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Question 1 of 90
1. Question
De loin, à l’oreille, ils reconnaissaient son pas, son tour de clé, son parfum parfois : en prison, on s’attache à des détails auxquels, à l’air libre, on prête peu attention. Bien avant d’apercevoir le pantalon bleu nuit et le pull à barrettes de l’administration pénitentiaire, avant d’entendre l’accent de pinzuta (« continentale ») de Cathy Sénéchal ou de voir ses longs cheveux noirs, les détenus du centre pénitentiaire de Borgo, au sud de Bastia, savaient, de leur cellule, si c’était elle ou un autre surveillant qui arpentait le couloir ou prenait sa garde. « Salute, o Cathy ! »
Entre les murs de Borgo, l’atmosphère a toujours été particulière. Ici, les matons partagent le café des détenus, dans leur bureau ou une cellule, brunchent même parfois le dimanche. « C’est déjà arrivé que le repas de collègues au restaurant soit payé par des détenus », racontera Cathy sur procès-verbal. On se tutoie, on s’appelle par son prénom, on se claque la bise en prenant des nouvelles du « petit », du crédit du pavillon. On se protège, aussi. Les agressions de surveillants sont rarissimes : en janvier 2018, lorsque l’un d’eux est poignardé par un détenu, c’est un autre prisonnier qui lui sauve la vie en désarmant l’assaillant.
Les détenus de Borgo reconnaissent Cathy Sénéchal uniquement grâce à sa voix.
ExactInexact -
Question 2 of 90
2. Question
De loin, à l’oreille, ils reconnaissaient son pas, son tour de clé, son parfum parfois : en prison, on s’attache à des détails auxquels, à l’air libre, on prête peu attention. Bien avant d’apercevoir le pantalon bleu nuit et le pull à barrettes de l’administration pénitentiaire, avant d’entendre l’accent de pinzuta (« continentale ») de Cathy Sénéchal ou de voir ses longs cheveux noirs, les détenus du centre pénitentiaire de Borgo, au sud de Bastia, savaient, de leur cellule, si c’était elle ou un autre surveillant qui arpentait le couloir ou prenait sa garde. « Salute, o Cathy ! »
Entre les murs de Borgo, l’atmosphère a toujours été particulière. Ici, les matons partagent le café des détenus, dans leur bureau ou une cellule, brunchent même parfois le dimanche. « C’est déjà arrivé que le repas de collègues au restaurant soit payé par des détenus », racontera Cathy sur procès-verbal. On se tutoie, on s’appelle par son prénom, on se claque la bise en prenant des nouvelles du « petit », du crédit du pavillon. On se protège, aussi. Les agressions de surveillants sont rarissimes : en janvier 2018, lorsque l’un d’eux est poignardé par un détenu, c’est un autre prisonnier qui lui sauve la vie en désarmant l’assaillant.
Cathy Sénéchal est surveillante dans un centre pénitentiaire situé dans le sud de la France continentale.
ExactInexact -
Question 3 of 90
3. Question
De loin, à l’oreille, ils reconnaissaient son pas, son tour de clé, son parfum parfois : en prison, on s’attache à des détails auxquels, à l’air libre, on prête peu attention. Bien avant d’apercevoir le pantalon bleu nuit et le pull à barrettes de l’administration pénitentiaire, avant d’entendre l’accent de pinzuta (« continentale ») de Cathy Sénéchal ou de voir ses longs cheveux noirs, les détenus du centre pénitentiaire de Borgo, au sud de Bastia, savaient, de leur cellule, si c’était elle ou un autre surveillant qui arpentait le couloir ou prenait sa garde. « Salute, o Cathy ! »
Entre les murs de Borgo, l’atmosphère a toujours été particulière. Ici, les matons partagent le café des détenus, dans leur bureau ou une cellule, brunchent même parfois le dimanche. « C’est déjà arrivé que le repas de collègues au restaurant soit payé par des détenus », racontera Cathy sur procès-verbal. On se tutoie, on s’appelle par son prénom, on se claque la bise en prenant des nouvelles du « petit », du crédit du pavillon. On se protège, aussi. Les agressions de surveillants sont rarissimes : en janvier 2018, lorsque l’un d’eux est poignardé par un détenu, c’est un autre prisonnier qui lui sauve la vie en désarmant l’assaillant.
Des surveillants ont déjà partagé des repas au restaurant avec des détenus.
ExactInexact -
Question 4 of 90
4. Question
De loin, à l’oreille, ils reconnaissaient son pas, son tour de clé, son parfum parfois : en prison, on s’attache à des détails auxquels, à l’air libre, on prête peu attention. Bien avant d’apercevoir le pantalon bleu nuit et le pull à barrettes de l’administration pénitentiaire, avant d’entendre l’accent de pinzuta (« continentale ») de Cathy Sénéchal ou de voir ses longs cheveux noirs, les détenus du centre pénitentiaire de Borgo, au sud de Bastia, savaient, de leur cellule, si c’était elle ou un autre surveillant qui arpentait le couloir ou prenait sa garde. « Salute, o Cathy ! »
Entre les murs de Borgo, l’atmosphère a toujours été particulière. Ici, les matons partagent le café des détenus, dans leur bureau ou une cellule, brunchent même parfois le dimanche. « C’est déjà arrivé que le repas de collègues au restaurant soit payé par des détenus », racontera Cathy sur procès-verbal. On se tutoie, on s’appelle par son prénom, on se claque la bise en prenant des nouvelles du « petit », du crédit du pavillon. On se protège, aussi. Les agressions de surveillants sont rarissimes : en janvier 2018, lorsque l’un d’eux est poignardé par un détenu, c’est un autre prisonnier qui lui sauve la vie en désarmant l’assaillant.
Dans la prison de Borgo, les surveillants tutoient régulièrement les détenus.
ExactInexact -
Question 5 of 90
5. Question
De loin, à l’oreille, ils reconnaissaient son pas, son tour de clé, son parfum parfois : en prison, on s’attache à des détails auxquels, à l’air libre, on prête peu attention. Bien avant d’apercevoir le pantalon bleu nuit et le pull à barrettes de l’administration pénitentiaire, avant d’entendre l’accent de pinzuta (« continentale ») de Cathy Sénéchal ou de voir ses longs cheveux noirs, les détenus du centre pénitentiaire de Borgo, au sud de Bastia, savaient, de leur cellule, si c’était elle ou un autre surveillant qui arpentait le couloir ou prenait sa garde. « Salute, o Cathy ! »
Entre les murs de Borgo, l’atmosphère a toujours été particulière. Ici, les matons partagent le café des détenus, dans leur bureau ou une cellule, brunchent même parfois le dimanche. « C’est déjà arrivé que le repas de collègues au restaurant soit payé par des détenus », racontera Cathy sur procès-verbal. On se tutoie, on s’appelle par son prénom, on se claque la bise en prenant des nouvelles du « petit », du crédit du pavillon. On se protège, aussi. Les agressions de surveillants sont rarissimes : en janvier 2018, lorsque l’un d’eux est poignardé par un détenu, c’est un autre prisonnier qui lui sauve la vie en désarmant l’assaillant.
Cathy Sénéchal a été blessée lors d’une agression dans la prison en janvier 2018.
ExactInexact -
Question 6 of 90
6. Question
De loin, à l’oreille, ils reconnaissaient son pas, son tour de clé, son parfum parfois : en prison, on s’attache à des détails auxquels, à l’air libre, on prête peu attention. Bien avant d’apercevoir le pantalon bleu nuit et le pull à barrettes de l’administration pénitentiaire, avant d’entendre l’accent de pinzuta (« continentale ») de Cathy Sénéchal ou de voir ses longs cheveux noirs, les détenus du centre pénitentiaire de Borgo, au sud de Bastia, savaient, de leur cellule, si c’était elle ou un autre surveillant qui arpentait le couloir ou prenait sa garde. « Salute, o Cathy ! »
Entre les murs de Borgo, l’atmosphère a toujours été particulière. Ici, les matons partagent le café des détenus, dans leur bureau ou une cellule, brunchent même parfois le dimanche. « C’est déjà arrivé que le repas de collègues au restaurant soit payé par des détenus », racontera Cathy sur procès-verbal. On se tutoie, on s’appelle par son prénom, on se claque la bise en prenant des nouvelles du « petit », du crédit du pavillon. On se protège, aussi. Les agressions de surveillants sont rarissimes : en janvier 2018, lorsque l’un d’eux est poignardé par un détenu, c’est un autre prisonnier qui lui sauve la vie en désarmant l’assaillant.
Cathy Sénéchal est appréciée par l’ensemble des détenus du centre pénitentiaire de Borgo.
ExactInexact -
Question 7 of 90
7. Question
Renforcer les moyens des pompiers, multiplier les pare-feu ou les citernes à eau en forêt, adapter les essences d’arbres… Les pistes pour mieux prévenir les incendies sont multiples. Il faut aussi, et peut-être de manière prioritaire, sensibiliser la population au risque et lutter contre les pyromanes : au moins neuf incendies sur dix sont d’origine humaine, de façon volontaire ou involontaire.
Face aux départs de feu volontaires, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé dans Le Journal du dimanche, le 21 août, vouloir « améliorer le travail d’enquête judiciaire » en créant notamment 3 000 postes de « gendarme vert ». « L’objectif est que, dans chaque brigade de gendarmerie, il y ait des gendarmes formés aux atteintes à l’écologie », précisait-il, sans fixer d’échéance.
La majorité des incendies sont d’origine humaine.
ExactInexact -
Question 8 of 90
8. Question
Renforcer les moyens des pompiers, multiplier les pare-feu ou les citernes à eau en forêt, adapter les essences d’arbres… Les pistes pour mieux prévenir les incendies sont multiples. Il faut aussi, et peut-être de manière prioritaire, sensibiliser la population au risque et lutter contre les pyromanes : au moins neuf incendies sur dix sont d’origine humaine, de façon volontaire ou involontaire.
Face aux départs de feu volontaires, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé dans Le Journal du dimanche, le 21 août, vouloir « améliorer le travail d’enquête judiciaire » en créant notamment 3 000 postes de « gendarme vert ». « L’objectif est que, dans chaque brigade de gendarmerie, il y ait des gendarmes formés aux atteintes à l’écologie », précisait-il, sans fixer d’échéance.
Des milliers de postes de pompiers vont être créés pour mieux prévenir les incendies.
ExactInexact -
Question 9 of 90
9. Question
Renforcer les moyens des pompiers, multiplier les pare-feu ou les citernes à eau en forêt, adapter les essences d’arbres… Les pistes pour mieux prévenir les incendies sont multiples. Il faut aussi, et peut-être de manière prioritaire, sensibiliser la population au risque et lutter contre les pyromanes : au moins neuf incendies sur dix sont d’origine humaine, de façon volontaire ou involontaire.
Face aux départs de feu volontaires, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé dans Le Journal du dimanche, le 21 août, vouloir « améliorer le travail d’enquête judiciaire » en créant notamment 3 000 postes de « gendarme vert ». « L’objectif est que, dans chaque brigade de gendarmerie, il y ait des gendarmes formés aux atteintes à l’écologie », précisait-il, sans fixer d’échéance.
Le projet de création de « gendarmes verts » a été bien accueilli par les citoyens.
ExactInexact -
Question 10 of 90
10. Question
Renforcer les moyens des pompiers, multiplier les pare-feu ou les citernes à eau en forêt, adapter les essences d’arbres… Les pistes pour mieux prévenir les incendies sont multiples. Il faut aussi, et peut-être de manière prioritaire, sensibiliser la population au risque et lutter contre les pyromanes : au moins neuf incendies sur dix sont d’origine humaine, de façon volontaire ou involontaire.
Face aux départs de feu volontaires, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé dans Le Journal du dimanche, le 21 août, vouloir « améliorer le travail d’enquête judiciaire » en créant notamment 3 000 postes de « gendarme vert ». « L’objectif est que, dans chaque brigade de gendarmerie, il y ait des gendarmes formés aux atteintes à l’écologie », précisait-il, sans fixer d’échéance.
Les « gendarmes verts » auront pour mission de lutter contre les atteintes à l’écologie.
ExactInexact -
Question 11 of 90
11. Question
Renforcer les moyens des pompiers, multiplier les pare-feu ou les citernes à eau en forêt, adapter les essences d’arbres… Les pistes pour mieux prévenir les incendies sont multiples. Il faut aussi, et peut-être de manière prioritaire, sensibiliser la population au risque et lutter contre les pyromanes : au moins neuf incendies sur dix sont d’origine humaine, de façon volontaire ou involontaire.
Face aux départs de feu volontaires, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé dans Le Journal du dimanche, le 21 août, vouloir « améliorer le travail d’enquête judiciaire » en créant notamment 3 000 postes de « gendarme vert ». « L’objectif est que, dans chaque brigade de gendarmerie, il y ait des gendarmes formés aux atteintes à l’écologie », précisait-il, sans fixer d’échéance.
Le ministre de l’intérieur a fixé une date précise pour la mise en place des 3 000 gendarmes verts.
ExactInexact -
Question 12 of 90
12. Question
Renforcer les moyens des pompiers, multiplier les pare-feu ou les citernes à eau en forêt, adapter les essences d’arbres… Les pistes pour mieux prévenir les incendies sont multiples. Il faut aussi, et peut-être de manière prioritaire, sensibiliser la population au risque et lutter contre les pyromanes : au moins neuf incendies sur dix sont d’origine humaine, de façon volontaire ou involontaire.
Face aux départs de feu volontaires, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé dans Le Journal du dimanche, le 21 août, vouloir « améliorer le travail d’enquête judiciaire » en créant notamment 3 000 postes de « gendarme vert ». « L’objectif est que, dans chaque brigade de gendarmerie, il y ait des gendarmes formés aux atteintes à l’écologie », précisait-il, sans fixer d’échéance.
Les incendies d’origine humaine sont principalement déclenchés de manière volontaire.
