
Les deux adolescents étaient déjà bien connus des services de police.
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Question 83 of 90
83. Question
Près de six ans après la mort de deux adolescents, tués dans une collision entre leur minimoto et une voiture de police en 2007 à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), le parquet a requis vendredi la relaxe du policier qui conduisait. Franck Viallet, 36 ans, est soupçonné d’avoir commis des fautes ayant joué «un rôle direct, déterminant et essentiel dans la production du dommage». Il doit répondre «d’homicides involontaires». Le décès de Mushim et Lakamy avait entraîné deux nuits d’échauffourées à Villiers-le-Bel, ainsi que dans plusieurs villes du Val-d’Oise.
Dans son réquisitoire, le procureur Henri Génin a insisté sur le «comportement routier aberrant» des deux adolescents, âgés de 15 et 16 ans, qui «jouaient avec leur vie et celle des autres comme à une roulette russe». «Dire la vérité à des familles éplorées, ce n’est pas facile», a-t-il souligné, tout en qualifiant la conduite du pilote de la moto «d’essentielle et déterminante» dans l’accident. «L’émotion et la colère se sont exprimées, le temps de la raison, qui est aussi celui de la justice, est maintenant venu», a-t-il poursuivi. Exprimant sa «perplexité» face à certaines conclusions de l’expertise, il a estimé que le doute devait profiter au prévenu. «La faute pénale d’imprudence se définit en droit mais s’apprécie en conscience», a-t-il conclu. Avant d’ajouter: «Je ne peux pas requérir en conscience la condamnation de M. Viallet».
Le procureur a exprimé sa perplexité face à certaines conclusions de l’expertise.
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Question 84 of 90
84. Question
Près de six ans après la mort de deux adolescents, tués dans une collision entre leur minimoto et une voiture de police en 2007 à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), le parquet a requis vendredi la relaxe du policier qui conduisait. Franck Viallet, 36 ans, est soupçonné d’avoir commis des fautes ayant joué «un rôle direct, déterminant et essentiel dans la production du dommage». Il doit répondre «d’homicides involontaires». Le décès de Mushim et Lakamy avait entraîné deux nuits d’échauffourées à Villiers-le-Bel, ainsi que dans plusieurs villes du Val-d’Oise.
Dans son réquisitoire, le procureur Henri Génin a insisté sur le «comportement routier aberrant» des deux adolescents, âgés de 15 et 16 ans, qui «jouaient avec leur vie et celle des autres comme à une roulette russe». «Dire la vérité à des familles éplorées, ce n’est pas facile», a-t-il souligné, tout en qualifiant la conduite du pilote de la moto «d’essentielle et déterminante» dans l’accident. «L’émotion et la colère se sont exprimées, le temps de la raison, qui est aussi celui de la justice, est maintenant venu», a-t-il poursuivi. Exprimant sa «perplexité» face à certaines conclusions de l’expertise, il a estimé que le doute devait profiter au prévenu. «La faute pénale d’imprudence se définit en droit mais s’apprécie en conscience», a-t-il conclu. Avant d’ajouter: «Je ne peux pas requérir en conscience la condamnation de M. Viallet».
Le procureur a reconnu que certains éléments de l’expertise laissaient place au doute.
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Question 85 of 90
85. Question
Jeudi, vers 18 h, une collision mortelle entre une voiture et une moto s’est produite à Lannion, route de Trébeurden, à proximité de la pépinière Lepage. Âgé d’une trentaine d’années, le pilote du deux-roues a été tué sur le coup. Le conducteur de la voiture, âgé de 33 ans, a été placé en garde à vue : il était sous l’emprise d’un état alcoolique (1,50 g par litre de sang). En état de récidive légale pour conduite en état d’ivresse (condamnation de 2015), ce Trégorrois devait être jugé ce vendredi après-midi, au tribunal correctionnel de Saint-Brieuc dans le cadre de la comparution immédiate.
À la barre du tribunal, le grand gaillard, submergé par l’émotion, a demandé un délai pour préparer sa défense. Le procureur a malgré tout requis son maintien en détention jusqu’à la prochaine audience. « J’aurais souhaité avoir un peu de temps avant d’aller en prison. Même si je sais que de toute façon, je vais devoir y aller », lâche-le prévenu.
Le pilote de la moto était âgé d’une cinquantaine d’années.
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Question 86 of 90
86. Question
Jeudi, vers 18 h, une collision mortelle entre une voiture et une moto s’est produite à Lannion, route de Trébeurden, à proximité de la pépinière Lepage. Âgé d’une trentaine d’années, le pilote du deux-roues a été tué sur le coup. Le conducteur de la voiture, âgé de 33 ans, a été placé en garde à vue : il était sous l’emprise d’un état alcoolique (1,50 g par litre de sang). En état de récidive légale pour conduite en état d’ivresse (condamnation de 2015), ce Trégorrois devait être jugé ce vendredi après-midi, au tribunal correctionnel de Saint-Brieuc dans le cadre de la comparution immédiate.