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Question 13 of 90
13. Question
La police est arrivée au bout de ce trafic de stupéfiants des deux frères d’une façon très classique. Un informateur a fait un signalement et parlé de l’entrée 15 bis du Cèdre bleu au Haut-du-Lièvre. Planques et repérages ont permis d’identifier un individu muni d’une capuche rabattue sur la tête et d’une sacoche pour ordinateur. L’identification de l’appartement suivit. On ne tarda pas à trouver le téléphone portable qui fonctionnait à plein rendement dans ledit appartement, situé au 6e étage. Le parquet autorisa la recherche des fadettes, ce qui déboucha sur 7.000 appels et 350 correspondants. Bientôt, les écoutes prirent le relais, autorisées par le juge des libertés et de la détention. 136 pages d’écoutes plus tard, la conviction des policiers était faite. Restait le flagrant délit, qui fut effectif le 3 octobre. L’un des deux frères, Ibrahim est arrêté, l’autre, Abderrahmane s’enfuit par le balcon et se fait cueillir chez le voisin du dessous stupéfait. « L’activité commençait à midi », note le président Haouy. « Et à partir de là, c’était le supermarché de la drogue. Entre 12 h 52 et 22h, cinquante-six personnes sont entrées dans cet appartement. » Détail pénible, son locataire légitime a été évincé par les deux hommes, et s’est réfugié dans le sud de la France. Les deux frères l’ont chargé autant que possible devant les enquêteurs, expliquant que c’était lui le trafiquant.
L’enquête a commencé grâce à un signalement effectué par un informateur.
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Question 14 of 90
14. Question
La police est arrivée au bout de ce trafic de stupéfiants des deux frères d’une façon très classique. Un informateur a fait un signalement et parlé de l’entrée 15 bis du Cèdre bleu au Haut-du-Lièvre. Planques et repérages ont permis d’identifier un individu muni d’une capuche rabattue sur la tête et d’une sacoche pour ordinateur. L’identification de l’appartement suivit. On ne tarda pas à trouver le téléphone portable qui fonctionnait à plein rendement dans ledit appartement, situé au 6e étage. Le parquet autorisa la recherche des fadettes, ce qui déboucha sur 7.000 appels et 350 correspondants. Bientôt, les écoutes prirent le relais, autorisées par le juge des libertés et de la détention. 136 pages d’écoutes plus tard, la conviction des policiers était faite. Restait le flagrant délit, qui fut effectif le 3 octobre. L’un des deux frères, Ibrahim est arrêté, l’autre, Abderrahmane s’enfuit par le balcon et se fait cueillir chez le voisin du dessous stupéfait. « L’activité commençait à midi », note le président Haouy. « Et à partir de là, c’était le supermarché de la drogue. Entre 12 h 52 et 22h, cinquante-six personnes sont entrées dans cet appartement. » Détail pénible, son locataire légitime a été évincé par les deux hommes, et s’est réfugié dans le sud de la France. Les deux frères l’ont chargé autant que possible devant les enquêteurs, expliquant que c’était lui le trafiquant.
Les deux frères ont été arrêtés dans l’appartement du 6e étage.
ExactInexact -
Question 15 of 90
15. Question
La police est arrivée au bout de ce trafic de stupéfiants des deux frères d’une façon très classique. Un informateur a fait un signalement et parlé de l’entrée 15 bis du Cèdre bleu au Haut-du-Lièvre. Planques et repérages ont permis d’identifier un individu muni d’une capuche rabattue sur la tête et d’une sacoche pour ordinateur. L’identification de l’appartement suivit. On ne tarda pas à trouver le téléphone portable qui fonctionnait à plein rendement dans ledit appartement, situé au 6e étage. Le parquet autorisa la recherche des fadettes, ce qui déboucha sur 7.000 appels et 350 correspondants. Bientôt, les écoutes prirent le relais, autorisées par le juge des libertés et de la détention. 136 pages d’écoutes plus tard, la conviction des policiers était faite. Restait le flagrant délit, qui fut effectif le 3 octobre. L’un des deux frères, Ibrahim est arrêté, l’autre, Abderrahmane s’enfuit par le balcon et se fait cueillir chez le voisin du dessous stupéfait. « L’activité commençait à midi », note le président Haouy. « Et à partir de là, c’était le supermarché de la drogue. Entre 12 h 52 et 22h, cinquante-six personnes sont entrées dans cet appartement. » Détail pénible, son locataire légitime a été évincé par les deux hommes, et s’est réfugié dans le sud de la France. Les deux frères l’ont chargé autant que possible devant les enquêteurs, expliquant que c’était lui le trafiquant.
Les écoutes téléphoniques ont été autorisées par le procureur de la République.
ExactInexact -
Question 16 of 90
16. Question
La police est arrivée au bout de ce trafic de stupéfiants des deux frères d’une façon très classique. Un informateur a fait un signalement et parlé de l’entrée 15 bis du Cèdre bleu au Haut-du-Lièvre. Planques et repérages ont permis d’identifier un individu muni d’une capuche rabattue sur la tête et d’une sacoche pour ordinateur. L’identification de l’appartement suivit. On ne tarda pas à trouver le téléphone portable qui fonctionnait à plein rendement dans ledit appartement, situé au 6e étage. Le parquet autorisa la recherche des fadettes, ce qui déboucha sur 7.000 appels et 350 correspondants. Bientôt, les écoutes prirent le relais, autorisées par le juge des libertés et de la détention. 136 pages d’écoutes plus tard, la conviction des policiers était faite. Restait le flagrant délit, qui fut effectif le 3 octobre. L’un des deux frères, Ibrahim est arrêté, l’autre, Abderrahmane s’enfuit par le balcon et se fait cueillir chez le voisin du dessous stupéfait. « L’activité commençait à midi », note le président Haouy. « Et à partir de là, c’était le supermarché de la drogue. Entre 12 h 52 et 22h, cinquante-six personnes sont entrées dans cet appartement. » Détail pénible, son locataire légitime a été évincé par les deux hommes, et s’est réfugié dans le sud de la France. Les deux frères l’ont chargé autant que possible devant les enquêteurs, expliquant que c’était lui le trafiquant.
Les policiers ont enregistré 136 pages d’écoutes avant de passer à l’arrestation.
ExactInexact -
Question 17 of 90
17. Question
La police est arrivée au bout de ce trafic de stupéfiants des deux frères d’une façon très classique. Un informateur a fait un signalement et parlé de l’entrée 15 bis du Cèdre bleu au Haut-du-Lièvre. Planques et repérages ont permis d’identifier un individu muni d’une capuche rabattue sur la tête et d’une sacoche pour ordinateur. L’identification de l’appartement suivit. On ne tarda pas à trouver le téléphone portable qui fonctionnait à plein rendement dans ledit appartement, situé au 6e étage. Le parquet autorisa la recherche des fadettes, ce qui déboucha sur 7.000 appels et 350 correspondants. Bientôt, les écoutes prirent le relais, autorisées par le juge des libertés et de la détention. 136 pages d’écoutes plus tard, la conviction des policiers était faite. Restait le flagrant délit, qui fut effectif le 3 octobre. L’un des deux frères, Ibrahim est arrêté, l’autre, Abderrahmane s’enfuit par le balcon et se fait cueillir chez le voisin du dessous stupéfait. « L’activité commençait à midi », note le président Haouy. « Et à partir de là, c’était le supermarché de la drogue. Entre 12 h 52 et 22h, cinquante-six personnes sont entrées dans cet appartement. » Détail pénible, son locataire légitime a été évincé par les deux hommes, et s’est réfugié dans le sud de la France. Les deux frères l’ont chargé autant que possible devant les enquêteurs, expliquant que c’était lui le trafiquant.
Le locataire légitime de l’appartement a été victime d’intimidation physique.
ExactInexact -
Question 18 of 90
18. Question
La police est arrivée au bout de ce trafic de stupéfiants des deux frères d’une façon très classique. Un informateur a fait un signalement et parlé de l’entrée 15 bis du Cèdre bleu au Haut-du-Lièvre. Planques et repérages ont permis d’identifier un individu muni d’une capuche rabattue sur la tête et d’une sacoche pour ordinateur. L’identification de l’appartement suivit. On ne tarda pas à trouver le téléphone portable qui fonctionnait à plein rendement dans ledit appartement, situé au 6e étage. Le parquet autorisa la recherche des fadettes, ce qui déboucha sur 7.000 appels et 350 correspondants. Bientôt, les écoutes prirent le relais, autorisées par le juge des libertés et de la détention. 136 pages d’écoutes plus tard, la conviction des policiers était faite. Restait le flagrant délit, qui fut effectif le 3 octobre. L’un des deux frères, Ibrahim est arrêté, l’autre, Abderrahmane s’enfuit par le balcon et se fait cueillir chez le voisin du dessous stupéfait. « L’activité commençait à midi », note le président Haouy. « Et à partir de là, c’était le supermarché de la drogue. Entre 12 h 52 et 22h, cinquante-six personnes sont entrées dans cet appartement. » Détail pénible, son locataire légitime a été évincé par les deux hommes, et s’est réfugié dans le sud de la France. Les deux frères l’ont chargé autant que possible devant les enquêteurs, expliquant que c’était lui le trafiquant.
Abderrahmane a tenté de s’échapper par le toit du bâtiment.
ExactInexact -
Question 19 of 90
19. Question
La gendarmerie nationale a édité une infographie toute en couleurs pour jouer la carte de la transparence et apaiser les craintes. Ce document que Le Parisien/Aujourd’hui en France a en sa possession, revient chronologiquement sur la gestion de la crise « MT09 », du nom de cette moto construite par Yamaha et qui équipait les Escadrons départementaux de sécurité routière (EDSR) depuis mai 2016. Le 7 juillet 2017, la direction de la gendarmerie avait décidé de ne plus exploiter cette moto jugée potentiellement dangereuse. Même mesure dans les rangs de la police nationale. Depuis la semaine dernière, après des mois de tests et de formations, ce deux-roues revient dans les garages des unités. Non sans crainte.
Et pour cause. En deux mois, en 2017, au moins deux accidents mortels inexpliqués impliquant des forces de l’ordre ont été recensés sur cette moto. D’abord à Tours (Indre-et-Loire), le 18 avril 2017. Florent Laverdure, un jeune policier municipal de 29 ans originaire de l’Aisne, perd, pour une raison indéterminée, le contrôle de sa moto alors qu’il circule sur l’autoroute A10 pour partir en intervention. Il percute le terre-plein central.
La moto MT09 n’était plus utilisée par la gendarmerie nationale à partir de juillet 2017.
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Question 20 of 90
20. Question
La gendarmerie nationale a édité une infographie toute en couleurs pour jouer la carte de la transparence et apaiser les craintes. Ce document que Le Parisien/Aujourd’hui en France a en sa possession, revient chronologiquement sur la gestion de la crise « MT09 », du nom de cette moto construite par Yamaha et qui équipait les Escadrons départementaux de sécurité routière (EDSR) depuis mai 2016. Le 7 juillet 2017, la direction de la gendarmerie avait décidé de ne plus exploiter cette moto jugée potentiellement dangereuse. Même mesure dans les rangs de la police nationale. Depuis la semaine dernière, après des mois de tests et de formations, ce deux-roues revient dans les garages des unités. Non sans crainte.
Et pour cause. En deux mois, en 2017, au moins deux accidents mortels inexpliqués impliquant des forces de l’ordre ont été recensés sur cette moto. D’abord à Tours (Indre-et-Loire), le 18 avril 2017. Florent Laverdure, un jeune policier municipal de 29 ans originaire de l’Aisne, perd, pour une raison indéterminée, le contrôle de sa moto alors qu’il circule sur l’autoroute A10 pour partir en intervention. Il percute le terre-plein central.
Le retour de la MT09 dans les unités s’est accompagné d’un renforcement de la sécurité des motos.
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Question 21 of 90
21. Question
La gendarmerie nationale a édité une infographie toute en couleurs pour jouer la carte de la transparence et apaiser les craintes. Ce document que Le Parisien/Aujourd’hui en France a en sa possession, revient chronologiquement sur la gestion de la crise « MT09 », du nom de cette moto construite par Yamaha et qui équipait les Escadrons départementaux de sécurité routière (EDSR) depuis mai 2016. Le 7 juillet 2017, la direction de la gendarmerie avait décidé de ne plus exploiter cette moto jugée potentiellement dangereuse. Même mesure dans les rangs de la police nationale. Depuis la semaine dernière, après des mois de tests et de formations, ce deux-roues revient dans les garages des unités. Non sans crainte.
Et pour cause. En deux mois, en 2017, au moins deux accidents mortels inexpliqués impliquant des forces de l’ordre ont été recensés sur cette moto. D’abord à Tours (Indre-et-Loire), le 18 avril 2017. Florent Laverdure, un jeune policier municipal de 29 ans originaire de l’Aisne, perd, pour une raison indéterminée, le contrôle de sa moto alors qu’il circule sur l’autoroute A10 pour partir en intervention. Il percute le terre-plein central.
La moto MT09 est fabriquée par la marque Honda.
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Question 22 of 90
22. Question
La gendarmerie nationale a édité une infographie toute en couleurs pour jouer la carte de la transparence et apaiser les craintes. Ce document que Le Parisien/Aujourd’hui en France a en sa possession, revient chronologiquement sur la gestion de la crise « MT09 », du nom de cette moto construite par Yamaha et qui équipait les Escadrons départementaux de sécurité routière (EDSR) depuis mai 2016. Le 7 juillet 2017, la direction de la gendarmerie avait décidé de ne plus exploiter cette moto jugée potentiellement dangereuse. Même mesure dans les rangs de la police nationale. Depuis la semaine dernière, après des mois de tests et de formations, ce deux-roues revient dans les garages des unités. Non sans crainte.
Et pour cause. En deux mois, en 2017, au moins deux accidents mortels inexpliqués impliquant des forces de l’ordre ont été recensés sur cette moto. D’abord à Tours (Indre-et-Loire), le 18 avril 2017. Florent Laverdure, un jeune policier municipal de 29 ans originaire de l’Aisne, perd, pour une raison indéterminée, le contrôle de sa moto alors qu’il circule sur l’autoroute A10 pour partir en intervention. Il percute le terre-plein central.
La gendarmerie a publié une infographie dans le but de rassurer l’opinion publique.
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Question 23 of 90
23. Question
La gendarmerie nationale a édité une infographie toute en couleurs pour jouer la carte de la transparence et apaiser les craintes. Ce document que Le Parisien/Aujourd’hui en France a en sa possession, revient chronologiquement sur la gestion de la crise « MT09 », du nom de cette moto construite par Yamaha et qui équipait les Escadrons départementaux de sécurité routière (EDSR) depuis mai 2016. Le 7 juillet 2017, la direction de la gendarmerie avait décidé de ne plus exploiter cette moto jugée potentiellement dangereuse. Même mesure dans les rangs de la police nationale. Depuis la semaine dernière, après des mois de tests et de formations, ce deux-roues revient dans les garages des unités. Non sans crainte.
Et pour cause. En deux mois, en 2017, au moins deux accidents mortels inexpliqués impliquant des forces de l’ordre ont été recensés sur cette moto. D’abord à Tours (Indre-et-Loire), le 18 avril 2017. Florent Laverdure, un jeune policier municipal de 29 ans originaire de l’Aisne, perd, pour une raison indéterminée, le contrôle de sa moto alors qu’il circule sur l’autoroute A10 pour partir en intervention. Il percute le terre-plein central.
Florent Laverdure est décédé lors d’un entraînement sur piste fermée.
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Question 24 of 90
24. Question
La gendarmerie nationale a édité une infographie toute en couleurs pour jouer la carte de la transparence et apaiser les craintes. Ce document que Le Parisien/Aujourd’hui en France a en sa possession, revient chronologiquement sur la gestion de la crise « MT09 », du nom de cette moto construite par Yamaha et qui équipait les Escadrons départementaux de sécurité routière (EDSR) depuis mai 2016. Le 7 juillet 2017, la direction de la gendarmerie avait décidé de ne plus exploiter cette moto jugée potentiellement dangereuse. Même mesure dans les rangs de la police nationale. Depuis la semaine dernière, après des mois de tests et de formations, ce deux-roues revient dans les garages des unités. Non sans crainte.
Et pour cause. En deux mois, en 2017, au moins deux accidents mortels inexpliqués impliquant des forces de l’ordre ont été recensés sur cette moto. D’abord à Tours (Indre-et-Loire), le 18 avril 2017. Florent Laverdure, un jeune policier municipal de 29 ans originaire de l’Aisne, perd, pour une raison indéterminée, le contrôle de sa moto alors qu’il circule sur l’autoroute A10 pour partir en intervention. Il percute le terre-plein central.
Deux accidents mortels sur MT09 ont été enregistrés dans la même semaine.
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Question 25 of 90
25. Question
Les assises de Saône-et-Loire ont entamé, lundi 21 juin, le procès de Valérie Bacot, souvent présentée comme la « nouvelle Jacqueline Sauvage », pour l’assassinat de son mari proxénète qui la violait depuis l’âge de 12 ans. Écharpe ocre sur veste noire, l’accusée n’a pas fait de commentaire à son arrivée au palais de justice de Chalon-sur-Saône, visiblement très impressionnée par la foule de journalistes qui l’a entourée. Elle comparaît libre après avoir été placée sous contrôle judiciaire à la fin de l’année 2018.
Valérie Bacot a ainsi raconté l’emprise qu’avait son ex-beau-père violent, devenu son mari et proxénète, lundi, au premier jour de son procès, pour l’avoir tué d’une balle dans la nuque. « Au départ, j’étais contente qu’il revienne », se souvient Valérie Bacot quand elle est interrogée sur cette étonnante année 1997, où son beau-père rentre au foyer familial à sa sortie de prison, où il avait pourtant été incarcéré pour avoir violé celle qui était alors sa belle-fille âgée de 12 ans.
Valérie Bacot est jugée pour avoir tué son mari d’une balle dans la nuque.
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Question 26 of 90
26. Question
Les assises de Saône-et-Loire ont entamé, lundi 21 juin, le procès de Valérie Bacot, souvent présentée comme la « nouvelle Jacqueline Sauvage », pour l’assassinat de son mari proxénète qui la violait depuis l’âge de 12 ans. Écharpe ocre sur veste noire, l’accusée n’a pas fait de commentaire à son arrivée au palais de justice de Chalon-sur-Saône, visiblement très impressionnée par la foule de journalistes qui l’a entourée. Elle comparaît libre après avoir été placée sous contrôle judiciaire à la fin de l’année 2018.
Valérie Bacot a ainsi raconté l’emprise qu’avait son ex-beau-père violent, devenu son mari et proxénète, lundi, au premier jour de son procès, pour l’avoir tué d’une balle dans la nuque. « Au départ, j’étais contente qu’il revienne », se souvient Valérie Bacot quand elle est interrogée sur cette étonnante année 1997, où son beau-père rentre au foyer familial à sa sortie de prison, où il avait pourtant été incarcéré pour avoir violé celle qui était alors sa belle-fille âgée de 12 ans.
Le procès de Valérie Bacot s’est ouvert en juin 2018.
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27. Question
Les assises de Saône-et-Loire ont entamé, lundi 21 juin, le procès de Valérie Bacot, souvent présentée comme la « nouvelle Jacqueline Sauvage », pour l’assassinat de son mari proxénète qui la violait depuis l’âge de 12 ans. Écharpe ocre sur veste noire, l’accusée n’a pas fait de commentaire à son arrivée au palais de justice de Chalon-sur-Saône, visiblement très impressionnée par la foule de journalistes qui l’a entourée. Elle comparaît libre après avoir été placée sous contrôle judiciaire à la fin de l’année 2018.
Valérie Bacot a ainsi raconté l’emprise qu’avait son ex-beau-père violent, devenu son mari et proxénète, lundi, au premier jour de son procès, pour l’avoir tué d’une balle dans la nuque. « Au départ, j’étais contente qu’il revienne », se souvient Valérie Bacot quand elle est interrogée sur cette étonnante année 1997, où son beau-père rentre au foyer familial à sa sortie de prison, où il avait pourtant été incarcéré pour avoir violé celle qui était alors sa belle-fille âgée de 12 ans.
Valérie Bacot portait une écharpe noire lors de son arrivée au palais de justice.
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Question 28 of 90
28. Question
Les assises de Saône-et-Loire ont entamé, lundi 21 juin, le procès de Valérie Bacot, souvent présentée comme la « nouvelle Jacqueline Sauvage », pour l’assassinat de son mari proxénète qui la violait depuis l’âge de 12 ans. Écharpe ocre sur veste noire, l’accusée n’a pas fait de commentaire à son arrivée au palais de justice de Chalon-sur-Saône, visiblement très impressionnée par la foule de journalistes qui l’a entourée. Elle comparaît libre après avoir été placée sous contrôle judiciaire à la fin de l’année 2018.
Valérie Bacot a ainsi raconté l’emprise qu’avait son ex-beau-père violent, devenu son mari et proxénète, lundi, au premier jour de son procès, pour l’avoir tué d’une balle dans la nuque. « Au départ, j’étais contente qu’il revienne », se souvient Valérie Bacot quand elle est interrogée sur cette étonnante année 1997, où son beau-père rentre au foyer familial à sa sortie de prison, où il avait pourtant été incarcéré pour avoir violé celle qui était alors sa belle-fille âgée de 12 ans.
Le mari de Valérie Bacot avait déjà été incarcéré pour l’avoir violée avant de devenir son époux.
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Question 29 of 90
29. Question
Les assises de Saône-et-Loire ont entamé, lundi 21 juin, le procès de Valérie Bacot, souvent présentée comme la « nouvelle Jacqueline Sauvage », pour l’assassinat de son mari proxénète qui la violait depuis l’âge de 12 ans. Écharpe ocre sur veste noire, l’accusée n’a pas fait de commentaire à son arrivée au palais de justice de Chalon-sur-Saône, visiblement très impressionnée par la foule de journalistes qui l’a entourée. Elle comparaît libre après avoir été placée sous contrôle judiciaire à la fin de l’année 2018.
Valérie Bacot a ainsi raconté l’emprise qu’avait son ex-beau-père violent, devenu son mari et proxénète, lundi, au premier jour de son procès, pour l’avoir tué d’une balle dans la nuque. « Au départ, j’étais contente qu’il revienne », se souvient Valérie Bacot quand elle est interrogée sur cette étonnante année 1997, où son beau-père rentre au foyer familial à sa sortie de prison, où il avait pourtant été incarcéré pour avoir violé celle qui était alors sa belle-fille âgée de 12 ans.
Valérie Bacot a tué son mari dès sa sortie de prison en 1997.
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Question 30 of 90
30. Question
Les assises de Saône-et-Loire ont entamé, lundi 21 juin, le procès de Valérie Bacot, souvent présentée comme la « nouvelle Jacqueline Sauvage », pour l’assassinat de son mari proxénète qui la violait depuis l’âge de 12 ans. Écharpe ocre sur veste noire, l’accusée n’a pas fait de commentaire à son arrivée au palais de justice de Chalon-sur-Saône, visiblement très impressionnée par la foule de journalistes qui l’a entourée. Elle comparaît libre après avoir été placée sous contrôle judiciaire à la fin de l’année 2018.
Valérie Bacot a ainsi raconté l’emprise qu’avait son ex-beau-père violent, devenu son mari et proxénète, lundi, au premier jour de son procès, pour l’avoir tué d’une balle dans la nuque. « Au départ, j’étais contente qu’il revienne », se souvient Valérie Bacot quand elle est interrogée sur cette étonnante année 1997, où son beau-père rentre au foyer familial à sa sortie de prison, où il avait pourtant été incarcéré pour avoir violé celle qui était alors sa belle-fille âgée de 12 ans.
Elle a été libérée de prison grâce à un non-lieu prononcé par la justice.
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Question 31 of 90
31. Question
Il y a des façons plus sereines de préparer un match de foot crucial. A quelques heures du derby contre Metz, le gardien de but de l’AS Nancy-Lorraine, Brice Samba, était en effet convoqué ce jeudi matin devant le tribunal correctionnel.
Le goal ne s’est toutefois pas présenté à la barre. Ce qui a été diversement interprété. La procureur adjointe, Béatrice Bluntzer, y a vu la preuve que le joueur de foot « n’a pas la conscience aussi tranquille que ça ». L’avocate de la défense, Me Clémence Morel a, elle, justifié l’absence de son client par la nécessité de s’entraîner à la veille du choc contre Metz.
Cela n’a en tout cas pas empêché le tribunal de juger le gardien de but. Ce qui lui est reproché pourrait être assez banal s’il n’y avait pas eu sa qualité de footballeur de haut niveau mais aussi son déconcertant système de défense.
Brice Samba a été convoqué devant le tribunal correctionnel le matin d’un match important contre Metz.
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Question 32 of 90
32. Question
Il y a des façons plus sereines de préparer un match de foot crucial. A quelques heures du derby contre Metz, le gardien de but de l’AS Nancy-Lorraine, Brice Samba, était en effet convoqué ce jeudi matin devant le tribunal correctionnel.
Le goal ne s’est toutefois pas présenté à la barre. Ce qui a été diversement interprété. La procureur adjointe, Béatrice Bluntzer, y a vu la preuve que le joueur de foot « n’a pas la conscience aussi tranquille que ça ». L’avocate de la défense, Me Clémence Morel a, elle, justifié l’absence de son client par la nécessité de s’entraîner à la veille du choc contre Metz.
Cela n’a en tout cas pas empêché le tribunal de juger le gardien de but. Ce qui lui est reproché pourrait être assez banal s’il n’y avait pas eu sa qualité de footballeur de haut niveau mais aussi son déconcertant système de défense.
Le joueur s’est présenté au tribunal mais a refusé de parler.
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Question 33 of 90
33. Question
Il y a des façons plus sereines de préparer un match de foot crucial. A quelques heures du derby contre Metz, le gardien de but de l’AS Nancy-Lorraine, Brice Samba, était en effet convoqué ce jeudi matin devant le tribunal correctionnel.
Le goal ne s’est toutefois pas présenté à la barre. Ce qui a été diversement interprété. La procureur adjointe, Béatrice Bluntzer, y a vu la preuve que le joueur de foot « n’a pas la conscience aussi tranquille que ça ». L’avocate de la défense, Me Clémence Morel a, elle, justifié l’absence de son client par la nécessité de s’entraîner à la veille du choc contre Metz.
Cela n’a en tout cas pas empêché le tribunal de juger le gardien de but. Ce qui lui est reproché pourrait être assez banal s’il n’y avait pas eu sa qualité de footballeur de haut niveau mais aussi son déconcertant système de défense.
L’avocate de Brice Samba a expliqué son absence par un entraînement.
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Question 34 of 90
34. Question
Il y a des façons plus sereines de préparer un match de foot crucial. A quelques heures du derby contre Metz, le gardien de but de l’AS Nancy-Lorraine, Brice Samba, était en effet convoqué ce jeudi matin devant le tribunal correctionnel.
Le goal ne s’est toutefois pas présenté à la barre. Ce qui a été diversement interprété. La procureur adjointe, Béatrice Bluntzer, y a vu la preuve que le joueur de foot « n’a pas la conscience aussi tranquille que ça ». L’avocate de la défense, Me Clémence Morel a, elle, justifié l’absence de son client par la nécessité de s’entraîner à la veille du choc contre Metz.
Cela n’a en tout cas pas empêché le tribunal de juger le gardien de but. Ce qui lui est reproché pourrait être assez banal s’il n’y avait pas eu sa qualité de footballeur de haut niveau mais aussi son déconcertant système de défense.
Le tribunal a reporté l’audience à une date ultérieure en raison de son absence.
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Question 35 of 90
35. Question
Il y a des façons plus sereines de préparer un match de foot crucial. A quelques heures du derby contre Metz, le gardien de but de l’AS Nancy-Lorraine, Brice Samba, était en effet convoqué ce jeudi matin devant le tribunal correctionnel.