À la barre du tribunal, le grand gaillard, submergé par l’émotion, a demandé un délai pour préparer sa défense. Le procureur a malgré tout requis son maintien en détention jusqu’à la prochaine audience. « J’aurais souhaité avoir un peu de temps avant d’aller en prison. Même si je sais que de toute façon, je vais devoir y aller », lâche-le prévenu.
Le conducteur de la voiture était en état d’ivresse lors de l’accident.
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Question 87 of 90
87. Question
Jeudi, vers 18 h, une collision mortelle entre une voiture et une moto s’est produite à Lannion, route de Trébeurden, à proximité de la pépinière Lepage. Âgé d’une trentaine d’années, le pilote du deux-roues a été tué sur le coup. Le conducteur de la voiture, âgé de 33 ans, a été placé en garde à vue : il était sous l’emprise d’un état alcoolique (1,50 g par litre de sang). En état de récidive légale pour conduite en état d’ivresse (condamnation de 2015), ce Trégorrois devait être jugé ce vendredi après-midi, au tribunal correctionnel de Saint-Brieuc dans le cadre de la comparution immédiate.
À la barre du tribunal, le grand gaillard, submergé par l’émotion, a demandé un délai pour préparer sa défense. Le procureur a malgré tout requis son maintien en détention jusqu’à la prochaine audience. « J’aurais souhaité avoir un peu de temps avant d’aller en prison. Même si je sais que de toute façon, je vais devoir y aller », lâche-le prévenu.
L’accident s’est produit à Saint-Brieuc, route de Trébeurden.
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Question 88 of 90
88. Question
Jeudi, vers 18 h, une collision mortelle entre une voiture et une moto s’est produite à Lannion, route de Trébeurden, à proximité de la pépinière Lepage. Âgé d’une trentaine d’années, le pilote du deux-roues a été tué sur le coup. Le conducteur de la voiture, âgé de 33 ans, a été placé en garde à vue : il était sous l’emprise d’un état alcoolique (1,50 g par litre de sang). En état de récidive légale pour conduite en état d’ivresse (condamnation de 2015), ce Trégorrois devait être jugé ce vendredi après-midi, au tribunal correctionnel de Saint-Brieuc dans le cadre de la comparution immédiate.
À la barre du tribunal, le grand gaillard, submergé par l’émotion, a demandé un délai pour préparer sa défense. Le procureur a malgré tout requis son maintien en détention jusqu’à la prochaine audience. « J’aurais souhaité avoir un peu de temps avant d’aller en prison. Même si je sais que de toute façon, je vais devoir y aller », lâche-le prévenu.
Le conducteur de la voiture avait déjà été condamné pour conduite en état d’ivresse en 2015.
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Question 89 of 90
89. Question
Jeudi, vers 18 h, une collision mortelle entre une voiture et une moto s’est produite à Lannion, route de Trébeurden, à proximité de la pépinière Lepage. Âgé d’une trentaine d’années, le pilote du deux-roues a été tué sur le coup. Le conducteur de la voiture, âgé de 33 ans, a été placé en garde à vue : il était sous l’emprise d’un état alcoolique (1,50 g par litre de sang). En état de récidive légale pour conduite en état d’ivresse (condamnation de 2015), ce Trégorrois devait être jugé ce vendredi après-midi, au tribunal correctionnel de Saint-Brieuc dans le cadre de la comparution immédiate.
À la barre du tribunal, le grand gaillard, submergé par l’émotion, a demandé un délai pour préparer sa défense. Le procureur a malgré tout requis son maintien en détention jusqu’à la prochaine audience. « J’aurais souhaité avoir un peu de temps avant d’aller en prison. Même si je sais que de toute façon, je vais devoir y aller », lâche-le prévenu.
Le prévenu a demandé un délai pour préparer sa défense lors de l’audience.
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Question 90 of 90
90. Question
Jeudi, vers 18 h, une collision mortelle entre une voiture et une moto s’est produite à Lannion, route de Trébeurden, à proximité de la pépinière Lepage. Âgé d’une trentaine d’années, le pilote du deux-roues a été tué sur le coup. Le conducteur de la voiture, âgé de 33 ans, a été placé en garde à vue : il était sous l’emprise d’un état alcoolique (1,50 g par litre de sang). En état de récidive légale pour conduite en état d’ivresse (condamnation de 2015), ce Trégorrois devait être jugé ce vendredi après-midi, au tribunal correctionnel de Saint-Brieuc dans le cadre de la comparution immédiate.
À la barre du tribunal, le grand gaillard, submergé par l’émotion, a demandé un délai pour préparer sa défense. Le procureur a malgré tout requis son maintien en détention jusqu’à la prochaine audience. « J’aurais souhaité avoir un peu de temps avant d’aller en prison. Même si je sais que de toute façon, je vais devoir y aller », lâche-le prévenu.
L’accident a eu lieu un vendredi vers 18h.
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