Le goal ne s’est toutefois pas présenté à la barre. Ce qui a été diversement interprété. La procureur adjointe, Béatrice Bluntzer, y a vu la preuve que le joueur de foot « n’a pas la conscience aussi tranquille que ça ». L’avocate de la défense, Me Clémence Morel a, elle, justifié l’absence de son client par la nécessité de s’entraîner à la veille du choc contre Metz.
Cela n’a en tout cas pas empêché le tribunal de juger le gardien de but. Ce qui lui est reproché pourrait être assez banal s’il n’y avait pas eu sa qualité de footballeur de haut niveau mais aussi son déconcertant système de défense.
Brice Samba est accusé d’une infraction en lien direct avec un match de football.
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Question 36 of 90
36. Question
Il y a des façons plus sereines de préparer un match de foot crucial. A quelques heures du derby contre Metz, le gardien de but de l’AS Nancy-Lorraine, Brice Samba, était en effet convoqué ce jeudi matin devant le tribunal correctionnel.
Le goal ne s’est toutefois pas présenté à la barre. Ce qui a été diversement interprété. La procureur adjointe, Béatrice Bluntzer, y a vu la preuve que le joueur de foot « n’a pas la conscience aussi tranquille que ça ». L’avocate de la défense, Me Clémence Morel a, elle, justifié l’absence de son client par la nécessité de s’entraîner à la veille du choc contre Metz.
Cela n’a en tout cas pas empêché le tribunal de juger le gardien de but. Ce qui lui est reproché pourrait être assez banal s’il n’y avait pas eu sa qualité de footballeur de haut niveau mais aussi son déconcertant système de défense.
Le comportement de Brice Samba pendant l’enquête a été jugé étonnant.
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Question 37 of 90
37. Question
Le chauffeur d’un camion-benne dont l’oubli tragique avait provoqué la mort de six adolescents, le 11 février 2016 à Rochefort (Charente-Maritime), dans une collision avec leur bus de transport scolaire, a été condamné jeudi 5 mai à cinq ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de La Rochelle.
«On arrive à une fin qui va permettre à tout le monde de pouvoir se reconstruire. L’important, c’est que justice soit faite», a commenté l’avocat de plusieurs parties civiles Me Stéphane Ferry, saluant un «délibéré digne et remarquable». Le 29 mars, au moment des réquisitions, le parquet avait déjà écarté l’incarcération en demandant une peine de cinq ans d’emprisonnement dont trois avec sursis, à l’encontre du prévenu âgé de 29 ans, Mathieu Saurel, jugé pour «blessures et homicides involontaires». «Ils l’ont pris avec sérénité, ils ont estimé que c’était peut-être justifié, en tout cas, que cela tenait compte des éléments objectifs du dossier», a déclaré pour sa part Vincent Doutreuwe, avocat d’une famille d’un enfant décédé.
Le chauffeur du camion-benne a été condamné à cinq ans de prison ferme.
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Question 38 of 90
38. Question
Le chauffeur d’un camion-benne dont l’oubli tragique avait provoqué la mort de six adolescents, le 11 février 2016 à Rochefort (Charente-Maritime), dans une collision avec leur bus de transport scolaire, a été condamné jeudi 5 mai à cinq ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de La Rochelle.
«On arrive à une fin qui va permettre à tout le monde de pouvoir se reconstruire. L’important, c’est que justice soit faite», a commenté l’avocat de plusieurs parties civiles Me Stéphane Ferry, saluant un «délibéré digne et remarquable». Le 29 mars, au moment des réquisitions, le parquet avait déjà écarté l’incarcération en demandant une peine de cinq ans d’emprisonnement dont trois avec sursis, à l’encontre du prévenu âgé de 29 ans, Mathieu Saurel, jugé pour «blessures et homicides involontaires». «Ils l’ont pris avec sérénité, ils ont estimé que c’était peut-être justifié, en tout cas, que cela tenait compte des éléments objectifs du dossier», a déclaré pour sa part Vincent Doutreuwe, avocat d’une famille d’un enfant décédé.
L’accident a causé la mort de six adolescents dans un bus scolaire.
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Question 39 of 90
39. Question
Le chauffeur d’un camion-benne dont l’oubli tragique avait provoqué la mort de six adolescents, le 11 février 2016 à Rochefort (Charente-Maritime), dans une collision avec leur bus de transport scolaire, a été condamné jeudi 5 mai à cinq ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de La Rochelle.
«On arrive à une fin qui va permettre à tout le monde de pouvoir se reconstruire. L’important, c’est que justice soit faite», a commenté l’avocat de plusieurs parties civiles Me Stéphane Ferry, saluant un «délibéré digne et remarquable». Le 29 mars, au moment des réquisitions, le parquet avait déjà écarté l’incarcération en demandant une peine de cinq ans d’emprisonnement dont trois avec sursis, à l’encontre du prévenu âgé de 29 ans, Mathieu Saurel, jugé pour «blessures et homicides involontaires». «Ils l’ont pris avec sérénité, ils ont estimé que c’était peut-être justifié, en tout cas, que cela tenait compte des éléments objectifs du dossier», a déclaré pour sa part Vincent Doutreuwe, avocat d’une famille d’un enfant décédé.
Le parquet avait demandé une peine plus lourde que celle finalement prononcée.
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Question 40 of 90
40. Question
Le chauffeur d’un camion-benne dont l’oubli tragique avait provoqué la mort de six adolescents, le 11 février 2016 à Rochefort (Charente-Maritime), dans une collision avec leur bus de transport scolaire, a été condamné jeudi 5 mai à cinq ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de La Rochelle.
«On arrive à une fin qui va permettre à tout le monde de pouvoir se reconstruire. L’important, c’est que justice soit faite», a commenté l’avocat de plusieurs parties civiles Me Stéphane Ferry, saluant un «délibéré digne et remarquable». Le 29 mars, au moment des réquisitions, le parquet avait déjà écarté l’incarcération en demandant une peine de cinq ans d’emprisonnement dont trois avec sursis, à l’encontre du prévenu âgé de 29 ans, Mathieu Saurel, jugé pour «blessures et homicides involontaires». «Ils l’ont pris avec sérénité, ils ont estimé que c’était peut-être justifié, en tout cas, que cela tenait compte des éléments objectifs du dossier», a déclaré pour sa part Vincent Doutreuwe, avocat d’une famille d’un enfant décédé.
L’avocat des parties civiles a salué la décision du tribunal.
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Question 41 of 90
41. Question
Le chauffeur d’un camion-benne dont l’oubli tragique avait provoqué la mort de six adolescents, le 11 février 2016 à Rochefort (Charente-Maritime), dans une collision avec leur bus de transport scolaire, a été condamné jeudi 5 mai à cinq ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de La Rochelle.
«On arrive à une fin qui va permettre à tout le monde de pouvoir se reconstruire. L’important, c’est que justice soit faite», a commenté l’avocat de plusieurs parties civiles Me Stéphane Ferry, saluant un «délibéré digne et remarquable». Le 29 mars, au moment des réquisitions, le parquet avait déjà écarté l’incarcération en demandant une peine de cinq ans d’emprisonnement dont trois avec sursis, à l’encontre du prévenu âgé de 29 ans, Mathieu Saurel, jugé pour «blessures et homicides involontaires». «Ils l’ont pris avec sérénité, ils ont estimé que c’était peut-être justifié, en tout cas, que cela tenait compte des éléments objectifs du dossier», a déclaré pour sa part Vincent Doutreuwe, avocat d’une famille d’un enfant décédé.
Le chauffeur avait déjà été condamné auparavant pour des faits similaires.
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Question 42 of 90
42. Question
Le chauffeur d’un camion-benne dont l’oubli tragique avait provoqué la mort de six adolescents, le 11 février 2016 à Rochefort (Charente-Maritime), dans une collision avec leur bus de transport scolaire, a été condamné jeudi 5 mai à cinq ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de La Rochelle.
«On arrive à une fin qui va permettre à tout le monde de pouvoir se reconstruire. L’important, c’est que justice soit faite», a commenté l’avocat de plusieurs parties civiles Me Stéphane Ferry, saluant un «délibéré digne et remarquable». Le 29 mars, au moment des réquisitions, le parquet avait déjà écarté l’incarcération en demandant une peine de cinq ans d’emprisonnement dont trois avec sursis, à l’encontre du prévenu âgé de 29 ans, Mathieu Saurel, jugé pour «blessures et homicides involontaires». «Ils l’ont pris avec sérénité, ils ont estimé que c’était peut-être justifié, en tout cas, que cela tenait compte des éléments objectifs du dossier», a déclaré pour sa part Vincent Doutreuwe, avocat d’une famille d’un enfant décédé.
L’accident a eu lieu en 2016 à Rochefort, en Charente-Maritime.
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Question 43 of 90
43. Question
Le feu a été violent mais rapidement circonscrit. Ce vendredi, à 16h20, un incendie s’est déclaré dans un appartement au 18e étage, de la tour Helsinki, rue du Disque (XIIIe), une tour d’un bailleur privé, dans le quartier des Olympiades. Près de 70 pompiers ont été mobilisés avec deux lances. Il n’y a pas eu de propagation aux autres appartements. Les riverains n’ont pas été évacués mais confinés chez eux. Les soldats du feu ont activé la ventilation opérationnelle et le système de désenfumage.
Le bilan humain fait état d’un mort et de quatre blessés en urgence relative, des personnes intoxiquées par les fumées ainsi que des pompiers et des policiers, dans les primo intervenants, gênés par les chaleurs.
Les techniciens du laboratoire central de la préfecture de police sont sur place afin de déterminer le ou les départs de feu. D’après une source proche du dossier, le sinistre se serait déclaré chez une victime qui souffrait du syndrome de Diogène. Cette maladie qui frappe principalement les personnes âgées, combine une négligence de l’hygiène et une pulsion à accumuler des objets, journaux, sacs, ce qui conduit à des conditions de vie insalubres et … à des incendies.
L’incendie a eu lieu dans une tour située dans le XIIIe arrondissement de Paris.
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Question 44 of 90
44. Question
Le feu a été violent mais rapidement circonscrit. Ce vendredi, à 16h20, un incendie s’est déclaré dans un appartement au 18e étage, de la tour Helsinki, rue du Disque (XIIIe), une tour d’un bailleur privé, dans le quartier des Olympiades. Près de 70 pompiers ont été mobilisés avec deux lances. Il n’y a pas eu de propagation aux autres appartements. Les riverains n’ont pas été évacués mais confinés chez eux. Les soldats du feu ont activé la ventilation opérationnelle et le système de désenfumage.
Le bilan humain fait état d’un mort et de quatre blessés en urgence relative, des personnes intoxiquées par les fumées ainsi que des pompiers et des policiers, dans les primo intervenants, gênés par les chaleurs.
Les techniciens du laboratoire central de la préfecture de police sont sur place afin de déterminer le ou les départs de feu. D’après une source proche du dossier, le sinistre se serait déclaré chez une victime qui souffrait du syndrome de Diogène. Cette maladie qui frappe principalement les personnes âgées, combine une négligence de l’hygiène et une pulsion à accumuler des objets, journaux, sacs, ce qui conduit à des conditions de vie insalubres et … à des incendies.
L’ensemble des habitants de la tour Helsinki ont été évacués par mesure de sécurité.
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Question 45 of 90
45. Question
Le feu a été violent mais rapidement circonscrit. Ce vendredi, à 16h20, un incendie s’est déclaré dans un appartement au 18e étage, de la tour Helsinki, rue du Disque (XIIIe), une tour d’un bailleur privé, dans le quartier des Olympiades. Près de 70 pompiers ont été mobilisés avec deux lances. Il n’y a pas eu de propagation aux autres appartements. Les riverains n’ont pas été évacués mais confinés chez eux. Les soldats du feu ont activé la ventilation opérationnelle et le système de désenfumage.
Le bilan humain fait état d’un mort et de quatre blessés en urgence relative, des personnes intoxiquées par les fumées ainsi que des pompiers et des policiers, dans les primo intervenants, gênés par les chaleurs.
Les techniciens du laboratoire central de la préfecture de police sont sur place afin de déterminer le ou les départs de feu. D’après une source proche du dossier, le sinistre se serait déclaré chez une victime qui souffrait du syndrome de Diogène. Cette maladie qui frappe principalement les personnes âgées, combine une négligence de l’hygiène et une pulsion à accumuler des objets, journaux, sacs, ce qui conduit à des conditions de vie insalubres et … à des incendies.
Le feu s’est propagé à plusieurs étages de la tour.
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Question 46 of 90
46. Question
Le feu a été violent mais rapidement circonscrit. Ce vendredi, à 16h20, un incendie s’est déclaré dans un appartement au 18e étage, de la tour Helsinki, rue du Disque (XIIIe), une tour d’un bailleur privé, dans le quartier des Olympiades. Près de 70 pompiers ont été mobilisés avec deux lances. Il n’y a pas eu de propagation aux autres appartements. Les riverains n’ont pas été évacués mais confinés chez eux. Les soldats du feu ont activé la ventilation opérationnelle et le système de désenfumage.
Le bilan humain fait état d’un mort et de quatre blessés en urgence relative, des personnes intoxiquées par les fumées ainsi que des pompiers et des policiers, dans les primo intervenants, gênés par les chaleurs.
Les techniciens du laboratoire central de la préfecture de police sont sur place afin de déterminer le ou les départs de feu. D’après une source proche du dossier, le sinistre se serait déclaré chez une victime qui souffrait du syndrome de Diogène. Cette maladie qui frappe principalement les personnes âgées, combine une négligence de l’hygiène et une pulsion à accumuler des objets, journaux, sacs, ce qui conduit à des conditions de vie insalubres et … à des incendies.
La victime décédée était une personne âgée souffrant du syndrome de Diogène.
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Question 47 of 90
47. Question
Le feu a été violent mais rapidement circonscrit. Ce vendredi, à 16h20, un incendie s’est déclaré dans un appartement au 18e étage, de la tour Helsinki, rue du Disque (XIIIe), une tour d’un bailleur privé, dans le quartier des Olympiades. Près de 70 pompiers ont été mobilisés avec deux lances. Il n’y a pas eu de propagation aux autres appartements. Les riverains n’ont pas été évacués mais confinés chez eux. Les soldats du feu ont activé la ventilation opérationnelle et le système de désenfumage.
Le bilan humain fait état d’un mort et de quatre blessés en urgence relative, des personnes intoxiquées par les fumées ainsi que des pompiers et des policiers, dans les primo intervenants, gênés par les chaleurs.
Les techniciens du laboratoire central de la préfecture de police sont sur place afin de déterminer le ou les départs de feu. D’après une source proche du dossier, le sinistre se serait déclaré chez une victime qui souffrait du syndrome de Diogène. Cette maladie qui frappe principalement les personnes âgées, combine une négligence de l’hygiène et une pulsion à accumuler des objets, journaux, sacs, ce qui conduit à des conditions de vie insalubres et … à des incendies.
Les pompiers ont maîtrisé l’incendie à l’aide de deux lances à incendie.
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Question 48 of 90
48. Question
Le feu a été violent mais rapidement circonscrit. Ce vendredi, à 16h20, un incendie s’est déclaré dans un appartement au 18e étage, de la tour Helsinki, rue du Disque (XIIIe), une tour d’un bailleur privé, dans le quartier des Olympiades. Près de 70 pompiers ont été mobilisés avec deux lances. Il n’y a pas eu de propagation aux autres appartements. Les riverains n’ont pas été évacués mais confinés chez eux. Les soldats du feu ont activé la ventilation opérationnelle et le système de désenfumage.
Le bilan humain fait état d’un mort et de quatre blessés en urgence relative, des personnes intoxiquées par les fumées ainsi que des pompiers et des policiers, dans les primo intervenants, gênés par les chaleurs.
Les techniciens du laboratoire central de la préfecture de police sont sur place afin de déterminer le ou les départs de feu. D’après une source proche du dossier, le sinistre se serait déclaré chez une victime qui souffrait du syndrome de Diogène. Cette maladie qui frappe principalement les personnes âgées, combine une négligence de l’hygiène et une pulsion à accumuler des objets, journaux, sacs, ce qui conduit à des conditions de vie insalubres et … à des incendies.
L’incendie a été provoqué intentionnellement.
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Question 49 of 90
49. Question
Le 10 mai 2013 dans l’après-midi, deux jeunes gens de 18 et 20 ans circulaient à moto sur la RD 44, à Ploeuc-sur-Lié. Pilotes chevronnés et sérieux (le père du passager est moniteur d’auto-école et le conducteur se préparait à devenir moniteur de moto en milieu associatif), les deux hommes vont trouver sur leur route un tracteur qui entreprend de tourner à gauche, sans clignotant visible. Le choc sera terrible : le pilote de la moto trouve la mort sur le coup, son passager ne survivra que quelques heures à ses blessures. Le conducteur du tracteur, âgé de 48 ans, est indemne. Aucun des protagonistes n’avait consommé d’alcool. Poursuivi pour homicide involontaire, l’agriculteur a été condamné, hier, par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc, qui rendait son délibéré, à quatre mois de prison avec sursis et 100 EUR d’amende. Le responsable de l’accident devra en outre verser aux différents membres des deux familles endeuillées qui se sont portés parties civiles, des indemnités dont le montant global avoisine les 300.000 EUR.
Les deux jeunes hommes portaient un casque au moment de l’accident.
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Question 50 of 90
50. Question
Le 10 mai 2013 dans l’après-midi, deux jeunes gens de 18 et 20 ans circulaient à moto sur la RD 44, à Ploeuc-sur-Lié. Pilotes chevronnés et sérieux (le père du passager est moniteur d’auto-école et le conducteur se préparait à devenir moniteur de moto en milieu associatif), les deux hommes vont trouver sur leur route un tracteur qui entreprend de tourner à gauche, sans clignotant visible. Le choc sera terrible : le pilote de la moto trouve la mort sur le coup, son passager ne survivra que quelques heures à ses blessures. Le conducteur du tracteur, âgé de 48 ans, est indemne. Aucun des protagonistes n’avait consommé d’alcool. Poursuivi pour homicide involontaire, l’agriculteur a été condamné, hier, par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc, qui rendait son délibéré, à quatre mois de prison avec sursis et 100 EUR d’amende. Le responsable de l’accident devra en outre verser aux différents membres des deux familles endeuillées qui se sont portés parties civiles, des indemnités dont le montant global avoisine les 300.000 EUR.
Le conducteur du tracteur a été condamné à une peine de prison ferme.
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Question 51 of 90
51. Question
Le 10 mai 2013 dans l’après-midi, deux jeunes gens de 18 et 20 ans circulaient à moto sur la RD 44, à Ploeuc-sur-Lié. Pilotes chevronnés et sérieux (le père du passager est moniteur d’auto-école et le conducteur se préparait à devenir moniteur de moto en milieu associatif), les deux hommes vont trouver sur leur route un tracteur qui entreprend de tourner à gauche, sans clignotant visible. Le choc sera terrible : le pilote de la moto trouve la mort sur le coup, son passager ne survivra que quelques heures à ses blessures. Le conducteur du tracteur, âgé de 48 ans, est indemne. Aucun des protagonistes n’avait consommé d’alcool. Poursuivi pour homicide involontaire, l’agriculteur a été condamné, hier, par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc, qui rendait son délibéré, à quatre mois de prison avec sursis et 100 EUR d’amende. Le responsable de l’accident devra en outre verser aux différents membres des deux familles endeuillées qui se sont portés parties civiles, des indemnités dont le montant global avoisine les 300.000 EUR.
L’accident a eu lieu sur une route départementale en Bretagne.
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Question 52 of 90
52. Question
Le 10 mai 2013 dans l’après-midi, deux jeunes gens de 18 et 20 ans circulaient à moto sur la RD 44, à Ploeuc-sur-Lié. Pilotes chevronnés et sérieux (le père du passager est moniteur d’auto-école et le conducteur se préparait à devenir moniteur de moto en milieu associatif), les deux hommes vont trouver sur leur route un tracteur qui entreprend de tourner à gauche, sans clignotant visible. Le choc sera terrible : le pilote de la moto trouve la mort sur le coup, son passager ne survivra que quelques heures à ses blessures. Le conducteur du tracteur, âgé de 48 ans, est indemne. Aucun des protagonistes n’avait consommé d’alcool. Poursuivi pour homicide involontaire, l’agriculteur a été condamné, hier, par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc, qui rendait son délibéré, à quatre mois de prison avec sursis et 100 EUR d’amende. Le responsable de l’accident devra en outre verser aux différents membres des deux familles endeuillées qui se sont portés parties civiles, des indemnités dont le montant global avoisine les 300.000 EUR.
Le conducteur de la moto est mort quelques heures après le choc.
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Question 53 of 90
53. Question
Le 10 mai 2013 dans l’après-midi, deux jeunes gens de 18 et 20 ans circulaient à moto sur la RD 44, à Ploeuc-sur-Lié. Pilotes chevronnés et sérieux (le père du passager est moniteur d’auto-école et le conducteur se préparait à devenir moniteur de moto en milieu associatif), les deux hommes vont trouver sur leur route un tracteur qui entreprend de tourner à gauche, sans clignotant visible. Le choc sera terrible : le pilote de la moto trouve la mort sur le coup, son passager ne survivra que quelques heures à ses blessures. Le conducteur du tracteur, âgé de 48 ans, est indemne. Aucun des protagonistes n’avait consommé d’alcool. Poursuivi pour homicide involontaire, l’agriculteur a été condamné, hier, par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc, qui rendait son délibéré, à quatre mois de prison avec sursis et 100 EUR d’amende. Le responsable de l’accident devra en outre verser aux différents membres des deux familles endeuillées qui se sont portés parties civiles, des indemnités dont le montant global avoisine les 300.000 EUR.
Le père du passager est moniteur d’auto-école.
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Question 54 of 90
54. Question
Le 10 mai 2013 dans l’après-midi, deux jeunes gens de 18 et 20 ans circulaient à moto sur la RD 44, à Ploeuc-sur-Lié. Pilotes chevronnés et sérieux (le père du passager est moniteur d’auto-école et le conducteur se préparait à devenir moniteur de moto en milieu associatif), les deux hommes vont trouver sur leur route un tracteur qui entreprend de tourner à gauche, sans clignotant visible. Le choc sera terrible : le pilote de la moto trouve la mort sur le coup, son passager ne survivra que quelques heures à ses blessures. Le conducteur du tracteur, âgé de 48 ans, est indemne. Aucun des protagonistes n’avait consommé d’alcool. Poursuivi pour homicide involontaire, l’agriculteur a été condamné, hier, par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc, qui rendait son délibéré, à quatre mois de prison avec sursis et 100 EUR d’amende. Le responsable de l’accident devra en outre verser aux différents membres des deux familles endeuillées qui se sont portés parties civiles, des indemnités dont le montant global avoisine les 300.000 EUR.
Les familles des victimes ont reçu chacune 150 000 euros d’indemnités.
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Question 55 of 90
55. Question
Faut-il poursuivre, alors que le principal responsable du drame est décédé ? Ce vendredi, le juge d’instruction en charge de l’accident de car de Puisseguin, a annoncé avoir prononcé un non-lieu dans l’affaire, le 14 octobre dernier.
Il y a 6 ans à Puisseguin, en Gironde, un camion avait percuté un autocar, faisant 43 morts. Selon le juge d’instruction, il n’est pas possible de donner lieu à des poursuites judiciaires, étant donné que la seule personne pouvant être directement mise en cause, le conducteur du camion, est mort dans l’accident.
Le parquet a tout de même décidé de faire appel. Les avocats de la famille des victimes – principalement des retraités – considèrent que l’accident qui a eu lieu le 23 octobre 2015, n’est pas entièrement dû à la vitesse du chauffeur du camion, qui roulait à 75 km/h sur une petite route, à la sortie du village de Puisseguin.
L’accident de Puisseguin a fait plus de quarante victimes.
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Question 56 of 90
56. Question
Faut-il poursuivre, alors que le principal responsable du drame est décédé ? Ce vendredi, le juge d’instruction en charge de l’accident de car de Puisseguin, a annoncé avoir prononcé un non-lieu dans l’affaire, le 14 octobre dernier.
Il y a 6 ans à Puisseguin, en Gironde, un camion avait percuté un autocar, faisant 43 morts. Selon le juge d’instruction, il n’est pas possible de donner lieu à des poursuites judiciaires, étant donné que la seule personne pouvant être directement mise en cause, le conducteur du camion, est mort dans l’accident.
Le parquet a tout de même décidé de faire appel. Les avocats de la famille des victimes – principalement des retraités – considèrent que l’accident qui a eu lieu le 23 octobre 2015, n’est pas entièrement dû à la vitesse du chauffeur du camion, qui roulait à 75 km/h sur une petite route, à la sortie du village de Puisseguin.
Le chauffeur du camion roulait au-dessus de la limite autorisée au moment de l’accident.
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Question 57 of 90
57. Question
Faut-il poursuivre, alors que le principal responsable du drame est décédé ? Ce vendredi, le juge d’instruction en charge de l’accident de car de Puisseguin, a annoncé avoir prononcé un non-lieu dans l’affaire, le 14 octobre dernier.
Il y a 6 ans à Puisseguin, en Gironde, un camion avait percuté un autocar, faisant 43 morts. Selon le juge d’instruction, il n’est pas possible de donner lieu à des poursuites judiciaires, étant donné que la seule personne pouvant être directement mise en cause, le conducteur du camion, est mort dans l’accident.
Le parquet a tout de même décidé de faire appel. Les avocats de la famille des victimes – principalement des retraités – considèrent que l’accident qui a eu lieu le 23 octobre 2015, n’est pas entièrement dû à la vitesse du chauffeur du camion, qui roulait à 75 km/h sur une petite route, à la sortie du village de Puisseguin.
Le conducteur du camion impliqué dans l’accident est encore en vie.
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Question 58 of 90
58. Question
Faut-il poursuivre, alors que le principal responsable du drame est décédé ? Ce vendredi, le juge d’instruction en charge de l’accident de car de Puisseguin, a annoncé avoir prononcé un non-lieu dans l’affaire, le 14 octobre dernier.
Il y a 6 ans à Puisseguin, en Gironde, un camion avait percuté un autocar, faisant 43 morts. Selon le juge d’instruction, il n’est pas possible de donner lieu à des poursuites judiciaires, étant donné que la seule personne pouvant être directement mise en cause, le conducteur du camion, est mort dans l’accident.
Le parquet a tout de même décidé de faire appel. Les avocats de la famille des victimes – principalement des retraités – considèrent que l’accident qui a eu lieu le 23 octobre 2015, n’est pas entièrement dû à la vitesse du chauffeur du camion, qui roulait à 75 km/h sur une petite route, à la sortie du village de Puisseguin.
Le juge d’instruction a classé l’affaire sans suite car le chauffeur du car a refusé de coopérer.
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Question 59 of 90
59. Question
Faut-il poursuivre, alors que le principal responsable du drame est décédé ? Ce vendredi, le juge d’instruction en charge de l’accident de car de Puisseguin, a annoncé avoir prononcé un non-lieu dans l’affaire, le 14 octobre dernier.
Il y a 6 ans à Puisseguin, en Gironde, un camion avait percuté un autocar, faisant 43 morts. Selon le juge d’instruction, il n’est pas possible de donner lieu à des poursuites judiciaires, étant donné que la seule personne pouvant être directement mise en cause, le conducteur du camion, est mort dans l’accident.
Le parquet a tout de même décidé de faire appel. Les avocats de la famille des victimes – principalement des retraités – considèrent que l’accident qui a eu lieu le 23 octobre 2015, n’est pas entièrement dû à la vitesse du chauffeur du camion, qui roulait à 75 km/h sur une petite route, à la sortie du village de Puisseguin.
Le parquet a accepté la décision de non-lieu sans objection.
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Question 60 of 90
60. Question
Faut-il poursuivre, alors que le principal responsable du drame est décédé ? Ce vendredi, le juge d’instruction en charge de l’accident de car de Puisseguin, a annoncé avoir prononcé un non-lieu dans l’affaire, le 14 octobre dernier.
Il y a 6 ans à Puisseguin, en Gironde, un camion avait percuté un autocar, faisant 43 morts. Selon le juge d’instruction, il n’est pas possible de donner lieu à des poursuites judiciaires, étant donné que la seule personne pouvant être directement mise en cause, le conducteur du camion, est mort dans l’accident.
Le parquet a tout de même décidé de faire appel. Les avocats de la famille des victimes – principalement des retraités – considèrent que l’accident qui a eu lieu le 23 octobre 2015, n’est pas entièrement dû à la vitesse du chauffeur du camion, qui roulait à 75 km/h sur une petite route, à la sortie du village de Puisseguin.
Les familles des victimes considèrent que l’accident est uniquement dû à une vitesse excessive.
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Question 61 of 90
61. Question
Une nouvelle figure de la bande du Petit Bar, « l’un des principaux foyers de criminalité organisée et violente en Corse-du-Sud » selon le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, est en passe d’être écrouée. Et pas la moindre : Jacques Santoni, soupçonné d’être l’un des leaders du groupe criminel qui tire son nom d’un établissement où ses membres avaient l’habitude de se réunir.
À tout juste 35 ans, le jeune homme a été condamné le 1er février dernier à trois ans de prison ferme pour complicité d’extorsion à l’encontre d’un restaurateur corse. Une condamnation qui vient s’ajouter à sept autres ainsi qu’à une mise en examen pour complicité dans l’enquête sur l’assassinat d’Antoine Nivaggioni en 2010. Oui, mais voilà : à la suite d’un accident de moto en 2003, Jacques Santoni est gravement handicapé. Le 18 février, l’homme fait donc appel, non pas de la décision du tribunal, mais de l’application de sa peine. Or, le 30 mai, à quelques jours de la visite du patron de la Place Beauvau en Corse, un juge d’application des peines d’Ajaccio a décidé de sa mise en détention et de l’exécution provisoire de sa peine, à la grande stupeur de ses avocats, qui ont immédiatement fait de nouveau appel.
Jacques Santoni a déjà été condamné huit fois par la justice.
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Question 62 of 90
62. Question
Une nouvelle figure de la bande du Petit Bar, « l’un des principaux foyers de criminalité organisée et violente en Corse-du-Sud » selon le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, est en passe d’être écrouée. Et pas la moindre : Jacques Santoni, soupçonné d’être l’un des leaders du groupe criminel qui tire son nom d’un établissement où ses membres avaient l’habitude de se réunir.
À tout juste 35 ans, le jeune homme a été condamné le 1er février dernier à trois ans de prison ferme pour complicité d’extorsion à l’encontre d’un restaurateur corse. Une condamnation qui vient s’ajouter à sept autres ainsi qu’à une mise en examen pour complicité dans l’enquête sur l’assassinat d’Antoine Nivaggioni en 2010. Oui, mais voilà : à la suite d’un accident de moto en 2003, Jacques Santoni est gravement handicapé. Le 18 février, l’homme fait donc appel, non pas de la décision du tribunal, mais de l’application de sa peine. Or, le 30 mai, à quelques jours de la visite du patron de la Place Beauvau en Corse, un juge d’application des peines d’Ajaccio a décidé de sa mise en détention et de l’exécution provisoire de sa peine, à la grande stupeur de ses avocats, qui ont immédiatement fait de nouveau appel.
Le groupe du Petit Bar tient son nom du chef de bande.
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Question 63 of 90
63. Question
Une nouvelle figure de la bande du Petit Bar, « l’un des principaux foyers de criminalité organisée et violente en Corse-du-Sud » selon le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, est en passe d’être écrouée. Et pas la moindre : Jacques Santoni, soupçonné d’être l’un des leaders du groupe criminel qui tire son nom d’un établissement où ses membres avaient l’habitude de se réunir.
À tout juste 35 ans, le jeune homme a été condamné le 1er février dernier à trois ans de prison ferme pour complicité d’extorsion à l’encontre d’un restaurateur corse. Une condamnation qui vient s’ajouter à sept autres ainsi qu’à une mise en examen pour complicité dans l’enquête sur l’assassinat d’Antoine Nivaggioni en 2010. Oui, mais voilà : à la suite d’un accident de moto en 2003, Jacques Santoni est gravement handicapé. Le 18 février, l’homme fait donc appel, non pas de la décision du tribunal, mais de l’application de sa peine. Or, le 30 mai, à quelques jours de la visite du patron de la Place Beauvau en Corse, un juge d’application des peines d’Ajaccio a décidé de sa mise en détention et de l’exécution provisoire de sa peine, à la grande stupeur de ses avocats, qui ont immédiatement fait de nouveau appel.
Jacques Santoni a été condamné pour le meurtre d’Antoine Nivaggioni.
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Question 64 of 90
64. Question
Une nouvelle figure de la bande du Petit Bar, « l’un des principaux foyers de criminalité organisée et violente en Corse-du-Sud » selon le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, est en passe d’être écrouée. Et pas la moindre : Jacques Santoni, soupçonné d’être l’un des leaders du groupe criminel qui tire son nom d’un établissement où ses membres avaient l’habitude de se réunir.
À tout juste 35 ans, le jeune homme a été condamné le 1er février dernier à trois ans de prison ferme pour complicité d’extorsion à l’encontre d’un restaurateur corse. Une condamnation qui vient s’ajouter à sept autres ainsi qu’à une mise en examen pour complicité dans l’enquête sur l’assassinat d’Antoine Nivaggioni en 2010. Oui, mais voilà : à la suite d’un accident de moto en 2003, Jacques Santoni est gravement handicapé. Le 18 février, l’homme fait donc appel, non pas de la décision du tribunal, mais de l’application de sa peine. Or, le 30 mai, à quelques jours de la visite du patron de la Place Beauvau en Corse, un juge d’application des peines d’Ajaccio a décidé de sa mise en détention et de l’exécution provisoire de sa peine, à la grande stupeur de ses avocats, qui ont immédiatement fait de nouveau appel.
La mise en détention de Jacques Santoni a été décidée avant la visite de Manuel Valls en Corse.
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Question 65 of 90
65. Question
Une nouvelle figure de la bande du Petit Bar, « l’un des principaux foyers de criminalité organisée et violente en Corse-du-Sud » selon le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, est en passe d’être écrouée. Et pas la moindre : Jacques Santoni, soupçonné d’être l’un des leaders du groupe criminel qui tire son nom d’un établissement où ses membres avaient l’habitude de se réunir.
À tout juste 35 ans, le jeune homme a été condamné le 1er février dernier à trois ans de prison ferme pour complicité d’extorsion à l’encontre d’un restaurateur corse. Une condamnation qui vient s’ajouter à sept autres ainsi qu’à une mise en examen pour complicité dans l’enquête sur l’assassinat d’Antoine Nivaggioni en 2010. Oui, mais voilà : à la suite d’un accident de moto en 2003, Jacques Santoni est gravement handicapé. Le 18 février, l’homme fait donc appel, non pas de la décision du tribunal, mais de l’application de sa peine. Or, le 30 mai, à quelques jours de la visite du patron de la Place Beauvau en Corse, un juge d’application des peines d’Ajaccio a décidé de sa mise en détention et de l’exécution provisoire de sa peine, à la grande stupeur de ses avocats, qui ont immédiatement fait de nouveau appel.
Jacques Santoni est en prison depuis son accident de moto.
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Question 66 of 90
66. Question
Une nouvelle figure de la bande du Petit Bar, « l’un des principaux foyers de criminalité organisée et violente en Corse-du-Sud » selon le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, est en passe d’être écrouée. Et pas la moindre : Jacques Santoni, soupçonné d’être l’un des leaders du groupe criminel qui tire son nom d’un établissement où ses membres avaient l’habitude de se réunir.
À tout juste 35 ans, le jeune homme a été condamné le 1er février dernier à trois ans de prison ferme pour complicité d’extorsion à l’encontre d’un restaurateur corse. Une condamnation qui vient s’ajouter à sept autres ainsi qu’à une mise en examen pour complicité dans l’enquête sur l’assassinat d’Antoine Nivaggioni en 2010. Oui, mais voilà : à la suite d’un accident de moto en 2003, Jacques Santoni est gravement handicapé. Le 18 février, l’homme fait donc appel, non pas de la décision du tribunal, mais de l’application de sa peine. Or, le 30 mai, à quelques jours de la visite du patron de la Place Beauvau en Corse, un juge d’application des peines d’Ajaccio a décidé de sa mise en détention et de l’exécution provisoire de sa peine, à la grande stupeur de ses avocats, qui ont immédiatement fait de nouveau appel.
Le juge a décidé de la détention de Jacques Santoni pour éviter une fuite à l’étranger.
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Question 67 of 90
67. Question
Rayan, 23 ans, a été condamné pour tentative de meurtre, mardi dernier par la cour d’assises de l’Essonne à Évry-Courcouronnes, à dix ans de réclusion criminelle. Une peine assortie d’un suivi socio-judiciaire de cinq ans avec obligation de soin, lorsqu’il sortira de prison. Si ce suivi n’est pas respecté, l’accusé risque trois ans de prison supplémentaires. Trois autres jeunes étaient accusés de complicité. Ils ont été relaxés. Le 21 août 2018, la victime avait été poignardée à Crosne à 21 reprises et avait survécu à ses blessures. Otman était néanmoins absent au procès. L’homme s’est suicidé en mai dernier à l’âge de 41 ans, alors qu’il était détenu dans le cadre d’une affaire de stupéfiants.
Le 21 août 2018, Otman avait été pourchassé et violemment agressé par quatre jeunes alors âgés de 18 et 20 ans. Ces derniers l’avaient coincé sur un chantier de la rue du Château-Gaillard à Crosne. Rayan avait alors sorti un couteau et l’avait frappé au ventre, à la cuisse, dans le dos… Un homme avait mis fin à l’agression et porté les premiers secours à la victime, avec l’aide de voisins. Otman avait été évacué en urgence absolue vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.
Rayan a été condamné à dix ans de réclusion criminelle pour tentative de meurtre.
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Question 68 of 90
68. Question
Rayan, 23 ans, a été condamné pour tentative de meurtre, mardi dernier par la cour d’assises de l’Essonne à Évry-Courcouronnes, à dix ans de réclusion criminelle. Une peine assortie d’un suivi socio-judiciaire de cinq ans avec obligation de soin, lorsqu’il sortira de prison. Si ce suivi n’est pas respecté, l’accusé risque trois ans de prison supplémentaires. Trois autres jeunes étaient accusés de complicité. Ils ont été relaxés. Le 21 août 2018, la victime avait été poignardée à Crosne à 21 reprises et avait survécu à ses blessures. Otman était néanmoins absent au procès. L’homme s’est suicidé en mai dernier à l’âge de 41 ans, alors qu’il était détenu dans le cadre d’une affaire de stupéfiants.
Le 21 août 2018, Otman avait été pourchassé et violemment agressé par quatre jeunes alors âgés de 18 et 20 ans. Ces derniers l’avaient coincé sur un chantier de la rue du Château-Gaillard à Crosne. Rayan avait alors sorti un couteau et l’avait frappé au ventre, à la cuisse, dans le dos… Un homme avait mis fin à l’agression et porté les premiers secours à la victime, avec l’aide de voisins. Otman avait été évacué en urgence absolue vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.
Otman est mort des suites de ses blessures reçues lors de l’agression de 2018.
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Question 69 of 90
69. Question
Rayan, 23 ans, a été condamné pour tentative de meurtre, mardi dernier par la cour d’assises de l’Essonne à Évry-Courcouronnes, à dix ans de réclusion criminelle. Une peine assortie d’un suivi socio-judiciaire de cinq ans avec obligation de soin, lorsqu’il sortira de prison. Si ce suivi n’est pas respecté, l’accusé risque trois ans de prison supplémentaires. Trois autres jeunes étaient accusés de complicité. Ils ont été relaxés. Le 21 août 2018, la victime avait été poignardée à Crosne à 21 reprises et avait survécu à ses blessures. Otman était néanmoins absent au procès. L’homme s’est suicidé en mai dernier à l’âge de 41 ans, alors qu’il était détenu dans le cadre d’une affaire de stupéfiants.
Le 21 août 2018, Otman avait été pourchassé et violemment agressé par quatre jeunes alors âgés de 18 et 20 ans. Ces derniers l’avaient coincé sur un chantier de la rue du Château-Gaillard à Crosne. Rayan avait alors sorti un couteau et l’avait frappé au ventre, à la cuisse, dans le dos… Un homme avait mis fin à l’agression et porté les premiers secours à la victime, avec l’aide de voisins. Otman avait été évacué en urgence absolue vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.
Les trois autres jeunes accusés ont également été condamnés.
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Question 70 of 90
70. Question
Rayan, 23 ans, a été condamné pour tentative de meurtre, mardi dernier par la cour d’assises de l’Essonne à Évry-Courcouronnes, à dix ans de réclusion criminelle. Une peine assortie d’un suivi socio-judiciaire de cinq ans avec obligation de soin, lorsqu’il sortira de prison. Si ce suivi n’est pas respecté, l’accusé risque trois ans de prison supplémentaires. Trois autres jeunes étaient accusés de complicité. Ils ont été relaxés. Le 21 août 2018, la victime avait été poignardée à Crosne à 21 reprises et avait survécu à ses blessures. Otman était néanmoins absent au procès. L’homme s’est suicidé en mai dernier à l’âge de 41 ans, alors qu’il était détenu dans le cadre d’une affaire de stupéfiants.
Le 21 août 2018, Otman avait été pourchassé et violemment agressé par quatre jeunes alors âgés de 18 et 20 ans. Ces derniers l’avaient coincé sur un chantier de la rue du Château-Gaillard à Crosne. Rayan avait alors sorti un couteau et l’avait frappé au ventre, à la cuisse, dans le dos… Un homme avait mis fin à l’agression et porté les premiers secours à la victime, avec l’aide de voisins. Otman avait été évacué en urgence absolue vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.
L’agression a eu lieu sur un chantier à Paris.
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Question 71 of 90
71. Question
Rayan, 23 ans, a été condamné pour tentative de meurtre, mardi dernier par la cour d’assises de l’Essonne à Évry-Courcouronnes, à dix ans de réclusion criminelle. Une peine assortie d’un suivi socio-judiciaire de cinq ans avec obligation de soin, lorsqu’il sortira de prison. Si ce suivi n’est pas respecté, l’accusé risque trois ans de prison supplémentaires. Trois autres jeunes étaient accusés de complicité. Ils ont été relaxés. Le 21 août 2018, la victime avait été poignardée à Crosne à 21 reprises et avait survécu à ses blessures. Otman était néanmoins absent au procès. L’homme s’est suicidé en mai dernier à l’âge de 41 ans, alors qu’il était détenu dans le cadre d’une affaire de stupéfiants.
Le 21 août 2018, Otman avait été pourchassé et violemment agressé par quatre jeunes alors âgés de 18 et 20 ans. Ces derniers l’avaient coincé sur un chantier de la rue du Château-Gaillard à Crosne. Rayan avait alors sorti un couteau et l’avait frappé au ventre, à la cuisse, dans le dos… Un homme avait mis fin à l’agression et porté les premiers secours à la victime, avec l’aide de voisins. Otman avait été évacué en urgence absolue vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.
Rayan devra obligatoirement suivre un traitement après sa sortie de prison.
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Question 72 of 90
72. Question
Rayan, 23 ans, a été condamné pour tentative de meurtre, mardi dernier par la cour d’assises de l’Essonne à Évry-Courcouronnes, à dix ans de réclusion criminelle. Une peine assortie d’un suivi socio-judiciaire de cinq ans avec obligation de soin, lorsqu’il sortira de prison. Si ce suivi n’est pas respecté, l’accusé risque trois ans de prison supplémentaires. Trois autres jeunes étaient accusés de complicité. Ils ont été relaxés. Le 21 août 2018, la victime avait été poignardée à Crosne à 21 reprises et avait survécu à ses blessures. Otman était néanmoins absent au procès. L’homme s’est suicidé en mai dernier à l’âge de 41 ans, alors qu’il était détenu dans le cadre d’une affaire de stupéfiants.
Le 21 août 2018, Otman avait été pourchassé et violemment agressé par quatre jeunes alors âgés de 18 et 20 ans. Ces derniers l’avaient coincé sur un chantier de la rue du Château-Gaillard à Crosne. Rayan avait alors sorti un couteau et l’avait frappé au ventre, à la cuisse, dans le dos… Un homme avait mis fin à l’agression et porté les premiers secours à la victime, avec l’aide de voisins. Otman avait été évacué en urgence absolue vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.
Otman connaissait personnellement ses agresseurs.
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Question 73 of 90
73. Question
L’accident avait coûté la vie à un couple de retraités. Trois gendarmes ont été renvoyés en correctionnelle et seront bientôt jugés pour « abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité d’une personne », selon les informations du Parisien, et risquent cinq ans de prison. Le 26 février 2019, ces trois gendarmes, qui n’étaient pas en service, avaient laissé repartir un collègue en voiture après un après-midi festif et alcoolisé à Bourgoin-Jallieu (Isère). Ivre, il avait alors renversé mortellement un couple de retraités. En comparution immédiate deux jours après les faits, le chauffard a été condamné à 18 mois de prison ferme pour homicides involontaires et a été radié de la gendarmerie.
Selon l’avocat de la famille des victimes, la décision de justice concernant les trois gendarmes, deux hommes et une femme respectivement âgés de 43, 38 et 39 ans, est « exceptionnelle au regard de la qualité de ces personnes puisqu’il s’agit de gendarmes dont nous savons qu’ils sont au premier plan pour veiller à la sécurité de chacun d’entre nous. »
Les trois gendarmes concernés étaient en service au moment des faits.
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Question 74 of 90
74. Question
L’accident avait coûté la vie à un couple de retraités. Trois gendarmes ont été renvoyés en correctionnelle et seront bientôt jugés pour « abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité d’une personne », selon les informations du Parisien, et risquent cinq ans de prison. Le 26 février 2019, ces trois gendarmes, qui n’étaient pas en service, avaient laissé repartir un collègue en voiture après un après-midi festif et alcoolisé à Bourgoin-Jallieu (Isère). Ivre, il avait alors renversé mortellement un couple de retraités. En comparution immédiate deux jours après les faits, le chauffard a été condamné à 18 mois de prison ferme pour homicides involontaires et a été radié de la gendarmerie.
Selon l’avocat de la famille des victimes, la décision de justice concernant les trois gendarmes, deux hommes et une femme respectivement âgés de 43, 38 et 39 ans, est « exceptionnelle au regard de la qualité de ces personnes puisqu’il s’agit de gendarmes dont nous savons qu’ils sont au premier plan pour veiller à la sécurité de chacun d’entre nous. »
Le conducteur responsable de l’accident a été condamné à 18 mois de prison ferme.
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Question 75 of 90
75. Question
L’accident avait coûté la vie à un couple de retraités. Trois gendarmes ont été renvoyés en correctionnelle et seront bientôt jugés pour « abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité d’une personne », selon les informations du Parisien, et risquent cinq ans de prison. Le 26 février 2019, ces trois gendarmes, qui n’étaient pas en service, avaient laissé repartir un collègue en voiture après un après-midi festif et alcoolisé à Bourgoin-Jallieu (Isère). Ivre, il avait alors renversé mortellement un couple de retraités. En comparution immédiate deux jours après les faits, le chauffard a été condamné à 18 mois de prison ferme pour homicides involontaires et a été radié de la gendarmerie.
Selon l’avocat de la famille des victimes, la décision de justice concernant les trois gendarmes, deux hommes et une femme respectivement âgés de 43, 38 et 39 ans, est « exceptionnelle au regard de la qualité de ces personnes puisqu’il s’agit de gendarmes dont nous savons qu’ils sont au premier plan pour veiller à la sécurité de chacun d’entre nous. »
L’accident a eu lieu dans la région de Bourgoin-Jallieu.
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Question 76 of 90
76. Question
L’accident avait coûté la vie à un couple de retraités. Trois gendarmes ont été renvoyés en correctionnelle et seront bientôt jugés pour « abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité d’une personne », selon les informations du Parisien, et risquent cinq ans de prison. Le 26 février 2019, ces trois gendarmes, qui n’étaient pas en service, avaient laissé repartir un collègue en voiture après un après-midi festif et alcoolisé à Bourgoin-Jallieu (Isère). Ivre, il avait alors renversé mortellement un couple de retraités. En comparution immédiate deux jours après les faits, le chauffard a été condamné à 18 mois de prison ferme pour homicides involontaires et a été radié de la gendarmerie.
Selon l’avocat de la famille des victimes, la décision de justice concernant les trois gendarmes, deux hommes et une femme respectivement âgés de 43, 38 et 39 ans, est « exceptionnelle au regard de la qualité de ces personnes puisqu’il s’agit de gendarmes dont nous savons qu’ils sont au premier plan pour veiller à la sécurité de chacun d’entre nous. »
Les trois gendarmes encourent une peine maximale de dix ans de prison.
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Question 77 of 90
77. Question
L’accident avait coûté la vie à un couple de retraités. Trois gendarmes ont été renvoyés en correctionnelle et seront bientôt jugés pour « abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité d’une personne », selon les informations du Parisien, et risquent cinq ans de prison. Le 26 février 2019, ces trois gendarmes, qui n’étaient pas en service, avaient laissé repartir un collègue en voiture après un après-midi festif et alcoolisé à Bourgoin-Jallieu (Isère). Ivre, il avait alors renversé mortellement un couple de retraités. En comparution immédiate deux jours après les faits, le chauffard a été condamné à 18 mois de prison ferme pour homicides involontaires et a été radié de la gendarmerie.
Selon l’avocat de la famille des victimes, la décision de justice concernant les trois gendarmes, deux hommes et une femme respectivement âgés de 43, 38 et 39 ans, est « exceptionnelle au regard de la qualité de ces personnes puisqu’il s’agit de gendarmes dont nous savons qu’ils sont au premier plan pour veiller à la sécurité de chacun d’entre nous. »
Les gendarmes ont activement encouragé leur collègue à reprendre la route.
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Question 78 of 90
78. Question
L’accident avait coûté la vie à un couple de retraités. Trois gendarmes ont été renvoyés en correctionnelle et seront bientôt jugés pour « abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité d’une personne », selon les informations du Parisien, et risquent cinq ans de prison. Le 26 février 2019, ces trois gendarmes, qui n’étaient pas en service, avaient laissé repartir un collègue en voiture après un après-midi festif et alcoolisé à Bourgoin-Jallieu (Isère). Ivre, il avait alors renversé mortellement un couple de retraités. En comparution immédiate deux jours après les faits, le chauffard a été condamné à 18 mois de prison ferme pour homicides involontaires et a été radié de la gendarmerie.
Selon l’avocat de la famille des victimes, la décision de justice concernant les trois gendarmes, deux hommes et une femme respectivement âgés de 43, 38 et 39 ans, est « exceptionnelle au regard de la qualité de ces personnes puisqu’il s’agit de gendarmes dont nous savons qu’ils sont au premier plan pour veiller à la sécurité de chacun d’entre nous. »
Les trois gendarmes seront jugés pour avoir volontairement laissé leur collègue conduire en étant ivre.
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Question 79 of 90
79. Question
Quatre jours après la mort d’un adolescent de 14 ans, la litanie des exécutions continue à Marseille (Bouches-du-Rhône). Trois hommes ont été exécutés dans la nuit de samedi à dimanche dans la cité phocéenne. Vers minuit, deux hommes de 25 et 26 ans ont été abattus de plusieurs balles de calibre 9 mm et de fusil d’assaut dans la cité de « La Marine bleue » dans le 14e arrondissement, un des plus pauvres de Marseille, ont indiqué des sources proches de l’enquête. Les deux hommes « ont été pris pour cible par plusieurs personnes circulant à bord d’au moins deux véhicules », a précisé la procureure de Marseille Dominique Laurens dans un communiqué. « Des armes susceptibles d’avoir été utilisées pour la commission des faits » ont été découvertes à l’intérieur d’un véhicule incendié dans un quartier à proximité.
Connues des services de police, mais jamais condamnées, les victimes devaient toutes deux comparaître prochainement, l’une d’elle pour des « infractions à la législation sur les stupéfiants », a précisé la procureure. Les marins-pompiers, appelés sur les lieux, n’ont pas pu les ranimer. Selon La Provence, les armes utilisées sont de type fusil-mitrailleur et 9 mm. La police judiciaire est chargée de l’enquête.
Vers 1 heure du matin dans le 4e arrondissement, au centre de la ville cette fois-ci, la police a reçu des appels lui signalant des tirs et qu’une personne avait été emmenée de force dans un véhicule, a indiqué une source proche de l’enquête confirmée par le parquet.
Deux des victimes ont été tuées dans le 14e arrondissement de Marseille.
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Question 80 of 90
80. Question
Quatre jours après la mort d’un adolescent de 14 ans, la litanie des exécutions continue à Marseille (Bouches-du-Rhône). Trois hommes ont été exécutés dans la nuit de samedi à dimanche dans la cité phocéenne. Vers minuit, deux hommes de 25 et 26 ans ont été abattus de plusieurs balles de calibre 9 mm et de fusil d’assaut dans la cité de « La Marine bleue » dans le 14e arrondissement, un des plus pauvres de Marseille, ont indiqué des sources proches de l’enquête. Les deux hommes « ont été pris pour cible par plusieurs personnes circulant à bord d’au moins deux véhicules », a précisé la procureure de Marseille Dominique Laurens dans un communiqué. « Des armes susceptibles d’avoir été utilisées pour la commission des faits » ont été découvertes à l’intérieur d’un véhicule incendié dans un quartier à proximité.
Connues des services de police, mais jamais condamnées, les victimes devaient toutes deux comparaître prochainement, l’une d’elle pour des « infractions à la législation sur les stupéfiants », a précisé la procureure. Les marins-pompiers, appelés sur les lieux, n’ont pas pu les ranimer. Selon La Provence, les armes utilisées sont de type fusil-mitrailleur et 9 mm. La police judiciaire est chargée de l’enquête.
Vers 1 heure du matin dans le 4e arrondissement, au centre de la ville cette fois-ci, la police a reçu des appels lui signalant des tirs et qu’une personne avait été emmenée de force dans un véhicule, a indiqué une source proche de l’enquête confirmée par le parquet.
Les victimes étaient âgées de 25 et 26 ans et avaient déjà été condamnées pour trafic de drogue.
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Question 81 of 90
81. Question
Quatre jours après la mort d’un adolescent de 14 ans, la litanie des exécutions continue à Marseille (Bouches-du-Rhône). Trois hommes ont été exécutés dans la nuit de samedi à dimanche dans la cité phocéenne. Vers minuit, deux hommes de 25 et 26 ans ont été abattus de plusieurs balles de calibre 9 mm et de fusil d’assaut dans la cité de « La Marine bleue » dans le 14e arrondissement, un des plus pauvres de Marseille, ont indiqué des sources proches de l’enquête. Les deux hommes « ont été pris pour cible par plusieurs personnes circulant à bord d’au moins deux véhicules », a précisé la procureure de Marseille Dominique Laurens dans un communiqué. « Des armes susceptibles d’avoir été utilisées pour la commission des faits » ont été découvertes à l’intérieur d’un véhicule incendié dans un quartier à proximité.
Connues des services de police, mais jamais condamnées, les victimes devaient toutes deux comparaître prochainement, l’une d’elle pour des « infractions à la législation sur les stupéfiants », a précisé la procureure. Les marins-pompiers, appelés sur les lieux, n’ont pas pu les ranimer. Selon La Provence, les armes utilisées sont de type fusil-mitrailleur et 9 mm. La police judiciaire est chargée de l’enquête.
Vers 1 heure du matin dans le 4e arrondissement, au centre de la ville cette fois-ci, la police a reçu des appels lui signalant des tirs et qu’une personne avait été emmenée de force dans un véhicule, a indiqué une source proche de l’enquête confirmée par le parquet.
La troisième victime a été retrouvée morte dans le 4e arrondissement.
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Question 82 of 90
82. Question
Quatre jours après la mort d’un adolescent de 14 ans, la litanie des exécutions continue à Marseille (Bouches-du-Rhône). Trois hommes ont été exécutés dans la nuit de samedi à dimanche dans la cité phocéenne. Vers minuit, deux hommes de 25 et 26 ans ont été abattus de plusieurs balles de calibre 9 mm et de fusil d’assaut dans la cité de « La Marine bleue » dans le 14e arrondissement, un des plus pauvres de Marseille, ont indiqué des sources proches de l’enquête. Les deux hommes « ont été pris pour cible par plusieurs personnes circulant à bord d’au moins deux véhicules », a précisé la procureure de Marseille Dominique Laurens dans un communiqué. « Des armes susceptibles d’avoir été utilisées pour la commission des faits » ont été découvertes à l’intérieur d’un véhicule incendié dans un quartier à proximité.
Connues des services de police, mais jamais condamnées, les victimes devaient toutes deux comparaître prochainement, l’une d’elle pour des « infractions à la législation sur les stupéfiants », a précisé la procureure. Les marins-pompiers, appelés sur les lieux, n’ont pas pu les ranimer. Selon La Provence, les armes utilisées sont de type fusil-mitrailleur et 9 mm. La police judiciaire est chargée de l’enquête.
Vers 1 heure du matin dans le 4e arrondissement, au centre de la ville cette fois-ci, la police a reçu des appels lui signalant des tirs et qu’une personne avait été emmenée de force dans un véhicule, a indiqué une source proche de l’enquête confirmée par le parquet.
Un adolescent de 14 ans a été tué dans la même nuit que les trois hommes.
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Question 83 of 90
83. Question
Quatre jours après la mort d’un adolescent de 14 ans, la litanie des exécutions continue à Marseille (Bouches-du-Rhône). Trois hommes ont été exécutés dans la nuit de samedi à dimanche dans la cité phocéenne. Vers minuit, deux hommes de 25 et 26 ans ont été abattus de plusieurs balles de calibre 9 mm et de fusil d’assaut dans la cité de « La Marine bleue » dans le 14e arrondissement, un des plus pauvres de Marseille, ont indiqué des sources proches de l’enquête. Les deux hommes « ont été pris pour cible par plusieurs personnes circulant à bord d’au moins deux véhicules », a précisé la procureure de Marseille Dominique Laurens dans un communiqué. « Des armes susceptibles d’avoir été utilisées pour la commission des faits » ont été découvertes à l’intérieur d’un véhicule incendié dans un quartier à proximité.
Connues des services de police, mais jamais condamnées, les victimes devaient toutes deux comparaître prochainement, l’une d’elle pour des « infractions à la législation sur les stupéfiants », a précisé la procureure. Les marins-pompiers, appelés sur les lieux, n’ont pas pu les ranimer. Selon La Provence, les armes utilisées sont de type fusil-mitrailleur et 9 mm. La police judiciaire est chargée de l’enquête.
Vers 1 heure du matin dans le 4e arrondissement, au centre de la ville cette fois-ci, la police a reçu des appels lui signalant des tirs et qu’une personne avait été emmenée de force dans un véhicule, a indiqué une source proche de l’enquête confirmée par le parquet.
Des armes utilisées dans l’attaque ont été retrouvées dans un véhicule incendié.
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Question 84 of 90
84. Question
Quatre jours après la mort d’un adolescent de 14 ans, la litanie des exécutions continue à Marseille (Bouches-du-Rhône). Trois hommes ont été exécutés dans la nuit de samedi à dimanche dans la cité phocéenne. Vers minuit, deux hommes de 25 et 26 ans ont été abattus de plusieurs balles de calibre 9 mm et de fusil d’assaut dans la cité de « La Marine bleue » dans le 14e arrondissement, un des plus pauvres de Marseille, ont indiqué des sources proches de l’enquête. Les deux hommes « ont été pris pour cible par plusieurs personnes circulant à bord d’au moins deux véhicules », a précisé la procureure de Marseille Dominique Laurens dans un communiqué. « Des armes susceptibles d’avoir été utilisées pour la commission des faits » ont été découvertes à l’intérieur d’un véhicule incendié dans un quartier à proximité.
Connues des services de police, mais jamais condamnées, les victimes devaient toutes deux comparaître prochainement, l’une d’elle pour des « infractions à la législation sur les stupéfiants », a précisé la procureure. Les marins-pompiers, appelés sur les lieux, n’ont pas pu les ranimer. Selon La Provence, les armes utilisées sont de type fusil-mitrailleur et 9 mm. La police judiciaire est chargée de l’enquête.
Vers 1 heure du matin dans le 4e arrondissement, au centre de la ville cette fois-ci, la police a reçu des appels lui signalant des tirs et qu’une personne avait été emmenée de force dans un véhicule, a indiqué une source proche de l’enquête confirmée par le parquet.
La police judiciaire est en charge de l’enquête.
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Question 85 of 90
85. Question
Il a fallu de longues années pour lever le voile sur l’indicible… Il y a quelques années, Sandrine Bonnaire revenait sur un épisode dramatique de sa vie : quand, au début des années 2000, elle avait été violemment agressée, sans en révéler véritablement les causes. Un vrai passage à tabac, qui aurait pu l’emporter : visage détruit, mâchoire de travers, des dents cassées comme si elle avait « du gravier dans la bouche » et des cauchemars récurrents qui lui empoisonnent l’existence.
Près de 20 ans après les faits, la comédienne a décidé de revenir sur cet épisode traumatisant dans un entretien intime accordé à la journaliste Catherine Ceylac, qui publie un livre de témoignages de personnalités, À l’amour à la vie (Flammarion), sur différents parcours amoureux. Un récit glaçant, celui d’un « amour toxique », selon les propres termes de l’actrice, avec un homme qui a partagé sa vie pendant quatre ans et dont elle préfère taire le nom. En 2000, leur histoire s’achève, elle lui demande de partir, l’aide à trouver un nouvel appartement… « Et puis, un soir, tout a basculé, je n’ai rien vu venir, raconte Sandrine Bonnaire. Il m’a strangulée, je suis tombée dans les pommes, et je me suis réveillée avec une triple fracture de la mâchoire et huit dents cassées. »
L’agresseur a été condamné en justice pour les faits évoqués.
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Question 86 of 90
86. Question
Il a fallu de longues années pour lever le voile sur l’indicible… Il y a quelques années, Sandrine Bonnaire revenait sur un épisode dramatique de sa vie : quand, au début des années 2000, elle avait été violemment agressée, sans en révéler véritablement les causes. Un vrai passage à tabac, qui aurait pu l’emporter : visage détruit, mâchoire de travers, des dents cassées comme si elle avait « du gravier dans la bouche » et des cauchemars récurrents qui lui empoisonnent l’existence.
Près de 20 ans après les faits, la comédienne a décidé de revenir sur cet épisode traumatisant dans un entretien intime accordé à la journaliste Catherine Ceylac, qui publie un livre de témoignages de personnalités, À l’amour à la vie (Flammarion), sur différents parcours amoureux. Un récit glaçant, celui d’un « amour toxique », selon les propres termes de l’actrice, avec un homme qui a partagé sa vie pendant quatre ans et dont elle préfère taire le nom. En 2000, leur histoire s’achève, elle lui demande de partir, l’aide à trouver un nouvel appartement… « Et puis, un soir, tout a basculé, je n’ai rien vu venir, raconte Sandrine Bonnaire. Il m’a strangulée, je suis tombée dans les pommes, et je me suis réveillée avec une triple fracture de la mâchoire et huit dents cassées. »
Sandrine Bonnaire a été victime d’une agression au début des années 2000.
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Question 87 of 90
87. Question
Il a fallu de longues années pour lever le voile sur l’indicible… Il y a quelques années, Sandrine Bonnaire revenait sur un épisode dramatique de sa vie : quand, au début des années 2000, elle avait été violemment agressée, sans en révéler véritablement les causes. Un vrai passage à tabac, qui aurait pu l’emporter : visage détruit, mâchoire de travers, des dents cassées comme si elle avait « du gravier dans la bouche » et des cauchemars récurrents qui lui empoisonnent l’existence.
Près de 20 ans après les faits, la comédienne a décidé de revenir sur cet épisode traumatisant dans un entretien intime accordé à la journaliste Catherine Ceylac, qui publie un livre de témoignages de personnalités, À l’amour à la vie (Flammarion), sur différents parcours amoureux. Un récit glaçant, celui d’un « amour toxique », selon les propres termes de l’actrice, avec un homme qui a partagé sa vie pendant quatre ans et dont elle préfère taire le nom. En 2000, leur histoire s’achève, elle lui demande de partir, l’aide à trouver un nouvel appartement… « Et puis, un soir, tout a basculé, je n’ai rien vu venir, raconte Sandrine Bonnaire. Il m’a strangulée, je suis tombée dans les pommes, et je me suis réveillée avec une triple fracture de la mâchoire et huit dents cassées. »
L’agression de Sandrine Bonnaire a été commise par un inconnu dans la rue.
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Question 88 of 90
88. Question
Il a fallu de longues années pour lever le voile sur l’indicible… Il y a quelques années, Sandrine Bonnaire revenait sur un épisode dramatique de sa vie : quand, au début des années 2000, elle avait été violemment agressée, sans en révéler véritablement les causes. Un vrai passage à tabac, qui aurait pu l’emporter : visage détruit, mâchoire de travers, des dents cassées comme si elle avait « du gravier dans la bouche » et des cauchemars récurrents qui lui empoisonnent l’existence.
Près de 20 ans après les faits, la comédienne a décidé de revenir sur cet épisode traumatisant dans un entretien intime accordé à la journaliste Catherine Ceylac, qui publie un livre de témoignages de personnalités, À l’amour à la vie (Flammarion), sur différents parcours amoureux. Un récit glaçant, celui d’un « amour toxique », selon les propres termes de l’actrice, avec un homme qui a partagé sa vie pendant quatre ans et dont elle préfère taire le nom. En 2000, leur histoire s’achève, elle lui demande de partir, l’aide à trouver un nouvel appartement… « Et puis, un soir, tout a basculé, je n’ai rien vu venir, raconte Sandrine Bonnaire. Il m’a strangulée, je suis tombée dans les pommes, et je me suis réveillée avec une triple fracture de la mâchoire et huit dents cassées. »
Sandrine Bonnaire a révélé publiquement le nom de l’homme qui l’a agressée.
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Question 89 of 90
89. Question
Il a fallu de longues années pour lever le voile sur l’indicible… Il y a quelques années, Sandrine Bonnaire revenait sur un épisode dramatique de sa vie : quand, au début des années 2000, elle avait été violemment agressée, sans en révéler véritablement les causes. Un vrai passage à tabac, qui aurait pu l’emporter : visage détruit, mâchoire de travers, des dents cassées comme si elle avait « du gravier dans la bouche » et des cauchemars récurrents qui lui empoisonnent l’existence.
Près de 20 ans après les faits, la comédienne a décidé de revenir sur cet épisode traumatisant dans un entretien intime accordé à la journaliste Catherine Ceylac, qui publie un livre de témoignages de personnalités, À l’amour à la vie (Flammarion), sur différents parcours amoureux. Un récit glaçant, celui d’un « amour toxique », selon les propres termes de l’actrice, avec un homme qui a partagé sa vie pendant quatre ans et dont elle préfère taire le nom. En 2000, leur histoire s’achève, elle lui demande de partir, l’aide à trouver un nouvel appartement… « Et puis, un soir, tout a basculé, je n’ai rien vu venir, raconte Sandrine Bonnaire. Il m’a strangulée, je suis tombée dans les pommes, et je me suis réveillée avec une triple fracture de la mâchoire et huit dents cassées. »
L’agression a causé une triple fracture de la mâchoire et la perte de plusieurs dents.
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Question 90 of 90
90. Question
Il a fallu de longues années pour lever le voile sur l’indicible… Il y a quelques années, Sandrine Bonnaire revenait sur un épisode dramatique de sa vie : quand, au début des années 2000, elle avait été violemment agressée, sans en révéler véritablement les causes. Un vrai passage à tabac, qui aurait pu l’emporter : visage détruit, mâchoire de travers, des dents cassées comme si elle avait « du gravier dans la bouche » et des cauchemars récurrents qui lui empoisonnent l’existence.
Près de 20 ans après les faits, la comédienne a décidé de revenir sur cet épisode traumatisant dans un entretien intime accordé à la journaliste Catherine Ceylac, qui publie un livre de témoignages de personnalités, À l’amour à la vie (Flammarion), sur différents parcours amoureux. Un récit glaçant, celui d’un « amour toxique », selon les propres termes de l’actrice, avec un homme qui a partagé sa vie pendant quatre ans et dont elle préfère taire le nom. En 2000, leur histoire s’achève, elle lui demande de partir, l’aide à trouver un nouvel appartement… « Et puis, un soir, tout a basculé, je n’ai rien vu venir, raconte Sandrine Bonnaire. Il m’a strangulée, je suis tombée dans les pommes, et je me suis réveillée avec une triple fracture de la mâchoire et huit dents cassées. »
Le témoignage de Sandrine Bonnaire figure dans un livre écrit par une journaliste.
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